Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Il y avait longtemps que Vincent Lindon n’avait pas fait autant rire et ce registre du « buddy movie » lui convient d’autant mieux que le réalisateur a ajouté une bonne dose de tendresse aux rapports entre les deux hommes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
François Damiens assume l’héritage, et ne boude pas son plaisir de jouer le con dans une comédie française « du dimanche soir ». Nous aussi, on l’aime ainsi Damiens, follement endimanché.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
GQ
par Jérémy Patrelle
"Mon cousin" n'est certainement pas la comédie de l'année, mais la toile tissée par le réalisateur Jan Kounen est suffisamment dense pour que l'on puisse se reposer dessus et apprécier le divertissement proposé.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Il y a quelque chose de connu dans le scénario léger (et abracadabrant et invraisemblable à bien des égards) de Mon Cousin. Un cousinage évident avec Le Dîner de cons de Francis Veber, dîner culte du cinéma français, qui mettait aux prises un éditeur lancé et un benêt berné, François Pignon, figure crédule et pittoresque, dont on se gausse, à son insu, mais à la fin, pas si con, et pas plus con que les autres.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
L'intérêt vient aussi que la comédie bascule au fur et à mesure dans une démesure capable de pousser de plus en plus loin le bouchon.
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Treize ans après "99 Francs", Jan Kounen revient à la comédie en dirigeant à un rythme effréné un tandem inédit d'acteurs : Vincent Lindon et François Damiens.
Bande à part
par Jo Fishley
François Damiens est le héros pop-corn d’une comédie qui elle-même est un pop-corn movie amusant et léger, sans prétention. Son jeu est vif et burlesque : chaque scène avec le comédien belge redonne du carburant au récit, qui baisse de régime sans lui. Sur lui reposent non seulement la dynamique de l’histoire, mais aussi l’univers du film, qui tire vers l’absurde, joyeusement lâché, sans se prendre au sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Mais s’il reste de bonne facture avec l’apparition furtive de Gaspar Noé, Albert Dupontel et Jan Kounen lui-même, ce divertissement n’échappe pas aux poncifs du genre avec une trame narrative cousue de fil blanc.
Closer
par La Rédaction
Un duo décapant et attachant.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le tandem constitué par Vincent Lindon et François Damiens, délicieusement lunaire, fonctionne à merveille. Le premier, en grand bourgeois qui s’est oublié sur le chemin de la réussite, et le second, sur le fil d’une hypersensibilité à double tranchant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
C’est drôle, sans que la recherche du gag ne tourne à l’obsession. Il y a même une sorte de folie douce dans le jeu de Damiens, qui parvient à exister face à l’abattage de Lindon. Jolie performance.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Malgré cette débauche de moyens et ce goût du cartoon, les acteurs ont le dernier mot. Ce sont eux les vrais effets spéciaux. Ce sont eux qui donnent à Mon cousin sa morale sympathique: les fous ont parfois raison. Et Lindon trouve ici un rôle intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par E.M.
Le scénario privilégie l'émotion à l'empilage de gags, au risque parfois de perdre en rythme et en efficacité. Mais cette comédie sentimentale avec happy end se révèle touchante en explorant les ressorts intimes et les blessures d'enfance de ses héros.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Il y a un ventre mou et quelques séquences franchement ratées dans «Mon cousin », qui fait appel de manière assez maladroite au burlesque et au surréalisme.Mais lorsque le film convoque le bon vieux filon du « con » ou du « boulet », il s'avère beaucoup plus réussi (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Pierre Lunn
L’ensemble est parfois brouillon, parfois forcé (la rédemption de Lindon). Mais lorsque l’esprit frondeur de Jan Kounen se libère de la loi du marché (une mouette peut décider du destin des gens), cette comédie morale retrouve subrepticement la dinguerie punk du réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Jan Kounen signe une comédie déjà vue, certes pas désagréable, mais qui ne trouve jamais le ton juste entre comique de situation et émotion.
Positif
par Bernard Génin
Kounen fait ce qu’il peut pour renouveler un programme tellement prévisible (pitreries et bévues du « con » de service, exaspération de sa victime, réconciliation des deux hommes) mais la légèreté n’a jamais été son fort.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Certes, comme prévu, le « pop-corn » Adrien a sauté partout en faisant triompher sa vertu fondée sur les liens de l’enfance. Mais la tendresse à laquelle s’abandonne Jan Kounen après avoir feint de dynamiter le monde de l’argent confine à une mièvrerie que l’interprétation ne parvient pas à sauver.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
A vouloir y réinjecter ses poncifs navrants sur les dérives du monde moderne et le territoire sacré de la folie, une de ses vieilles lunes, Kounen ne semble même pas réaliser à quel point ce qu’il en tire est ringard et dégradant (des asiles de cartoon avec des cinglés qui louchent et qui tirent la langue, des psys à la chasse au dingue en fuite, avides de lui renfiler la camisole), trop occupé à s’autoconvaincre d’avoir une fois de plus “piraté le système”, voire “choqué le bourgeois.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Hélène Marzolf
Autrefois provocateur, Jan Kounen (Doberman, 99 Francs) perd tout mordant et s’empêtre dans le sentimentalisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Il y avait longtemps que Vincent Lindon n’avait pas fait autant rire et ce registre du « buddy movie » lui convient d’autant mieux que le réalisateur a ajouté une bonne dose de tendresse aux rapports entre les deux hommes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
François Damiens assume l’héritage, et ne boude pas son plaisir de jouer le con dans une comédie française « du dimanche soir ». Nous aussi, on l’aime ainsi Damiens, follement endimanché.
GQ
"Mon cousin" n'est certainement pas la comédie de l'année, mais la toile tissée par le réalisateur Jan Kounen est suffisamment dense pour que l'on puisse se reposer dessus et apprécier le divertissement proposé.
Le Dauphiné Libéré
Il y a quelque chose de connu dans le scénario léger (et abracadabrant et invraisemblable à bien des égards) de Mon Cousin. Un cousinage évident avec Le Dîner de cons de Francis Veber, dîner culte du cinéma français, qui mettait aux prises un éditeur lancé et un benêt berné, François Pignon, figure crédule et pittoresque, dont on se gausse, à son insu, mais à la fin, pas si con, et pas plus con que les autres.
Ouest France
L'intérêt vient aussi que la comédie bascule au fur et à mesure dans une démesure capable de pousser de plus en plus loin le bouchon.
Télé Loisirs
Treize ans après "99 Francs", Jan Kounen revient à la comédie en dirigeant à un rythme effréné un tandem inédit d'acteurs : Vincent Lindon et François Damiens.
Bande à part
François Damiens est le héros pop-corn d’une comédie qui elle-même est un pop-corn movie amusant et léger, sans prétention. Son jeu est vif et burlesque : chaque scène avec le comédien belge redonne du carburant au récit, qui baisse de régime sans lui. Sur lui reposent non seulement la dynamique de l’histoire, mais aussi l’univers du film, qui tire vers l’absurde, joyeusement lâché, sans se prendre au sérieux.
CNews
Mais s’il reste de bonne facture avec l’apparition furtive de Gaspar Noé, Albert Dupontel et Jan Kounen lui-même, ce divertissement n’échappe pas aux poncifs du genre avec une trame narrative cousue de fil blanc.
Closer
Un duo décapant et attachant.
La Croix
Le tandem constitué par Vincent Lindon et François Damiens, délicieusement lunaire, fonctionne à merveille. Le premier, en grand bourgeois qui s’est oublié sur le chemin de la réussite, et le second, sur le fil d’une hypersensibilité à double tranchant.
La Voix du Nord
C’est drôle, sans que la recherche du gag ne tourne à l’obsession. Il y a même une sorte de folie douce dans le jeu de Damiens, qui parvient à exister face à l’abattage de Lindon. Jolie performance.
Le Figaro
Malgré cette débauche de moyens et ce goût du cartoon, les acteurs ont le dernier mot. Ce sont eux les vrais effets spéciaux. Ce sont eux qui donnent à Mon cousin sa morale sympathique: les fous ont parfois raison. Et Lindon trouve ici un rôle intéressant.
Le Journal du Dimanche
Le scénario privilégie l'émotion à l'empilage de gags, au risque parfois de perdre en rythme et en efficacité. Mais cette comédie sentimentale avec happy end se révèle touchante en explorant les ressorts intimes et les blessures d'enfance de ses héros.
Le Parisien
Il y a un ventre mou et quelques séquences franchement ratées dans «Mon cousin », qui fait appel de manière assez maladroite au burlesque et au surréalisme.Mais lorsque le film convoque le bon vieux filon du « con » ou du « boulet », il s'avère beaucoup plus réussi (...).
Première
L’ensemble est parfois brouillon, parfois forcé (la rédemption de Lindon). Mais lorsque l’esprit frondeur de Jan Kounen se libère de la loi du marché (une mouette peut décider du destin des gens), cette comédie morale retrouve subrepticement la dinguerie punk du réalisateur.
Télé 7 Jours
Jan Kounen signe une comédie déjà vue, certes pas désagréable, mais qui ne trouve jamais le ton juste entre comique de situation et émotion.
Positif
Kounen fait ce qu’il peut pour renouveler un programme tellement prévisible (pitreries et bévues du « con » de service, exaspération de sa victime, réconciliation des deux hommes) mais la légèreté n’a jamais été son fort.
Sud Ouest
Certes, comme prévu, le « pop-corn » Adrien a sauté partout en faisant triompher sa vertu fondée sur les liens de l’enfance. Mais la tendresse à laquelle s’abandonne Jan Kounen après avoir feint de dynamiter le monde de l’argent confine à une mièvrerie que l’interprétation ne parvient pas à sauver.
Les Inrockuptibles
A vouloir y réinjecter ses poncifs navrants sur les dérives du monde moderne et le territoire sacré de la folie, une de ses vieilles lunes, Kounen ne semble même pas réaliser à quel point ce qu’il en tire est ringard et dégradant (des asiles de cartoon avec des cinglés qui louchent et qui tirent la langue, des psys à la chasse au dingue en fuite, avides de lui renfiler la camisole), trop occupé à s’autoconvaincre d’avoir une fois de plus “piraté le système”, voire “choqué le bourgeois.
Télérama
Autrefois provocateur, Jan Kounen (Doberman, 99 Francs) perd tout mordant et s’empêtre dans le sentimentalisme.