Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film israélien tragi-comique qui mêle l’intime et le politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par Sophie Avon
Epaulé par des acteurs, tous palestiniens, absents du dernier Festival de Cannes où le film était labellisé israélien, Eran Kolirin insuffle de la tension à sa chronique désenchantée et cruelle avec le geste bravache d’une population enfin réunifiée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Le genre du conte guide Eran Kolirin depuis son premier long-métrage, La Visite de la fanfare (2007), l’inspire dans l’écriture de récits où l’absurde et l’imaginaire se mêlent au réel, de manière étrange, déroutante, humoristique. Et il y eut un matin (...) est son plus beau film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste israélien de « La Visite de la fanfare », Eran Kolirin, signe une tragi-comédie singulière qui évoque les tensions affligeant son pays. Une réussite qui confirme le talent de son auteur qui sait observer à bonne distance le tumulte du monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
À la fois cocasse et glaçant, ce film subtil sur un enfer communautaire confirme le talent d’un metteur en scène qui, envers et contre tout, préfère en rire. En rire jaune…
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Sud Ouest
par Sophie Avon
Adapté d’un roman de Sayed Kashua, « Et il y eut un matin » se déploie avec cette grâce singulière d’un cinéaste qui n’assène jamais sa vérité mais laisse flotter, par petites touches, le portrait intime d’une terre hantée par ses paradoxes.
Transfuge
par Séverine Danflous
Eran Kolirin signe avec Et il y eut un matin, un film très fin sur le corps politique, sur fond de conflit israélo-palestinien.
Télérama
par Cécile Mury
Si la chronique cocasse et cruelle d’une petite communauté sous pression rappelle la dérision des grandes comédies italiennes, le film dresse aussi un état des lieux impitoyable et engagé de la situation en Israël, et de son impact sur tout un peuple, de l’intime au collectif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En mêlant la tragédie du conflit israélo-palestinien et le destin contrarié d’une famille recluse dans un village, Eran Kolirin réalise un tour de force.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Si Et il y eut un matin n’atteint pas la force mélodramatique de La Visite de la fanfare, le film qui a révélé Kolirin en 2007, l’élégance de la mise en scène et l’emploi intelligent de l’humour absurde confirment la singularité de son regard sur la réalité de son pays.
La Croix
par Céline Rouden
Parfois un peu hermétique dans ses intentions, le film séduit par la cocasserie des situations et le charme de son acteur principal, Alex Bachri.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par B.P.
Si la toile de fond restitue avec justesse la situation de cette communauté (20 % de la population) coincée entre deux identités, le film manque vraiment de vitalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le réalisateur appuie là où ça fait mal, mais avec délicatesse et intelligence, au fil d’une fable tragi-comique où s’enlacent le général et le particulier.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Le quatrième long métrage d’Eran Kolirin mêle l’intime et le politique en évoquant les conséquences du conflit israélo-palestinien sur une famille. Un film semé de références, doux et puissant malgré quelques longueurs de rythme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Eithne O’Neill
Une bonne direction d’acteurs, renforcée par un flair pour l’épisode anecdotique, capte l’intérêt. Pourtant, cette adaptation d’un roman de Sayed Kashua porte l’empreinte de l’écrit romanesque, et le tempo pâtit du nombre de pistes abordées, dont l’écart entre les générations, le mariage difficile, la dialectique entre les armes et la prudence.
Première
par Thierry Chèze
Kolirin manie une fois encore brillamment l’absurde pour raconter le désenchantement et l’épuisement d’une population qui semble avoir abandonné l’idée de voir la paix de son vivant. Comme un complément parfait à la poésie d’un Elia Suleiman sur des thématiques identiques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Guillaume Gendron
A l’heure où un Nadav Lapid construit ses paraboles furieuses dans la littéralité la plus brutale, la fable douce-amère, aussi subtile soit-elle, apparaît comme un genre désuet, aux antipodes de ce (et ceux) qu’elle entend évoquer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Inrockuptibles
Un film israélien tragi-comique qui mêle l’intime et le politique.
L'Obs
Epaulé par des acteurs, tous palestiniens, absents du dernier Festival de Cannes où le film était labellisé israélien, Eran Kolirin insuffle de la tension à sa chronique désenchantée et cruelle avec le geste bravache d’une population enfin réunifiée.
Le Monde
Le genre du conte guide Eran Kolirin depuis son premier long-métrage, La Visite de la fanfare (2007), l’inspire dans l’écriture de récits où l’absurde et l’imaginaire se mêlent au réel, de manière étrange, déroutante, humoristique. Et il y eut un matin (...) est son plus beau film.
Les Echos
Le cinéaste israélien de « La Visite de la fanfare », Eran Kolirin, signe une tragi-comédie singulière qui évoque les tensions affligeant son pays. Une réussite qui confirme le talent de son auteur qui sait observer à bonne distance le tumulte du monde.
Marianne
À la fois cocasse et glaçant, ce film subtil sur un enfer communautaire confirme le talent d’un metteur en scène qui, envers et contre tout, préfère en rire. En rire jaune…
Sud Ouest
Adapté d’un roman de Sayed Kashua, « Et il y eut un matin » se déploie avec cette grâce singulière d’un cinéaste qui n’assène jamais sa vérité mais laisse flotter, par petites touches, le portrait intime d’une terre hantée par ses paradoxes.
Transfuge
Eran Kolirin signe avec Et il y eut un matin, un film très fin sur le corps politique, sur fond de conflit israélo-palestinien.
Télérama
Si la chronique cocasse et cruelle d’une petite communauté sous pression rappelle la dérision des grandes comédies italiennes, le film dresse aussi un état des lieux impitoyable et engagé de la situation en Israël, et de son impact sur tout un peuple, de l’intime au collectif.
aVoir-aLire.com
En mêlant la tragédie du conflit israélo-palestinien et le destin contrarié d’une famille recluse dans un village, Eran Kolirin réalise un tour de force.
Cahiers du Cinéma
Si Et il y eut un matin n’atteint pas la force mélodramatique de La Visite de la fanfare, le film qui a révélé Kolirin en 2007, l’élégance de la mise en scène et l’emploi intelligent de l’humour absurde confirment la singularité de son regard sur la réalité de son pays.
La Croix
Parfois un peu hermétique dans ses intentions, le film séduit par la cocasserie des situations et le charme de son acteur principal, Alex Bachri.
Le Figaro
Si la toile de fond restitue avec justesse la situation de cette communauté (20 % de la population) coincée entre deux identités, le film manque vraiment de vitalité.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur appuie là où ça fait mal, mais avec délicatesse et intelligence, au fil d’une fable tragi-comique où s’enlacent le général et le particulier.
Les Fiches du Cinéma
Le quatrième long métrage d’Eran Kolirin mêle l’intime et le politique en évoquant les conséquences du conflit israélo-palestinien sur une famille. Un film semé de références, doux et puissant malgré quelques longueurs de rythme.
Positif
Une bonne direction d’acteurs, renforcée par un flair pour l’épisode anecdotique, capte l’intérêt. Pourtant, cette adaptation d’un roman de Sayed Kashua porte l’empreinte de l’écrit romanesque, et le tempo pâtit du nombre de pistes abordées, dont l’écart entre les générations, le mariage difficile, la dialectique entre les armes et la prudence.
Première
Kolirin manie une fois encore brillamment l’absurde pour raconter le désenchantement et l’épuisement d’une population qui semble avoir abandonné l’idée de voir la paix de son vivant. Comme un complément parfait à la poésie d’un Elia Suleiman sur des thématiques identiques.
Libération
A l’heure où un Nadav Lapid construit ses paraboles furieuses dans la littéralité la plus brutale, la fable douce-amère, aussi subtile soit-elle, apparaît comme un genre désuet, aux antipodes de ce (et ceux) qu’elle entend évoquer.