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    Disco Boy
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    75 critiques spectateurs

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    ffred
    ffred

    1 695 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 mars 2024
    D’entrée je me suis ennuyé. Je n’ai jamais accroché, ni au récit, ni au personnage. Certes les images et la musique sont belles, mais au final je crois que je n’ai pas compris grand chose. J’ai été largué assez vite et ai eu du mal à aller jusqu’au bout. L’acteur allemand Franz Rogowski (Great freedom) a vraiment la gueule de l’emploi et s’en sort très bien. C’est à peu près tout ce que je retiendrai de ce Disco Boy…
    evariste75
    evariste75

    152 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 avril 2024
    Ce film n'a vraiment pas marqué ma mémoire...

    Mauvais acteurs, scénario inconsistant, quel est le message du film?

    Ennui profond...
    carbone144
    carbone144

    88 abonnés 772 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 novembre 2024
    S'il partait plutôt bien et laissait présager une histoire forte et intéressante, Disco Boy se dirige rapidement dans une impasse. L'impression que le film ne sait plus trop quoi raconter, étire les scènes inutilement, perd le rythme et l'intérêt en se perdant dans les méandres de l'incompréhensible et de l'ésotérique. Dommage, car les images sont belles et les interprétations de qualité.
    CrackO DingO
    CrackO DingO

    44 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mai 2024
    Film envoûtant, doté de bons acteurs inconnus, et d'une b.o digne. On prendra plaisir à le faire découvrir. La pellicule est soignée. Un bon 3 étoiles. ----Mars 2024----
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    67 abonnés 210 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2023
    Un film hypnotisant, une expérience sensorielle, tant visuelle que sonore, dont l’atmosphère pourrait se rapprocher de celle de Pacifiction et celle de l’excellent film de Ryan Gosling, Lost River.

    Un film aux qualités de mise en scène indéniables. Giacomo Abbruzzese impressionne par sa singularité pour un premier long-métrage. Des idées de cinéma, comme le combat filmé en caméra infrarouge, que je n’avais jamais vues auparavant.

    Un film pour lequel il faut accepter de lâcher prise et de se laisser porter, sans trop savoir où il nous emmène. « Êtes-vous prêt à prendre des risques ? » lâche le recruteur de la Légion Étrangère, comme s’il s’adressait également au spectateur, sur le point d’embarquer pour un voyage qu’il n’est pas près d’oublier.

    Un film dont le plus frappant est l’extrême liberté qui s’en dégage. La liberté du réalisateur de s’affranchir de contraintes narratives, d’utiliser l’ellipse pour aller à l’essentiel et ne filmer que ce qu’il a envie de filmer. L’audace de passer, par exemple, de la forêt nigériane à une boîte de nuit parisienne, sans transition, et de flirter avec l’ésotérique.

    Un film dont l’accent et la gueule de l’acteur principal, Franz Rogowski, marquent les esprits. Tout comme le regard perçant de Morr Ndiaye.

    Un film à la photographie superbe et dont chaque plan est un véritable tableau, sans toutefois tomber dans l'esthétique du vidéoclip.

    Un film dont la bande originale, composée par le toujours génial Vitalic, est un personnage du film à part entière. Tantôt abyssale, tantôt mélancolique, elle habille parfaitement la solitude, le mal-être, les tourments et la rugosité du personnage principal.

    Un film qui nous plonge dans un état d’inconfort, une sorte de rêverie éveillée, de par son ambiance lourde, ses personnages à vif et torturés, sa musique techno sombre.

    Un film dont certains diront peut-être que la forme tend à l’emporter un peu trop sur le fond mais qui révèle un réalisateur au potentiel énorme.

    Ma page ciné insta : fenetre_sur_salle
    Yves G.
    Yves G.

    1 456 abonnés 3 486 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2023
    Aleksei (Franz Rogowski) est un jeune Biélorusse qui quitte son pays au péril de sa vie, arrive à Paris et rejoint la Légion étrangère. Après sa formation, il sera déployé dans le delta du fleuve Niger dans une opération spéciale visant à secourir des otages retenus par des guérilleros. spoiler: Leur chef aux yeux vairons, Jomo, a une sœur, Udoka, dont Aleksei, de retour à Paris, croisera le chemin dans d’étranges circonstances.


    Disco Boy est un curieux film qui ne tient pas en place. Il commence à la frontière polonaise de la Biélorussie, continue dans un camp d’entraînement de la Légion (qui ressemble plus à l’Ile de France qu’à Castelnaudary) avant de faire un détour par la jungle africaine (filmée, pour les besoins du genre, à La Réunion).
    Son sujet est la rencontre improbable entre deux hommes que tout sépare sinon l’engagement militaire : un réfugié biélorusse en mal d’intégration et le chef d’un obscur mouvement d’indépendance nigérian (et non pas nigérien comme l’indiquent à tort les sous-titres).

    Mais on va dire que, mal réveillé, bougon, je pinaille ce matin… et on aura raison.

    Disco Boy est le premier film d’un plus si jeune réalisateur d’origine italienne et formé en France, Giacomo Abbruzzese, qui a eu toutes les difficultés du monde à en boucler le financement. Sa patte est étonnante qui rappelle tout à la fois Bertrand Bonello (on pense à l’ambiance noctambule de Nocturama mais aussi au vaudou de Zombie Child), Clément Cogitore et ses soldats français dépêchés en Afghanistan filmés en caméra infrarouge de Ni le ciel ni la terre et, bien sûr, Claire Denis et le fascinant ballet homo-érotique des légionnaires de Beau Travail.

    Comme souvent dans les premiers films, Disco Boy brasse beaucoup de sujets, dont on sent que le réalisateur, trop gourmand, a voulu parler. C’est à première vue un film de guerre qui réussit à s’affranchir des canons ultra-balisés du genre dans la scène centrale du film qu’on n’oubliera pas de sitôt. C’est ensuite une oeuvre qui flirte avec le fantastique, peuplée de fantômes, dont le sujet, tout bien réfléchi, et une fois éclaircies les questions légitimes qu’on pouvait se poser à la sortie de la salle, se réduit à un argument très simple : une réincarnation. C’est aussi un film musical habité par la musique techno de Vitalic. C’est enfin et peut-être surtout une réflexion sur l’immigration et l’intégration.
    On ferait fausse route en espérant un film sur la Légion étrangère, ses us et ses coutumes. Ce registre là était autrement mieux traité dans Mon légionnaire, un film beaucoup plus académique dont l’action se déroulait près de Calvi.
    mat niro
    mat niro

    353 abonnés 1 823 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2023
    "Disco Boy" est un film quelque peu déstabilisant. En effet, on passe de la fuite d'Alex et son ami dans le but de rejoindre la France et intégrer la Légion Etrangère à la résistance armée de jeunes nigérians. Seulement, l'intérêt de cette oeuvre prend tout son sens quand les deux histoires vont se recouper. Franz Rogowski est parfait en légionnaire qui va voir ses certitudes s'effriter peu à peu. Dommage que le cinéaste use et abuse d'images subliminales et de sons criants. Un ensemble original et détonnant qui laisse un peu sur sa faim devant la dérive de notre héros.
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mai 2023
    Ce premier long métrage de Giacomo Abbruzzese avait sans aucun doute de multiples ambitions, un film sur l’exil, un énième film sur la Légion étrangère, la formation militaire et le trauma au combat… un film de guerre atypique, où les deux camps existeraient à l'écran à part entière, sans être réduits à l'état d'ennemi ou de victime…une célébration sensorielle de la danse comme un fil rouge …
    spoiler: L’idée originelle du film viendrait d’une rencontre dans une boîte de nuit avec un danseur qui avait été soldat : « Cela m’avait énormément intrigué, du fait des points de contact inattendus entre ces deux réalités : la discipline très forte, une sorte de plaisir pour l’effort extrême, le besoin de terminer une journée en étant complètement épuisé » souligne Giacomo Abbruzzese
    spoiler:
    ….
    Mais le film se perd dans une lourdeur proportionnelle à ses ambitions…
    Aleksei (Franz Rogowski), un exilé biélorusse a fait défection lors d’un voyage de supporters en Pologne, traverse à la nage le fleuve frontière entre Pologne et Allemagne, débarque en France et s’engage par défaut dans les rangs de la Légion étrangère. Pendant ce temps, dans le delta du Niger, Jomo (Morr Ndiaye) a pris les armes pour lutter contre l’exploitation néocoloniale de sa région. spoiler:
    spoiler:
    Aucun rapport direct ne sera noué entre ces deux trames pendant une bonne partie de « Disco Boy », jusqu’à l’envoi d’Aleksei dans la jungle nigériane afin de spoiler: libérer deux hommes d’affaires français pris en ota
    ge par la bande de Jomo…opération commando dans un pays souverain, curieux !! Fiévreux et chaotique, le film mise avec facilité sur de nombreux effets de manche : gros plans et lents travellings anxiogènes, transitions brutales, morceaux d’électro supposés générer de l’intensité à peu de frais… images filmées de nuit et en vision thermique…avant de perdre pied dans sa deuxième moitié, dont le mysticisme pailleté repose sur des scènes de rêveries à l’exotisme fétichisant (Aleksei est mystérieusement attiré par Udaka, la petite sœur de Jomo devenue danseuse dans une boîte de nuit parisienne…on se demande comment elle y est arrivée !!),
    Film se voulant avant tout d’atmosphère, nimbé d’une techno âpre signée Vitalic… il faut accepter de se laisser bercer par la prédominance des effets fantasmagoriques qui font perdre peu à peu le fil narratif de l'histoire . Fiévreux et chaotique, le film mise avec facilité sur de nombreux effets de manche. On s’y perd …Je n’ai pas compris qu’il ait été couronné par l’Ours d’argent de la meilleure contribution artistique à Berlin … Voir moins
    Commentaires
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2023
    Tourné sur plusieurs continents, Disco boy nous plonge dans l’histoire parallèle de deux jeunes hommes que le destin va faire se rencontrer, Aleksei, un Biélorusse enrôlé au sein de la Légion étrangère française et Jomo, un jeune Nigérian militant du Mouvement pour l’émancipation du delta du Niger (Mend). Très élégamment mis en scène – en particulier les séquences se déroulant au Nigéria – Disco boy s’inscrit avec ambition dans la lignée d’un cinéma contemplatif et onirique qu’on pourrait situer quelque part entre Clément Cogitore et Claire Denis, mais hélas sans jamais atteindre le niveau de ces cinéastes. Si ce premier long-métrage de l’Italien Giacomo Abbruzzese est plus qu’honorable, il souffre d’une progression artificielle et de séquences tape-à-l’œil dans lesquelles le réalisateur se regarde un peu filmer. Néanmoins tout à fait estimable.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    175 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2023
    Un biélorusse qui a appris le français par le cinéma s'engage dans la légion étrangère. Un nigérian qui rêve de devenir un "disco boy" est à la tête d'une rébellion qui ne veut plus tendre l'autre joue. Quand ces deux solitudes se croisent, l'une va devenir le fantôme de l'autre. Entre expérimentations et hommage à Apocalypse Now et ses soldats hallucinés, voici un film fiévreux, abstrait et hypnotique idéalement mis en musique par Vitalic. C'est une première œuvre, ce qui force d'autant plus le respect, Giacomo Abbruzzese est un réalisateur à suivre, cela ne fait aucun doute.
    Mélany T
    Mélany T

    31 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 juillet 2023
    Mise en scène sublime et récit merveilleux d'intelligence et de douceur, ce premier film est remarquable.
    @placeoflucas
    @placeoflucas

    25 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mai 2023
    Exactement comme pour le cas d'Annette de Leos Carax à sa sortie de Cannes, à une échelle bien moins étendue, le film se confronte à deux extrêmes.
    D'un côté les gens qui (comme moi) se sont laissés emporter par l'énergie et l'aplomb de ce film-trip et de l'autre ceux qui y ont vu un énième film de guerre sur la Légion Étrangère et qui par défaut n'ont pas apprécié une vision artistique qui bouscule, ne serait-ce que dans sa proposition, un thème déjà grandement exploité.

    Si le film surprend, certes, il est néanmoins nécessaire de faire une relecture mentale en sortant de la salle, si vous n'êtes pas certains d'avoir tout compris ce n'est rien, le film n'est pas un cours de mathématique et vous n'aurez pas d'interrogation.
    En sachant cela, laissez vous simplement happer par une suggestion d'images et de séquences ,certaines éblouissantes, (le combat filmé en infrarouge, la première scène dans la boîte de nuit ou encore la danse autour du feu), qui, misent bout-à-bout et agrémentés d'une B.O. hypnotisante, vous plongera dans ce film en en sortant remué mais pas moins troublé. spoiler:
    Regine C.C
    Regine C.C

    35 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2023
    Ce film met en scène la légion étrangère où de nombreux immigrés trouvent un toit quand ils ont l'étoffe pour supporter la discipline de fer de l'armée, le tout dans une bonne entente. Mais surtout il traite des répercussions psychologiques des soldats. C'est ainsi que le personnage de notre film, alors qu'il ne présentait aucune disposition à cela, se retrouve discoboy
    Je salue la performance de cet acteur allemand qui malgré un petit handicap phoniatrique, se distingue régulièrement par la pertinence de ses rôles.
    Quelques scènes originales, entre autre des combats nocturnes en infra rouge.
    Film original. A voir.
    Félix MASSON
    Félix MASSON

    25 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mai 2023
    Hmm est ce que c'est très mal joué ou je délire (toujours compliqué pour des étrangers de jouer en français de façon crédible aussi) ? Déjà que le film n'a aucun dialogue (pas toujours une mauvaise chose mais ici ça aurait été bien d'un peu avoir de l'échange. Le personnage principal est vraiment osef et on ne s'attache à aucun moment à lui. Pourtant le scénario essaye de nous dire que sa vie est compliqué, qu'il a du remord ?, qu'il a fait des mauvais choix ? ou des bons ?... Je sais pas trop enfait ce que le film veut dire. Il est trop brut et manque d'un réel investissement, d'une ligne directrice, d'une morale, d'un scénario, d'une passion... L'esthétique est sympa mais malheureusement le cheap est là, du coup pour être esthétique on a de la grosse lumière artificielle. J'ai trouvé intéressant le passage en infrarouge même si encore une fois pourquoi ? Il ne va jamais assez loin dans l'expérimental pour qu'il en devienne intéressant. Je met deux étoiles car il y a des belles images par moment et globalement on regarde le film sans trop broncher mais un peu une perte de temps.
    Climax
    Climax

    5 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 septembre 2023
    Un film long qui se révèle terriblement creux, l'histoire tient sur 2 lignes, un soldat hanté par le fantôme de celui qu'il a tué. C'est visuellement pauvre, on sent par le montage lent que chaque image est censé nous plonger dans une intense réflexion ou admiration mais ce n'est pas le cas. En voyant que c'était Vitalic qui signait la musique, je m'attendais a quelque chose de plus vibrant ou au moins de plus dynamique.
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