Il n'y a pas d'ombre dans le désert : Critique presse
Il n'y a pas d'ombre dans le désert
Note moyenne
2,8
10 titres de presse
Les Echos
Transfuge
Voici
Le Monde
Le Point
Les Fiches du Cinéma
L'Obs
Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film sensible sur la mémoire individuelle et collective.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Transfuge
par Séverine Danflous
Un film pudique qui irradie.
Voici
par La Rédaction
Une variation délicate sur le poids de la mémoire.
Le Monde
par Cl. F.
Bref, ça respire la vie, et cela tient au fait que la comédienne franco-italienne, qui incarne une écrivaine, Anna, renouvelle son jeu, moins fantasque qu’à l’accoutumée, dans un mélange de force et de fragilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Avec délicatesse et porté par la belle interprétation de Valeria Bruni-Tedeschi, Yossi Aviram réussit ce portrait d'une femme en quête de vérité. S'ajoute à la mélancolie du sujet l'étrange impression de voir un monde d'avant puisque ce film a été tourné avant le 7 octobre…
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Sublimé par ses plans au milieu du désert, le film tire son épingle du jeu quand il réussit à s’abandonner, dans une mise en abime maline.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
On voudrait voir cette parabole de la mémoire prendre de l’étoffe, mais elle demeure dépourvue de relief. A cause entre autres de nombreux déséquilibres dans la dramaturgie, comme cette résolution trop tardive qui eût gagné à être avancée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le film figure l’importance pour les deux êtres d’enregistrer et de préserver une trace. Hélas, ce commentaire sur ses personnages peine à se transcender à l’écran et à trouver une véritable incarnation dans leur corps.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le brouillage des mémoires historiques et narratives constitue un véritable intérêt, Il n’y a pas d’ombre dans le désert faillit hélas à beaucoup de complaisance et de longueurs inutiles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Yohan Haddad
Si le début intrigue, Yossi Aviram travesti trop vite son film sur la mémoire en ersatz tendancieux de L’Année Dernière à Marienbad - et échoue à trouver l’équilibre entre une histoire d’amour contrariée et un récit intime sur la transmission.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Echos
Un film sensible sur la mémoire individuelle et collective.
Transfuge
Un film pudique qui irradie.
Voici
Une variation délicate sur le poids de la mémoire.
Le Monde
Bref, ça respire la vie, et cela tient au fait que la comédienne franco-italienne, qui incarne une écrivaine, Anna, renouvelle son jeu, moins fantasque qu’à l’accoutumée, dans un mélange de force et de fragilité.
Le Point
Avec délicatesse et porté par la belle interprétation de Valeria Bruni-Tedeschi, Yossi Aviram réussit ce portrait d'une femme en quête de vérité. S'ajoute à la mélancolie du sujet l'étrange impression de voir un monde d'avant puisque ce film a été tourné avant le 7 octobre…
Les Fiches du Cinéma
Sublimé par ses plans au milieu du désert, le film tire son épingle du jeu quand il réussit à s’abandonner, dans une mise en abime maline.
L'Obs
On voudrait voir cette parabole de la mémoire prendre de l’étoffe, mais elle demeure dépourvue de relief. A cause entre autres de nombreux déséquilibres dans la dramaturgie, comme cette résolution trop tardive qui eût gagné à être avancée.
Les Inrockuptibles
Le film figure l’importance pour les deux êtres d’enregistrer et de préserver une trace. Hélas, ce commentaire sur ses personnages peine à se transcender à l’écran et à trouver une véritable incarnation dans leur corps.
aVoir-aLire.com
Si le brouillage des mémoires historiques et narratives constitue un véritable intérêt, Il n’y a pas d’ombre dans le désert faillit hélas à beaucoup de complaisance et de longueurs inutiles.
Première
Si le début intrigue, Yossi Aviram travesti trop vite son film sur la mémoire en ersatz tendancieux de L’Année Dernière à Marienbad - et échoue à trouver l’équilibre entre une histoire d’amour contrariée et un récit intime sur la transmission.