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C'est l'histoire d'un amoureux de l'image, du cinéma, de la vie qui accroche au récit de sa vie des images glanées dans les caméras d'amateur.
André Bonzel a fait un extraordinaire travail de recherche dans toutes ses bobines. Il aborde les principaux aspects de sa vie (l'amour familial pour le cinéma, la relation difficile avec un père lointain, les femmes...) avec la juste distance.
C'est très original, personnel, authentique et émouvant. J'ai adoré. Allez le voir!
André Bonzel a fait un extraordinaire travail de recherche dans toutes ses bobines. Il aborde les principaux aspects de sa vie (l'amour familial pour le cinéma, la relation difficile avec un père lointain, les femmes...) avec la juste distance.
C'est très original, personnel, authentique et émouvant. J'ai adoré. Allez le voir!
Le coeur plein d'étoiles qui scintillent et le mental heureux d'avancer avec les propositions du film/doc. Émotion, cinéma et intelligent. On en aurait presque de l'amour à nouveau pour l'espèce humaine au sortir de la séance.
Quelle originalité ! Quel beau travail ! Que d'émotion !
Le sourire ne m'a pas quittée tout du long, même quand une larme affleurait parfois. Beaucoup d'humanité dans ce film à la fois intime et universel. André Bonzel a eu un peu de mal à finir, mais comme je comprends, pas facile de s'en détacher.
Le sourire ne m'a pas quittée tout du long, même quand une larme affleurait parfois. Beaucoup d'humanité dans ce film à la fois intime et universel. André Bonzel a eu un peu de mal à finir, mais comme je comprends, pas facile de s'en détacher.
C'est arrivé près de chez nous !
Une ode formidable à la vie et à l'amour illustrée par des milliers d'archives d'anonymes pour reconstituer une vie qui pourrait être la nôtre. Mis en musique par Biolay, ce roman universel vous saisit au cœur par sa poésie, son humour et son humanité. Singulier et troublant, le film vous réconforte et fait remonter le souvenir de ceux qu'on a aimé à la Fureur
Une ode formidable à la vie et à l'amour illustrée par des milliers d'archives d'anonymes pour reconstituer une vie qui pourrait être la nôtre. Mis en musique par Biolay, ce roman universel vous saisit au cœur par sa poésie, son humour et son humanité. Singulier et troublant, le film vous réconforte et fait remonter le souvenir de ceux qu'on a aimé à la Fureur
C'est une histoire racontée avec des bouts de film de famille, en super 8, comme on en a tous dans nos caves ou nos greniers. Cela donne un film unique, d'une formidable originalité, émouvant, drôle et mélancolique. Une histoire personnelle et tellement universelle en même temps, il n'est pas étonnant qu'elle puisse être racontée avec des films de familles différentes. Le montage est dynamique et intelligent. Et puis, il y a la musique de Benjamin Biolay qui sublime l'histoire et les images. Vraiment, une réussite, ce film ! Un délicieux jardin secret, reflet de celui que chacun de nous porte en lui.
Voilà un film nécessaire en ces temps troublés où les uns et les autres se querellent pour des broutilles, à propos de sujets que qu'aucun ne maîtrise vraiment.
Et j'aime à la fureur nous rappelle en effet ce qui nous rassemble, ce que nous avons en commun. L'amour, les histoires de famille, les joies, les peines, le sexe, la mort, en un mot : la vie. Ça n'a pas l'air de grand chose écrit comme ça mais je vous garantis que le visionnage de cet incroyable travail de montage redonne foi en l'humain et on en sort ému et heureux. Et c'est déjà beaucoup.
Et j'aime à la fureur nous rappelle en effet ce qui nous rassemble, ce que nous avons en commun. L'amour, les histoires de famille, les joies, les peines, le sexe, la mort, en un mot : la vie. Ça n'a pas l'air de grand chose écrit comme ça mais je vous garantis que le visionnage de cet incroyable travail de montage redonne foi en l'humain et on en sort ému et heureux. Et c'est déjà beaucoup.
Audrey L
Mais si, André Bonzel, celui qui a co-réalisé le stupéfiant C'est arrivé près de chez vous... Vous connaissez. Enfin, vous pensiez connaître, tout comme le réalisateur qui se découvre lui-même au fur et à mesure du docu auto-biographique très joliment romancé : voici le sexagénaire qui ouvre une malle et trouve des vues de cinéma, y applique tantôt des souvenirs tantôt des imaginations romantiques d'une vie possible, de passés qui pourraient être ceux des personnes sur les vues... On pensait qu'on allait s'ennuyer ferme (les autobio sont parfois surtout des auto-satisfactions, qui nous laissent de marbre), et puis on s'est laissé porter par la narration tout en douceur, par la musique inspirée de Benjamin Biolay (chapeau à l'artiste, la musique se repère comme un élément subtil et réussi tout au long du film), par les tendres récits de vie qui sont (ou pourraient bien être) ceux des fantômes sur pellicule, mêlés aux souvenirs (parfois très durs, comme le portrait du papa de Bonzel, épouvantable) du cinéaste sur sa propre famille. Il revient aussi sur ses propres tocs (son rapport chaotique à la nourriture : il ne mange que des pommes de terre) avec un regard extérieur, une introspection pleine d'humour (le vieux monsieur n'espère jamais nous accabler, il n'est pas triste !) et de poésie, un petit bijou qu'on n'attendait pas. Résolument romantique, avec un délicieux montage et une bande-son très soignée, Et j'aime à la fureur est une sacrément bonne surprise, qui comblera d'autant plus ceux qui ont un amour particulier pour les anciennes vues du cinéma (on plaide coupable avec plaisir).
Ce documentaire basé sur des films de famille retrouvés, retrace des moments de vie qui permettent au réalisateur de reconstituer l’histoire de sa propre famille. C’est intéressant à suivre. Le montage de ces archives cinématographique est bien agencé mais tout cela est trop prolixe et un peu long. Le film permet tout de même de rendre un bel hommage au cinéma.
Bernard CORIC
Bernard CORIC
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