Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Sur un fil original et improbable, ce film de facture très classique, porté par deux immenses acteurs, convainc et bouleverse.
20 Minutes
par Caroline Vié
Nahuel Pérez Biscayart, Césarisé pour le film « 120 Battements par minute », est bouleversant en faux Persan tentant de sauver sa peau.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Françoise Delbecq
Un film subtil et terriblement haletant.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un bon thriller, tendu et oppressant.
L'Obs
par François Forestier
On sort de là avec la gorge serrée et les yeux embués. Précieuse émotion, qui souligne le nécessaire devoir de mémoire…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par La Rédaction
Un suspense sous haute tension.
Positif
par Yann Tobin
Mais Les Leçons persanes vaut avant tout pour le duel – ou le duo – de deux acteurs extraordinaires : le comédien allemand « tout terrain » Lars Eidinger endossant le rôle complexe du Nazi à double visage qui finit par dépendre de sa victime, et l’Argentin polyglotte aux grands yeux écarquillés Nahuel Pérez Biscayart [...].
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Il n’empêche, ce qui emporte définitivement l’adhésion du spectateur, c’est le duel exceptionnel qui se joue entre deux comédiens tout en nuance et subtilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
De facture très classique, « Les Leçons persanes » décrit bien l’atmosphère d’un camp côté allemand, les idylles, les haines, les jalousies, les complicités et les trahisons entre soldats ou officiers, hommes et femmes, la vie quotidienne, triviale pour eux les biens nourris, rarement explorée au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
Heureusement, ce récit hors norme est servi par deux acteurs fabuleux, le trop rare Nahuel Perez Biscayart et le toujours parfait Lars Eidinger. Dès que le film s'écarte d'eux, il devient banal et académique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le réalisateur Vadim Perelman a procédé avec prudence, déployant sa dramaturgie sans la précipiter, élaborant scène après scène cette épopée intime fondée sur des mots absurdes. Outre qu'elle épouse à chaque plan le plus grand réalisme, elle rend hommage à ceux qui ont péri dans ce camp de transit. Ceux qui sans le savoir ont offert leurs noms pour aide-mémoire, et qui ne sont jamais revenus.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Malgré l’originalité de la proposition fictionnelle, ces Leçons persanes délivrent un cadre narratif et esthétique des plus classiques, par ailleurs étrangement focalisé sur les petites intrigues de cour du personnel SS.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cette histoire incroyable est une fiction, mais elle n’en est pas moins glaçante dans sa description de la solution finale et des mécanismes hiérarchisés de la haine, dont la frustration, en cascade, est un moteur.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Malgré quelques excès de la mise en scène, le récit ne manque pas de force.
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Un récit captivant et une belle interprétation d’acteur, qui se perdent, hélas, dans les conventions d’un drame historique vu et revu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Dommage que la mise en scène académique de Vadim Perelman enferme le film dans un classicisme à contre- courant de la fuite en avant loin des sentiers battus, elle, de son héros.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Les Leçons persanes, tiré d’une nouvelle allemande, produit un « effet fiction » qui transforme la Shoah en une «fable» édifiante (...). La prétention au réalisme dans le film de Perlman aggrave son cas, tout comme son esthétisation de l’horreur et de la mort. Une contre- « leçon », en somme.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce film, qui s'autorise dans le dossier de presse l'argument du réalisateur selon lequel il y eut, durant la guerre, "des centaines de cas similaires", jette une étrange lumière sur le génocide.
Télérama
par Marie Sauvion
Las, le film fait une large place à d’infectes intrigues secondaires (les amourettes des soldats SS, entre deux pulsions sadiques) et prend des libertés inexplicables : le camp s’inspire du Struthof, en Alsace, mais on y voit la porte d’entrée de Buchenwald… À fuir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
Sur un fil original et improbable, ce film de facture très classique, porté par deux immenses acteurs, convainc et bouleverse.
20 Minutes
Nahuel Pérez Biscayart, Césarisé pour le film « 120 Battements par minute », est bouleversant en faux Persan tentant de sauver sa peau.
Elle
Un film subtil et terriblement haletant.
Femme Actuelle
Un bon thriller, tendu et oppressant.
L'Obs
On sort de là avec la gorge serrée et les yeux embués. Précieuse émotion, qui souligne le nécessaire devoir de mémoire…
Ouest France
Un suspense sous haute tension.
Positif
Mais Les Leçons persanes vaut avant tout pour le duel – ou le duo – de deux acteurs extraordinaires : le comédien allemand « tout terrain » Lars Eidinger endossant le rôle complexe du Nazi à double visage qui finit par dépendre de sa victime, et l’Argentin polyglotte aux grands yeux écarquillés Nahuel Pérez Biscayart [...].
Le Figaro
Il n’empêche, ce qui emporte définitivement l’adhésion du spectateur, c’est le duel exceptionnel qui se joue entre deux comédiens tout en nuance et subtilité.
Le Parisien
De facture très classique, « Les Leçons persanes » décrit bien l’atmosphère d’un camp côté allemand, les idylles, les haines, les jalousies, les complicités et les trahisons entre soldats ou officiers, hommes et femmes, la vie quotidienne, triviale pour eux les biens nourris, rarement explorée au cinéma.
Paris Match
Heureusement, ce récit hors norme est servi par deux acteurs fabuleux, le trop rare Nahuel Perez Biscayart et le toujours parfait Lars Eidinger. Dès que le film s'écarte d'eux, il devient banal et académique.
Sud Ouest
Le réalisateur Vadim Perelman a procédé avec prudence, déployant sa dramaturgie sans la précipiter, élaborant scène après scène cette épopée intime fondée sur des mots absurdes. Outre qu'elle épouse à chaque plan le plus grand réalisme, elle rend hommage à ceux qui ont péri dans ce camp de transit. Ceux qui sans le savoir ont offert leurs noms pour aide-mémoire, et qui ne sont jamais revenus.
Transfuge
Malgré l’originalité de la proposition fictionnelle, ces Leçons persanes délivrent un cadre narratif et esthétique des plus classiques, par ailleurs étrangement focalisé sur les petites intrigues de cour du personnel SS.
Télé 7 Jours
Cette histoire incroyable est une fiction, mais elle n’en est pas moins glaçante dans sa description de la solution finale et des mécanismes hiérarchisés de la haine, dont la frustration, en cascade, est un moteur.
aVoir-aLire.com
Malgré quelques excès de la mise en scène, le récit ne manque pas de force.
Les Fiches du Cinéma
Un récit captivant et une belle interprétation d’acteur, qui se perdent, hélas, dans les conventions d’un drame historique vu et revu.
Première
Dommage que la mise en scène académique de Vadim Perelman enferme le film dans un classicisme à contre- courant de la fuite en avant loin des sentiers battus, elle, de son héros.
Cahiers du Cinéma
Les Leçons persanes, tiré d’une nouvelle allemande, produit un « effet fiction » qui transforme la Shoah en une «fable» édifiante (...). La prétention au réalisme dans le film de Perlman aggrave son cas, tout comme son esthétisation de l’horreur et de la mort. Une contre- « leçon », en somme.
Le Monde
Ce film, qui s'autorise dans le dossier de presse l'argument du réalisateur selon lequel il y eut, durant la guerre, "des centaines de cas similaires", jette une étrange lumière sur le génocide.
Télérama
Las, le film fait une large place à d’infectes intrigues secondaires (les amourettes des soldats SS, entre deux pulsions sadiques) et prend des libertés inexplicables : le camp s’inspire du Struthof, en Alsace, mais on y voit la porte d’entrée de Buchenwald… À fuir.