Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un gros travail sur la musique et une actrice exceptionnelle, Vicky Krieps. Bouleversant.
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
Mêlant plusieurs voix, entre souvenirs d'une vie de famille et fantasmes d'une réalité parallèle, cette œuvre intime et délicate, signée Mathieu Amalric, se révèle d'une beauté et d'une précision folles.
Télérama
par Marie Sauvion
Une émotion distillée crescendo, une narration sinuant entre réel et imaginaire, passé et présent : Mathieu Amalric signe un mélodrame aussi bouleversant que virtuose.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Isabelle Danel
Entre réalité et imaginaire, vie et mort. Un beau grand film plein de secrets et de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Un récit bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Personne ne tient longtemps debout: tout tourne, se détruit, se reconstruit, rien n'est stable ni solide dans ce film qui affirme radicalement son homogénéité dans sa fragilité même.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Mystérieux et beau à tomber.
Critikat.com
par Marin Gérard
Tourbillon parfois incompréhensible de vignettes plus ou moins connectées, Serre moi fort bouleverse lorsque rêve et réalité s'entremêlent pleinement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Présenté en sélection officielle hors compétition au dernier Festival de Cannes, Serre-moi fort fait le portrait touchant d’une femme hantée par ses disparus.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Vraiment poignant.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Au mot deuil, qui n’est jamais prononcé, Mathieu Amalric oppose une injonction, « Serre-moi fort », d’autant plus belle qu’elle appartient au monde d’avant. Une injonction à choisir la vie pour peut-être tout recommencer, sans rien oublier.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Sophie Grassin
A la fin de ce requiem, Clarisse sera seule, dépossédée du Meccano d’illusions qui la tenait debout. Il ne reste plus, alors, au spectateur que le plaisir des larmes. Depuis Douglas Sirk, cinéaste de chevet d’Amalric et maître des faux-semblants, on sait qu’il peut être grand.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Pamela Pianezza
Je me souviens de tout, ou presque, de ce film qui ne se raconte pas, mais qui se meurt et qui se vit. Du soulagement de savoir que face à la douleur la plus impossible, il reste toujours la folie. Au moins pour un temps.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Vicky Krieps met en jeu avec simplicité, sans mélo, les folies et obsessions qui naissent de la disparition des êtres chers.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Narration déstructurée, montage sensoriel, ellipses vertigineuses : un récit poignant et terriblement humain
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le réalisateur évoque avec délicatesse une femme qui se débat pour maintenir le lien avec son mari et ses enfants.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Une fiction singulière et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Là où Barbara, son précédent film, pouvait se montrer vertigineux par sa mise en abîme, le nouvel essai de Mathieu Amalric puise sa force dans son abstraction et ses rêveries. Vicky Krieps y est bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
La première scène est déjà la dernière : des photos de Polaroid étalées face cachée comme autant de cartes d’un tarot mental dont le retournement ne relève pas de l’explication apaisante, donc rabat-joie, mais de l’art de la divination appliqué au cinéma, sa légendaire magie qui pour une fois n’est pas surfaite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Même si le film, fiévreux et alambiqué, s’égare parfois dans son dispositif cérébral, Serre-moi fort, incarné par l’excellente Vicky Krieps, vue récemment dans Bergman Island de Mia Hansen-Love, étonne par son étrangeté, sa sensibilité à vif et par les ambitions de sa construction scénaristique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Un drame poignant et pudique porté par l'interprétation magnétique de Vicky Krieps.
Positif
par Frédéric Mercier
Amalric réussit un miracle car c’est avec Clarisse que nous pleurons (beaucoup) et non de nous-mêmes. Nous sommes émus de sa créativité pour transfigurer le réel et inventer des scènes inoubliables d’une vie spirituelle.
Première
par Thierry Chèze
Aussi intensément cérébral que puissamment émotionnel, Serre-moi fort s’appuie aussi sur une comédienne impressionnante dans sa manière de traverser et de faire partager ce roller-coaster de sensations contradictoires.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari et Frédéric Mercier
Avec Serre Moi Fort, Mathieu Amalric réalise un mélodrame poignant dans lequel un personnage féminin réussit à communiquer avec l’esprit de ses morts.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film énigmatique et sensible sur une femme qui se répare en fuyant. Mathieu Amalric confirme son indiscutable talent de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par La Rédaction
En adaptant une pièce de théâtre, Mathieu Amalric signe là un long-métrage complexe, cérébral, tourmenté, traversé par des moments poignants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Sur une trame morcelée, volontairement énigmatique, le drame familial de Mathieu Amalric finit par lasser à force de chercher à perdre le spectateur dans la confusion des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Peut-être que le malheur insondable auquel Serre Moi Fort entend très ambitieusement donner forme est trop immense pour qu’on ait bien voulu y accéder ; tout juste y a-t-il quelques instants où l’on a emboîté le pas à Clarisse et vu l’émotion poindre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le mélo façon puzzle de Mathieu Amalric irrite plus qu'il n'émeut. Ce maniérisme gnangnan fait regretter le réalisateur de Tournée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
Un gros travail sur la musique et une actrice exceptionnelle, Vicky Krieps. Bouleversant.
Télé Loisirs
Mêlant plusieurs voix, entre souvenirs d'une vie de famille et fantasmes d'une réalité parallèle, cette œuvre intime et délicate, signée Mathieu Amalric, se révèle d'une beauté et d'une précision folles.
Télérama
Une émotion distillée crescendo, une narration sinuant entre réel et imaginaire, passé et présent : Mathieu Amalric signe un mélodrame aussi bouleversant que virtuose.
Bande à part
Entre réalité et imaginaire, vie et mort. Un beau grand film plein de secrets et de grâce.
CNews
Un récit bouleversant.
Cahiers du Cinéma
Personne ne tient longtemps debout: tout tourne, se détruit, se reconstruit, rien n'est stable ni solide dans ce film qui affirme radicalement son homogénéité dans sa fragilité même.
CinemaTeaser
Mystérieux et beau à tomber.
Critikat.com
Tourbillon parfois incompréhensible de vignettes plus ou moins connectées, Serre moi fort bouleverse lorsque rêve et réalité s'entremêlent pleinement.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Présenté en sélection officielle hors compétition au dernier Festival de Cannes, Serre-moi fort fait le portrait touchant d’une femme hantée par ses disparus.
Femme Actuelle
Vraiment poignant.
L'Humanité
Au mot deuil, qui n’est jamais prononcé, Mathieu Amalric oppose une injonction, « Serre-moi fort », d’autant plus belle qu’elle appartient au monde d’avant. Une injonction à choisir la vie pour peut-être tout recommencer, sans rien oublier.
L'Obs
A la fin de ce requiem, Clarisse sera seule, dépossédée du Meccano d’illusions qui la tenait debout. Il ne reste plus, alors, au spectateur que le plaisir des larmes. Depuis Douglas Sirk, cinéaste de chevet d’Amalric et maître des faux-semblants, on sait qu’il peut être grand.
La Septième Obsession
Je me souviens de tout, ou presque, de ce film qui ne se raconte pas, mais qui se meurt et qui se vit. Du soulagement de savoir que face à la douleur la plus impossible, il reste toujours la folie. Au moins pour un temps.
Le Dauphiné Libéré
Vicky Krieps met en jeu avec simplicité, sans mélo, les folies et obsessions qui naissent de la disparition des êtres chers.
Le Journal du Dimanche
Narration déstructurée, montage sensoriel, ellipses vertigineuses : un récit poignant et terriblement humain
Le Monde
Le réalisateur évoque avec délicatesse une femme qui se débat pour maintenir le lien avec son mari et ses enfants.
Les Echos
Une fiction singulière et émouvante.
Les Fiches du Cinéma
Là où Barbara, son précédent film, pouvait se montrer vertigineux par sa mise en abîme, le nouvel essai de Mathieu Amalric puise sa force dans son abstraction et ses rêveries. Vicky Krieps y est bouleversante.
Les Inrockuptibles
La première scène est déjà la dernière : des photos de Polaroid étalées face cachée comme autant de cartes d’un tarot mental dont le retournement ne relève pas de l’explication apaisante, donc rabat-joie, mais de l’art de la divination appliqué au cinéma, sa légendaire magie qui pour une fois n’est pas surfaite.
Marianne
Même si le film, fiévreux et alambiqué, s’égare parfois dans son dispositif cérébral, Serre-moi fort, incarné par l’excellente Vicky Krieps, vue récemment dans Bergman Island de Mia Hansen-Love, étonne par son étrangeté, sa sensibilité à vif et par les ambitions de sa construction scénaristique.
Marie Claire
Un drame poignant et pudique porté par l'interprétation magnétique de Vicky Krieps.
Positif
Amalric réussit un miracle car c’est avec Clarisse que nous pleurons (beaucoup) et non de nous-mêmes. Nous sommes émus de sa créativité pour transfigurer le réel et inventer des scènes inoubliables d’une vie spirituelle.
Première
Aussi intensément cérébral que puissamment émotionnel, Serre-moi fort s’appuie aussi sur une comédienne impressionnante dans sa manière de traverser et de faire partager ce roller-coaster de sensations contradictoires.
Transfuge
Avec Serre Moi Fort, Mathieu Amalric réalise un mélodrame poignant dans lequel un personnage féminin réussit à communiquer avec l’esprit de ses morts.
aVoir-aLire.com
Un film énigmatique et sensible sur une femme qui se répare en fuyant. Mathieu Amalric confirme son indiscutable talent de cinéaste.
Le Parisien
En adaptant une pièce de théâtre, Mathieu Amalric signe là un long-métrage complexe, cérébral, tourmenté, traversé par des moments poignants.
La Croix
Sur une trame morcelée, volontairement énigmatique, le drame familial de Mathieu Amalric finit par lasser à force de chercher à perdre le spectateur dans la confusion des sentiments.
Libération
Peut-être que le malheur insondable auquel Serre Moi Fort entend très ambitieusement donner forme est trop immense pour qu’on ait bien voulu y accéder ; tout juste y a-t-il quelques instants où l’on a emboîté le pas à Clarisse et vu l’émotion poindre.
Le Figaro
Le mélo façon puzzle de Mathieu Amalric irrite plus qu'il n'émeut. Ce maniérisme gnangnan fait regretter le réalisateur de Tournée.