Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Halluciné, mystique, déstabilisant, sous amphétamines, dynamité par la bande-son signée du Français Vitalic, ce premier long-métrage est hanté par la guerre, la techno et les fantômes. Avec lui, un jeune cinéaste est né (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Incendiaire, exalté et poétique, Disco Boy réinvente le film de guerre. Giacomo Abbruzzese est le réalisateur du moment à suivre absolument.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
par Françoise Delbecq
Un envoûtant live de la jungle.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le film tend progressivement vers l’abstraction pour embarquer le spectateur dans une aventure visuelle et sonore aussi splendide qu’envoûtante où la danse, sur fond de musique techno incantatoire signée Vitalic, transcende les différences.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Ma. Mt.
Moins cryptique qu’il n’y paraît, Disco Boy raconte bien une histoire, mais une histoire de fantômes et de possession – on pourrait tout aussi bien dire d’absence et de manque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Giovanni Abbruzzese réussit un parallèle entre le jusqu’au-boutisme vain de la guerre et l’abandon des corps et des esprits dans la musique. Appuyé par de très belles idées de mise en scène, ce premier long métrage déroute, avant d’ensorceler, le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Damien Leblanc
Partant en quête de cette grâce musicale et des gestes qui lui sont associés, Aleksei finit par se confondre avec le spectateur du film, qui connaît l’extase et se tient prêt à abandonner la violence du monde pour embrasser l’utopie et le rêve d’une danse ininterrompue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Les qualités de "Disco Boy" ne sont pas que plastiques. Le récit décrit un jeune homme mutique, invisible, qui traverse la vie dans une solitude radicale. Il danse sans cesse avec la mort.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Entre Egoyan et Mandico, Giacomo Abbruzzese signe avec le film Disco Boy une magnifique géographie de la nuit.
Télérama
par Jérémie Couston
n film audacieux, entre guerre et transe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
S'il sait figurer avec éclat la porosité des espaces et des temps [...], le film finit par trop laisser sentir que le monde qu'il façonne n'est soumis qu'à d'autres règles que celles qu'il a lui-même écrites. Les réserves qu'inspire Disco Boy sont pourtant les corollaires d'une immense qualité : un brûlant désir d'inventer des images, qui rend forcément curieux de la suite du parcours de Giacomo Abbruzzese.
L'Obs
par N. S.
Le cinéaste se regarde un peu faire, au détriment du récit, mais son film a un indéniable pouvoir d’envoûtement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
L’image déverse sa beauté langoureuse et noble. Disco Boy semble parfois se perdre dans la magie qu’il déploie, mais il retrouve toujours un point d’ancrage, dans cette manière qu’il a d’être constamment hanté par des formes, des souvenirs, des hallucinations.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 2 semaines
par S.O.
C'est sur la ligne ténue entre folie et réalité que se maintient le film de Giacomo Abbruzzese, soutenu par un travail remarquable sur l'image et le son. Dommage que la dérive hallucinée du personnage nous perde en route.
Critikat.com
par Corentin Lê
Fiévreux et chaotique, le film mise avec facilité sur de nombreux effets de manche.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Pablo Patarin
Indépendamment du synopsis aguicheur et de scènes créatives, l’œuvre nous perd, parfois en même temps que son protagoniste, le scénario reposant avant tout sur ses conflits intimes. Le film souffre néanmoins d’une esthétique chargée, de symboles répétitifs et d’une lourdeur dans la mise en scène que les ellipses successives ne suffisent à compenser.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Luc Chessel
Enième film sur la Légion étrangère (osé après "Beau travail", ou, subtil, le "Grand Homme" de Sarah Leonor), "Disco Boy" fait passer son acteur sublime, Franz Rogowski, gueule d’amour toxique, à la moulinette de ses fantasmes même pas homoérotiques, comme de la bonne chair fraîche à ciné, tout en dénonçant, dans l’histoire, sa réduction patriotique en chair à pâtée militaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
Halluciné, mystique, déstabilisant, sous amphétamines, dynamité par la bande-son signée du Français Vitalic, ce premier long-métrage est hanté par la guerre, la techno et les fantômes. Avec lui, un jeune cinéaste est né (...).
aVoir-aLire.com
Incendiaire, exalté et poétique, Disco Boy réinvente le film de guerre. Giacomo Abbruzzese est le réalisateur du moment à suivre absolument.
Elle
Un envoûtant live de la jungle.
Le Journal du Dimanche
Le film tend progressivement vers l’abstraction pour embarquer le spectateur dans une aventure visuelle et sonore aussi splendide qu’envoûtante où la danse, sur fond de musique techno incantatoire signée Vitalic, transcende les différences.
Le Monde
Moins cryptique qu’il n’y paraît, Disco Boy raconte bien une histoire, mais une histoire de fantômes et de possession – on pourrait tout aussi bien dire d’absence et de manque.
Les Fiches du Cinéma
Giovanni Abbruzzese réussit un parallèle entre le jusqu’au-boutisme vain de la guerre et l’abandon des corps et des esprits dans la musique. Appuyé par de très belles idées de mise en scène, ce premier long métrage déroute, avant d’ensorceler, le spectateur.
Première
Partant en quête de cette grâce musicale et des gestes qui lui sont associés, Aleksei finit par se confondre avec le spectateur du film, qui connaît l’extase et se tient prêt à abandonner la violence du monde pour embrasser l’utopie et le rêve d’une danse ininterrompue.
Sud Ouest
Les qualités de "Disco Boy" ne sont pas que plastiques. Le récit décrit un jeune homme mutique, invisible, qui traverse la vie dans une solitude radicale. Il danse sans cesse avec la mort.
Transfuge
Entre Egoyan et Mandico, Giacomo Abbruzzese signe avec le film Disco Boy une magnifique géographie de la nuit.
Télérama
n film audacieux, entre guerre et transe.
Cahiers du Cinéma
S'il sait figurer avec éclat la porosité des espaces et des temps [...], le film finit par trop laisser sentir que le monde qu'il façonne n'est soumis qu'à d'autres règles que celles qu'il a lui-même écrites. Les réserves qu'inspire Disco Boy sont pourtant les corollaires d'une immense qualité : un brûlant désir d'inventer des images, qui rend forcément curieux de la suite du parcours de Giacomo Abbruzzese.
L'Obs
Le cinéaste se regarde un peu faire, au détriment du récit, mais son film a un indéniable pouvoir d’envoûtement.
Les Inrockuptibles
L’image déverse sa beauté langoureuse et noble. Disco Boy semble parfois se perdre dans la magie qu’il déploie, mais il retrouve toujours un point d’ancrage, dans cette manière qu’il a d’être constamment hanté par des formes, des souvenirs, des hallucinations.
Télé 2 semaines
C'est sur la ligne ténue entre folie et réalité que se maintient le film de Giacomo Abbruzzese, soutenu par un travail remarquable sur l'image et le son. Dommage que la dérive hallucinée du personnage nous perde en route.
Critikat.com
Fiévreux et chaotique, le film mise avec facilité sur de nombreux effets de manche.
L'Humanité
Indépendamment du synopsis aguicheur et de scènes créatives, l’œuvre nous perd, parfois en même temps que son protagoniste, le scénario reposant avant tout sur ses conflits intimes. Le film souffre néanmoins d’une esthétique chargée, de symboles répétitifs et d’une lourdeur dans la mise en scène que les ellipses successives ne suffisent à compenser.
Libération
Enième film sur la Légion étrangère (osé après "Beau travail", ou, subtil, le "Grand Homme" de Sarah Leonor), "Disco Boy" fait passer son acteur sublime, Franz Rogowski, gueule d’amour toxique, à la moulinette de ses fantasmes même pas homoérotiques, comme de la bonne chair fraîche à ciné, tout en dénonçant, dans l’histoire, sa réduction patriotique en chair à pâtée militaire.