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BB WELL
2 critiques
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5,0
Publiée le 1 mars 2020
Très beau film qui traite de la libération de la femme avec une grande intelligence On se laisse prendre tout le long de la projection par l'émotion, l'humour et je superbe jeu des acteurs (surtout les trois actrices principales qui sont époustouflantes )Tous les ingrédients sont réunis afin que vous passiez un bon moment de cinema
C’est une bonne comédie tout à fait réjouissante emmenée par un superbe casting d’actrices et d’acteurs qui assurent très bien. L’histoire de cette école ménagère dans les années 67/68 est intéressante à suivre et nous replonge dans le contexte de l’époque avec les remises en question liées à l’esprit révolutionnaire des mœurs. Tout cela est très bien rendu par le réalisateur avec humour et fantaisie. On passe vraiment un bon moment de détente.
J'ai vu le film en avant-première lors du Festival Télérama et c'est un film plutôt agréable pas sensationnel mais une bonne comédie. Les acteurs jouent très bien mais c'est pour moi Noémie Lvovsky qui se démarque avec des scènes hilarante. Ce film féministe à souhait, se passant en Mai 68 rappelle le mouvement Me Too ou Balance ton porc. Le film peut se voir chez soi pas besoin d'aller le voir au cinéma.
Une bonne surprise de ce début d'année. Juliette Binoche, Edouard Baer, François Berléans, Yolande Moreau sont très bons et il y a une flopée de jeunes actrices pleines de promesse. Par contre je ne vois pas l'intérêt d'une fin «comédie musicale». Mais cela demeure un très bon divertissement
Film totalement ridicule; Quel dommage avec de tels acteurs! Il est féministe donc je pense qu'il y aura de bonnes critiques mais on m'a appris dans ma jeunesse qu'on ne faisait pas de bonne littérature avec de bons sentiments. Il en est de même au cinéma. Quand à "l'humour" voir Edouard Baer réciter une recette de cuisine accroché à une gouttière, ou un troupeau d'adolescentes chantant des slogans féministes ne me fait pas rire un instant.
On sait qu'il y a peu de choses à attendre de la part de Martin Provost. Mais son dernier film est un énorme navet, une catastrophe sans précédent, une montagne de clichés éhontés. Les comédiens surjouent et sombrent dans l'auto-parodie. Juliette Binoche n'a jamais été aussi complaisante, pathétique et antipathique. Les images sont répugnantes ainsi que les décors et les costumes. Un film gerbant qui donne envie de définitivement tourner le dos au cinéma français.
Bonne idée de base mais finalement prévisible et ennuyeux. Le thème de la libération féminine aurait pu être traité de façon plus subtil mais le parti pris de montrer des personnages très caricaturaux fatigue. Et on ne nous épargne aucun cliché: sur les pensionnats (la bataille de polochons, la bonne sœur psychorigide…), sur les années 60 (la DS, les roudoudous, le Tepaz, Guy Lux et Jo Dassin…). Bien entendu c'est la belle Juliette Binoche et le beau Edouard Bear qui comprennent tout subitement et avant les autres personnages (moins beaux). Et la scène finale est consternante. Bon, il y a quand même quelques bon moments et les dialogue sont bons, voir excellents par moment...
Comédie très agréable sur la condition féminine dans les années 60 et l'émancipation de l'après 68. Les 3 actrices principales sont excellentes (mention spéciale à Noémie Lovsky en bonne soeur), dommage que la romance avec Édouard Baer soit un peu loupée et sans réel intérêt pour l'histoire.
Superbe film sur l'évolution de la condition féminine. J'ai adoré ce film ! Je vais y revenir avec ma mère qui a été dans une école ménagère. Juliette Binoche est superbe !
Vu en avant première à Brétigny. Je sors très déçu de ce film qui se veut comique en décrivant l'évolution des mœurs et "idées" d'une époque "révolutionnaire 1965-1968". En dépit d'une bonne trace de l'évolution des mentalités et usages à cette période, ce film m'a semblé très lourd et surtout avec des séquences beaucoup trop longues. Le jeu d'acteurs (trices) est parfois trop appuyé et nuit à la crédibilité de certains(es) acteurs majeurs(es). Les séquences qui se veulent comiques sont très "téléphonées" et de ce fait ne font qu'à peine sourire. Le beau dernier quart d'heure du film permet de sauver le reste.
La bonne épouse nous entretient d'une époque qui parait si lointaine mais ne l'est pas tant que cela, quelques mois avant la Révolution de 68. En ce temps-là, fleurissaient les écoles ménagères dont le but était de former des épouses parfaites, soumises et fières de leur condition d'esclaves domestiques. Pilier n°1 de l'éducation : "la bonne épouse est avant tout la compagne de son mari, ce qui suppose oubli de soi, compréhension et bonne humeur." En résumé : sois une bonne ménagère et tais-toi ! De ces préceptes d'un autre âge, le film de Martin Provost, dont les films parlent toujours d'émancipation féminine (Séraphine, Violette), fait évidemment son miel, forçant presque jusqu'à la caricature dans les premières minutes, histoire de bien poser la situation. Le côté documentaire et réaliste de La bonne épouse avec la formation dispensée dans cette école ménagère nourrit tout le début du film et permet à la fiction de prendre ses droits, un peu avec ses élèves adolescentes mais surtout avec son trio d'enseignantes, volontairement montrées comme des archétypes (la BCBG, la vieille fille et la religieuse) dont la confrontation avec de jeunes femmes potentiellement rebelles ne peut que faire des étincelles. Avec son rythme soutenu et ses dialogues crépitants, le film tient ses promesses de comédie euphorisante et colorée, à l'écriture impeccable, même avec quelques menues facilités narratives au passage, et une évocation précise de quelques icônes de l'époque (de Ménie Grégoire à Guy Lux, en passant par Adamo et Yvonne de Gaulle). La troïka à la tête de l'école ménagère est incarnée par des actrices en état de grâce dont l'enthousiasme à composer leurs personnages est palpable. Yolande Moreau est comme toujours inénarrable et Juliette Binoche est formidable en bourgeoise coincée mais c'est Noémie Lvovsky, en nonne pète-sec, qui mérite tous les superlatifs. Dommage que ces trois-là ne puissent concourir qu'aux César 2021, on leur aurait donné immédiatement un prix collectif d'interprétation féminine.
Un bon film qu'est la bonne épouse ! Et pour être un bon film, il faut suivre quelques règles.
Règle numéro 1 : le bon film se doit d'avoir de bons acteurs, et c'est le cas, Juliette Binoche joue son rôle magnifiquement bien et les deux autres actrices que sont Yolande Moreau et Noémie Lvovsky rajoutent du dynamisme à ce film. La jeune génération qui joue les élèves de l'établissement promets aussi quelques perles.
Règle numéro 2 : le bon film a une belle trame. Ici, on une belle trame et un beau message. Le film suivait une bonne ligne scénaristique qui permettai une belle évolution du personnage principal.
Règle numéro 3 : le bon film nous touche. Et ici, c'est le cas, on passe du rire à des moments très touchant et très prenant. C'est très fort.
Règle numéro 4 : le bon film a un bon dynamisme. Dans notre cas, on a très peu de temps mort et le film ne stagne pas et évolue tout le long.
Au final, on est face à une bonne comédie qui parle de féminisme et en 2020, malheureusement, on en a encore besoin !
une satyre de la société qui montre très bien l'évolution de la société. bonne comédie drôle et fraîche. très bon jeu des acteurs j'aurai malgré tout préféré une fin différente.