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"Judas and the Black Messiah" relève pourtant du spectaculaire coup d’éclat : un biopic de Fred Hampton, membre des Black Panthers assassiné au crépuscule des années 1960, dépouillé des atours du genre.
Sans le souffle ni l’ampleur d’un brûlot de Spike Lee, mais tiré d’une histoire vraie, Judas and The Black Messiah brosse un double portrait passionnant et en dit long sur l’angoisse morbide qui nourrissait les actions du FBI.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Pour son second film, Shaka King plonge dans la lutte pour les droits civiques en 1969 aux Etats-Unis à travers les trajectoires d’un jeune activiste charismatique et de son frère ennemi. Un tableau très réussi.
En étant trop partial, Judas and the Black Messiah perd parfois son regard authentique et légitime sur le combat qu'il souhaite porter. Dommage tant l'histoire de Fred Hampton, trop peu connue, est fascinante et sublimée par Daniel Kaluuya.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Malgré un certain manichéisme dans la caractérisation psychologique des personnages, « Judas and the Black Messiah » rend compte avec puissance de cette page d'histoire qui, comme tant d'autres, continue de hanter l'Amérique contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ce "Black Messiah" n'est pas sans mérite, à commencer par sa clarté didactique et une certaine élégance visuelle, mais il est écrasé, comme souvent dans ces cas-là, par la puissance des archives en exergue et coda [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
(...) le cinéaste signe une fiction qui, malgré ses nombreuses qualités, n’évite pas toujours l’écueil du manichéisme et des oppositions binaires. Comme le reflet d’une époque et d’un cinéma qui, dans leur louable désir de dénoncer l’ignominie du racisme hier comme aujourd’hui, peinent à rendre compte de la complexité du monde.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
La photographie de Sean Bobbitt et la mise en scène sont d’une élégance documentée et appliquée, tandis que la reconstitution de ce Chicago au crépuscule des années 1960, rutilant et miséreux, demeure honnête. Mais tous ces ornements ne sont pas nécessairement à la hauteur de la fièvre inspirante que l’on pourrait retrouver sporadiquement dans les discours de Hampton.
Sans se hisser au niveau de “Malcolm X”, de Spike Lee, cette évocation tragique de l’activisme afro-américain des années 1960, six fois nommée aux Oscars, vaut pour son casting volcanique et sa reconstitution élégante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le discours anticapitaliste et rassembleur très singulier de Fred Hampton constitue ici la simple toile de fond d'une fiction qui cherche, dans la pure tradition du biopic hollywoodien, à iconiser.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Shaka King retrace l’ascension et la trahison du militant afro-américain Fred Hampton, incarné avec ferveur par Daniel Kaluuya. Dommage que ce film, oscarisé ce dimanche, hésite entre thriller et biopic.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Nommé dans la catégorie « meilleur film » aux Oscars, le film de Shaka King est une dénonciation manichéenne, qui peine à se mesurer à la désinvolture hargneuse d’un Spike Lee.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
"Judas and the Black Messiah" relève pourtant du spectaculaire coup d’éclat : un biopic de Fred Hampton, membre des Black Panthers assassiné au crépuscule des années 1960, dépouillé des atours du genre.
La Voix du Nord
Sans le souffle ni l’ampleur d’un brûlot de Spike Lee, mais tiré d’une histoire vraie, Judas and The Black Messiah brosse un double portrait passionnant et en dit long sur l’angoisse morbide qui nourrissait les actions du FBI.
Les Inrockuptibles
Pour son second film, Shaka King plonge dans la lutte pour les droits civiques en 1969 aux Etats-Unis à travers les trajectoires d’un jeune activiste charismatique et de son frère ennemi. Un tableau très réussi.
Ecran Large
En étant trop partial, Judas and the Black Messiah perd parfois son regard authentique et légitime sur le combat qu'il souhaite porter. Dommage tant l'histoire de Fred Hampton, trop peu connue, est fascinante et sublimée par Daniel Kaluuya.
Les Echos
Malgré un certain manichéisme dans la caractérisation psychologique des personnages, « Judas and the Black Messiah » rend compte avec puissance de cette page d'histoire qui, comme tant d'autres, continue de hanter l'Amérique contemporaine.
Libération
Ce "Black Messiah" n'est pas sans mérite, à commencer par sa clarté didactique et une certaine élégance visuelle, mais il est écrasé, comme souvent dans ces cas-là, par la puissance des archives en exergue et coda [...].
Marianne
(...) le cinéaste signe une fiction qui, malgré ses nombreuses qualités, n’évite pas toujours l’écueil du manichéisme et des oppositions binaires. Comme le reflet d’une époque et d’un cinéma qui, dans leur louable désir de dénoncer l’ignominie du racisme hier comme aujourd’hui, peinent à rendre compte de la complexité du monde.
Positif
La photographie de Sean Bobbitt et la mise en scène sont d’une élégance documentée et appliquée, tandis que la reconstitution de ce Chicago au crépuscule des années 1960, rutilant et miséreux, demeure honnête. Mais tous ces ornements ne sont pas nécessairement à la hauteur de la fièvre inspirante que l’on pourrait retrouver sporadiquement dans les discours de Hampton.
Télérama
Sans se hisser au niveau de “Malcolm X”, de Spike Lee, cette évocation tragique de l’activisme afro-américain des années 1960, six fois nommée aux Oscars, vaut pour son casting volcanique et sa reconstitution élégante.
Critikat.com
Le discours anticapitaliste et rassembleur très singulier de Fred Hampton constitue ici la simple toile de fond d'une fiction qui cherche, dans la pure tradition du biopic hollywoodien, à iconiser.
Le Figaro
Shaka King retrace l’ascension et la trahison du militant afro-américain Fred Hampton, incarné avec ferveur par Daniel Kaluuya. Dommage que ce film, oscarisé ce dimanche, hésite entre thriller et biopic.
Le Monde
Nommé dans la catégorie « meilleur film » aux Oscars, le film de Shaka King est une dénonciation manichéenne, qui peine à se mesurer à la désinvolture hargneuse d’un Spike Lee.