Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Libération
par Clémentine Mercier
A travers ce kaléidoscope familier, ressort la conviction que la pellicule, organe sensible, enregistre sur les films amateurs plus que le réel : elle capte le désir, les gestes tendres, la joie et les rêves. Ces petites choses qui n’ont l’air de rien et sont pourtant l’essence de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Trente ans après C'est arrivé près de chez vous, Bonzel signe un retour aussi espiègle que bouleversant, accompagné d'une BO d'exception composée par Benjamin Biolay.
Positif
par Lætitia Mikles
En exhibant les films tournés dans l’intimité d’une chambre à coucher, en rendant à la vie l’empreinte éphémère des jours heureux, le cinéaste travaille l’air de rien la mémoire qui fout le camp, la cruauté d’un destin contrarié, et l’amour toujours l’amour.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Autoportrait à travers les vies des autres d’un enfant du XXe siècle et des frères Lumière, cabinet de curiosités d’un voyeur généreux, « Et j’aime à la fureur », mis en musique avec malice par Benjamin Biolay, déborde d’amour pour le cinéma, ce mensonge qui dit vrai vingt-quatre fois par seconde.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un documentaire aussi original que touchant
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La matière filmique – ruban anonyme de vues tour à tour tendres, lyriques, cocasses, grivoises – se fait ici ouverture sur le monde, invitation au partage de la vie, incitation à suppléer imaginairement au destin de ces gens qui ne nous sont rien, sinon nos plus proches semblables par le simple fait d’être filmés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Des bobines de films comme lien familial, dans un amour du cinéma artisanal, c’est toute la matière utilisée par André Bonzel dans son film. Cette histoire intime touche à l’universel en narrant ce point familier, celui des amours et des destins contrariés.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Puissamment intime, Et j’aime à la fureur ne place cependant jamais le spectateur en position de voyeur. Il l’invite dans ce tourbillon d’émotions fortes où fous rires et larmes se succèdent, accompagné par la BO d’une richesse époustouflante de Benjamin Biolay.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie-Hélène Soenen
Ce long métrage, son premier depuis C’est arrivé près de chez vous en 1992, est le geste émouvant d’un éternel enfant fasciné par les images d’inconnus, sur lesquelles il projette ses propres rêveries, angoisses et fantasmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Sud Ouest
par Sophie Avon
Émouvant, foutraque parfois, mais attachant et original, voici le portrait d’un cinéaste de 60 ans. Un acte de fureur, peut-être, d’amour sans aucun doute.
Libération
A travers ce kaléidoscope familier, ressort la conviction que la pellicule, organe sensible, enregistre sur les films amateurs plus que le réel : elle capte le désir, les gestes tendres, la joie et les rêves. Ces petites choses qui n’ont l’air de rien et sont pourtant l’essence de la vie.
Ouest France
Trente ans après C'est arrivé près de chez vous, Bonzel signe un retour aussi espiègle que bouleversant, accompagné d'une BO d'exception composée par Benjamin Biolay.
Positif
En exhibant les films tournés dans l’intimité d’une chambre à coucher, en rendant à la vie l’empreinte éphémère des jours heureux, le cinéaste travaille l’air de rien la mémoire qui fout le camp, la cruauté d’un destin contrarié, et l’amour toujours l’amour.
L'Obs
Autoportrait à travers les vies des autres d’un enfant du XXe siècle et des frères Lumière, cabinet de curiosités d’un voyeur généreux, « Et j’aime à la fureur », mis en musique avec malice par Benjamin Biolay, déborde d’amour pour le cinéma, ce mensonge qui dit vrai vingt-quatre fois par seconde.
Le Journal du Dimanche
Un documentaire aussi original que touchant
Le Monde
La matière filmique – ruban anonyme de vues tour à tour tendres, lyriques, cocasses, grivoises – se fait ici ouverture sur le monde, invitation au partage de la vie, incitation à suppléer imaginairement au destin de ces gens qui ne nous sont rien, sinon nos plus proches semblables par le simple fait d’être filmés.
Les Fiches du Cinéma
Des bobines de films comme lien familial, dans un amour du cinéma artisanal, c’est toute la matière utilisée par André Bonzel dans son film. Cette histoire intime touche à l’universel en narrant ce point familier, celui des amours et des destins contrariés.
Première
Puissamment intime, Et j’aime à la fureur ne place cependant jamais le spectateur en position de voyeur. Il l’invite dans ce tourbillon d’émotions fortes où fous rires et larmes se succèdent, accompagné par la BO d’une richesse époustouflante de Benjamin Biolay.
Télérama
Ce long métrage, son premier depuis C’est arrivé près de chez vous en 1992, est le geste émouvant d’un éternel enfant fasciné par les images d’inconnus, sur lesquelles il projette ses propres rêveries, angoisses et fantasmes.
Sud Ouest
Émouvant, foutraque parfois, mais attachant et original, voici le portrait d’un cinéaste de 60 ans. Un acte de fureur, peut-être, d’amour sans aucun doute.