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Mêlant plusieurs voix, entre souvenirs d'une vie de famille et fantasmes d'une réalité parallèle, cette œuvre intime et délicate, signée Mathieu Amalric, se révèle d'une beauté et d'une précision folles.
Une émotion distillée crescendo, une narration sinuant entre réel et imaginaire, passé et présent : Mathieu Amalric signe un mélodrame aussi bouleversant que virtuose.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Personne ne tient longtemps debout: tout tourne, se détruit, se reconstruit, rien n'est stable ni solide dans ce film qui affirme radicalement son homogénéité dans sa fragilité même.
Présenté en sélection officielle hors compétition au dernier Festival de Cannes, Serre-moi fort fait le portrait touchant d’une femme hantée par ses disparus.
Au mot deuil, qui n’est jamais prononcé, Mathieu Amalric oppose une injonction, « Serre-moi fort », d’autant plus belle qu’elle appartient au monde d’avant. Une injonction à choisir la vie pour peut-être tout recommencer, sans rien oublier.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
A la fin de ce requiem, Clarisse sera seule, dépossédée du Meccano d’illusions qui la tenait debout. Il ne reste plus, alors, au spectateur que le plaisir des larmes. Depuis Douglas Sirk, cinéaste de chevet d’Amalric et maître des faux-semblants, on sait qu’il peut être grand.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Je me souviens de tout, ou presque, de ce film qui ne se raconte pas, mais qui se meurt et qui se vit. Du soulagement de savoir que face à la douleur la plus impossible, il reste toujours la folie. Au moins pour un temps.
Là où Barbara, son précédent film, pouvait se montrer vertigineux par sa mise en abîme, le nouvel essai de Mathieu Amalric puise sa force dans son abstraction et ses rêveries. Vicky Krieps y est bouleversante.
La première scène est déjà la dernière : des photos de Polaroid étalées face cachée comme autant de cartes d’un tarot mental dont le retournement ne relève pas de l’explication apaisante, donc rabat-joie, mais de l’art de la divination appliqué au cinéma, sa légendaire magie qui pour une fois n’est pas surfaite.
Même si le film, fiévreux et alambiqué, s’égare parfois dans son dispositif cérébral, Serre-moi fort, incarné par l’excellente Vicky Krieps, vue récemment dans Bergman Island de Mia Hansen-Love, étonne par son étrangeté, sa sensibilité à vif et par les ambitions de sa construction scénaristique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Amalric réussit un miracle car c’est avec Clarisse que nous pleurons (beaucoup) et non de nous-mêmes. Nous sommes émus de sa créativité pour transfigurer le réel et inventer des scènes inoubliables d’une vie spirituelle.
Aussi intensément cérébral que puissamment émotionnel, Serre-moi fort s’appuie aussi sur une comédienne impressionnante dans sa manière de traverser et de faire partager ce roller-coaster de sensations contradictoires.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sur une trame morcelée, volontairement énigmatique, le drame familial de Mathieu Amalric finit par lasser à force de chercher à perdre le spectateur dans la confusion des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Peut-être que le malheur insondable auquel Serre Moi Fort entend très ambitieusement donner forme est trop immense pour qu’on ait bien voulu y accéder ; tout juste y a-t-il quelques instants où l’on a emboîté le pas à Clarisse et vu l’émotion poindre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
Un gros travail sur la musique et une actrice exceptionnelle, Vicky Krieps. Bouleversant.
Télé Loisirs
Mêlant plusieurs voix, entre souvenirs d'une vie de famille et fantasmes d'une réalité parallèle, cette œuvre intime et délicate, signée Mathieu Amalric, se révèle d'une beauté et d'une précision folles.
Télérama
Une émotion distillée crescendo, une narration sinuant entre réel et imaginaire, passé et présent : Mathieu Amalric signe un mélodrame aussi bouleversant que virtuose.
Bande à part
Entre réalité et imaginaire, vie et mort. Un beau grand film plein de secrets et de grâce.
CNews
Un récit bouleversant.
Cahiers du Cinéma
Personne ne tient longtemps debout: tout tourne, se détruit, se reconstruit, rien n'est stable ni solide dans ce film qui affirme radicalement son homogénéité dans sa fragilité même.
CinemaTeaser
Mystérieux et beau à tomber.
Critikat.com
Tourbillon parfois incompréhensible de vignettes plus ou moins connectées, Serre moi fort bouleverse lorsque rêve et réalité s'entremêlent pleinement.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Présenté en sélection officielle hors compétition au dernier Festival de Cannes, Serre-moi fort fait le portrait touchant d’une femme hantée par ses disparus.
Femme Actuelle
Vraiment poignant.
L'Humanité
Au mot deuil, qui n’est jamais prononcé, Mathieu Amalric oppose une injonction, « Serre-moi fort », d’autant plus belle qu’elle appartient au monde d’avant. Une injonction à choisir la vie pour peut-être tout recommencer, sans rien oublier.
L'Obs
A la fin de ce requiem, Clarisse sera seule, dépossédée du Meccano d’illusions qui la tenait debout. Il ne reste plus, alors, au spectateur que le plaisir des larmes. Depuis Douglas Sirk, cinéaste de chevet d’Amalric et maître des faux-semblants, on sait qu’il peut être grand.
La Septième Obsession
Je me souviens de tout, ou presque, de ce film qui ne se raconte pas, mais qui se meurt et qui se vit. Du soulagement de savoir que face à la douleur la plus impossible, il reste toujours la folie. Au moins pour un temps.
Le Dauphiné Libéré
Vicky Krieps met en jeu avec simplicité, sans mélo, les folies et obsessions qui naissent de la disparition des êtres chers.
Le Journal du Dimanche
Narration déstructurée, montage sensoriel, ellipses vertigineuses : un récit poignant et terriblement humain
Le Monde
Le réalisateur évoque avec délicatesse une femme qui se débat pour maintenir le lien avec son mari et ses enfants.
Les Echos
Une fiction singulière et émouvante.
Les Fiches du Cinéma
Là où Barbara, son précédent film, pouvait se montrer vertigineux par sa mise en abîme, le nouvel essai de Mathieu Amalric puise sa force dans son abstraction et ses rêveries. Vicky Krieps y est bouleversante.
Les Inrockuptibles
La première scène est déjà la dernière : des photos de Polaroid étalées face cachée comme autant de cartes d’un tarot mental dont le retournement ne relève pas de l’explication apaisante, donc rabat-joie, mais de l’art de la divination appliqué au cinéma, sa légendaire magie qui pour une fois n’est pas surfaite.
Marianne
Même si le film, fiévreux et alambiqué, s’égare parfois dans son dispositif cérébral, Serre-moi fort, incarné par l’excellente Vicky Krieps, vue récemment dans Bergman Island de Mia Hansen-Love, étonne par son étrangeté, sa sensibilité à vif et par les ambitions de sa construction scénaristique.
Marie Claire
Un drame poignant et pudique porté par l'interprétation magnétique de Vicky Krieps.
Positif
Amalric réussit un miracle car c’est avec Clarisse que nous pleurons (beaucoup) et non de nous-mêmes. Nous sommes émus de sa créativité pour transfigurer le réel et inventer des scènes inoubliables d’une vie spirituelle.
Première
Aussi intensément cérébral que puissamment émotionnel, Serre-moi fort s’appuie aussi sur une comédienne impressionnante dans sa manière de traverser et de faire partager ce roller-coaster de sensations contradictoires.
Transfuge
Avec Serre Moi Fort, Mathieu Amalric réalise un mélodrame poignant dans lequel un personnage féminin réussit à communiquer avec l’esprit de ses morts.
aVoir-aLire.com
Un film énigmatique et sensible sur une femme qui se répare en fuyant. Mathieu Amalric confirme son indiscutable talent de cinéaste.
Le Parisien
En adaptant une pièce de théâtre, Mathieu Amalric signe là un long-métrage complexe, cérébral, tourmenté, traversé par des moments poignants.
La Croix
Sur une trame morcelée, volontairement énigmatique, le drame familial de Mathieu Amalric finit par lasser à force de chercher à perdre le spectateur dans la confusion des sentiments.
Libération
Peut-être que le malheur insondable auquel Serre Moi Fort entend très ambitieusement donner forme est trop immense pour qu’on ait bien voulu y accéder ; tout juste y a-t-il quelques instants où l’on a emboîté le pas à Clarisse et vu l’émotion poindre.
Le Figaro
Le mélo façon puzzle de Mathieu Amalric irrite plus qu'il n'émeut. Ce maniérisme gnangnan fait regretter le réalisateur de Tournée.