Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Remarquable coup d’essai.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Dès le début, on se frotte les yeux : est-on en train de voir un très grand film ? Oui. Dans un noir et blanc splendide, tout en nuances de gris, un film d’une grande beauté et d’une grande subtilité, sur un sujet grave : le trafic de bébés. Sublime !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
BIBA
par Pascal Jaubert
Un drame social péruvien poignant et réussi, à l'esthétique léchée portée par un noir et blanc somptueux.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Il y a une simplicité dans ce film qui le rend fondamental.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans un sobre noir et blanc, sur fond de conflit armé entre les groupements maoïstes du Sentier Lumineux, les socialistes du mouvement révolutionnaire Tupac Amaru et les forces militaires du gouvernement péruvien, la réalisatrice péruvienne Melina León met en scène un drame réel.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le travail graphique et épuré sur le noir et blanc de ce premier film de Melina Leon marque tout autant que son sujet dramatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Presque pas de suspense, mais une fable à résonance universelle, soulignée par une musique magnifique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Formée à New York, Melina Léon a cherché son inspiration formelle en Europe, lorgnant du côté de Bela Tarr ou du Russe d’Andreï Zvyagintsev. Un parti pris esthétique qui n’empêche pas la force de cette histoire de se déployer et de nous toucher.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Dans un sobre noir et blanc, sur fond de conflit armé entre les groupements maoïstes du Sentier Lumineux, les socialistes du mouvement révolutionnaire Tupac Amaru et les forces militaires du gouvernement péruvien, la réalisatrice péruvienne Melina León met en scène un drame réel.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Olivier Delcroix
D’une grande beauté, le premier film de Melina Leon s’attaque à la question du trafic d’enfants au Pérou.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit parfois doloriste, mais dont le désespoir touche droit au cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Dans sa douce noirceur, Cancion sin nombre s’attache aux marginaux, aux populations quechua dépossédées de leurs droits, « invisibilisées », pour leur restituer une place, comme un dessinateur crayonnerait des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sandra Onana
C’est finalement sur le terrain de l’enquête que la cinéaste trouve à désaffecter ce registre trop strictement dolent, et fait preuve de la plus éblouissante maîtrise.
Marie Claire
par Eléna Pougin
Intrigant.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ce film péruvien s’apprête à vous entrer dans la tête pour n’en plus sortir.
Télérama
par Melina León
Un film politique singulier, au noir et blanc mélancolique, qui évoque la fragilité de deux opprimés dans le Pérou déchiré des années 1980.
aVoir-aLire.com
par Fanny Vaury
Un premier film sophistiqué, âpre, à la narration prenante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Hugo Mattias
Dans sa simplicité et son refus du pathos, Canción sin nombre s’approche finalement davantage de la fable que du film-dossier ou du mélo démonstratif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par La Rédaction
Un film sur un drame historique - le Pérou a subi, comme l'Argentine ou le Chili pendant les dictatures, des vols de bébés -, dans lequel on se plonge lentement, mais qui prend aux tripes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
La dialectique que le film instaure entre des plans larges sublimes, où les corps des personnages se perdent dans l’immensité, et des cadrages serrés sur les visages et leur douleur donne à ce premier film une puissance formelle rare.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Dominique Martinez
De façon elliptique et très (trop ?) élégante, la mise en scène donne à voir le sombre carcan de la société péruvienne de l’époque.
Première
par Thierry Cheze
Loin de ces films à sujet dont leurs auteurs oublient de faire du cinéma, une œuvre envoûtante et déroutante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
On sent trop que Melina Léon s’est appliquée à remplir un cahier des charges implicite et pourtant si influent pour parvenir à faire son premier film. Pour le suivant, on lui suggérera, nous, de s’exprimer en son nom.
La Septième Obsession
Remarquable coup d’essai.
Les Fiches du Cinéma
Dès le début, on se frotte les yeux : est-on en train de voir un très grand film ? Oui. Dans un noir et blanc splendide, tout en nuances de gris, un film d’une grande beauté et d’une grande subtilité, sur un sujet grave : le trafic de bébés. Sublime !
BIBA
Un drame social péruvien poignant et réussi, à l'esthétique léchée portée par un noir et blanc somptueux.
CinemaTeaser
Il y a une simplicité dans ce film qui le rend fondamental.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans un sobre noir et blanc, sur fond de conflit armé entre les groupements maoïstes du Sentier Lumineux, les socialistes du mouvement révolutionnaire Tupac Amaru et les forces militaires du gouvernement péruvien, la réalisatrice péruvienne Melina León met en scène un drame réel.
L'Humanité
Le travail graphique et épuré sur le noir et blanc de ce premier film de Melina Leon marque tout autant que son sujet dramatique.
L'Obs
Presque pas de suspense, mais une fable à résonance universelle, soulignée par une musique magnifique.
La Croix
Formée à New York, Melina Léon a cherché son inspiration formelle en Europe, lorgnant du côté de Bela Tarr ou du Russe d’Andreï Zvyagintsev. Un parti pris esthétique qui n’empêche pas la force de cette histoire de se déployer et de nous toucher.
Le Dauphiné Libéré
Dans un sobre noir et blanc, sur fond de conflit armé entre les groupements maoïstes du Sentier Lumineux, les socialistes du mouvement révolutionnaire Tupac Amaru et les forces militaires du gouvernement péruvien, la réalisatrice péruvienne Melina León met en scène un drame réel.
Le Figaro
D’une grande beauté, le premier film de Melina Leon s’attaque à la question du trafic d’enfants au Pérou.
Le Journal du Dimanche
Un récit parfois doloriste, mais dont le désespoir touche droit au cœur.
Le Monde
Dans sa douce noirceur, Cancion sin nombre s’attache aux marginaux, aux populations quechua dépossédées de leurs droits, « invisibilisées », pour leur restituer une place, comme un dessinateur crayonnerait des personnages.
Libération
C’est finalement sur le terrain de l’enquête que la cinéaste trouve à désaffecter ce registre trop strictement dolent, et fait preuve de la plus éblouissante maîtrise.
Marie Claire
Intrigant.
Sud Ouest
Ce film péruvien s’apprête à vous entrer dans la tête pour n’en plus sortir.
Télérama
Un film politique singulier, au noir et blanc mélancolique, qui évoque la fragilité de deux opprimés dans le Pérou déchiré des années 1980.
aVoir-aLire.com
Un premier film sophistiqué, âpre, à la narration prenante.
Critikat.com
Dans sa simplicité et son refus du pathos, Canción sin nombre s’approche finalement davantage de la fable que du film-dossier ou du mélo démonstratif.
Le Parisien
Un film sur un drame historique - le Pérou a subi, comme l'Argentine ou le Chili pendant les dictatures, des vols de bébés -, dans lequel on se plonge lentement, mais qui prend aux tripes.
Les Inrockuptibles
La dialectique que le film instaure entre des plans larges sublimes, où les corps des personnages se perdent dans l’immensité, et des cadrages serrés sur les visages et leur douleur donne à ce premier film une puissance formelle rare.
Positif
De façon elliptique et très (trop ?) élégante, la mise en scène donne à voir le sombre carcan de la société péruvienne de l’époque.
Première
Loin de ces films à sujet dont leurs auteurs oublient de faire du cinéma, une œuvre envoûtante et déroutante.
Cahiers du Cinéma
On sent trop que Melina Léon s’est appliquée à remplir un cahier des charges implicite et pourtant si influent pour parvenir à faire son premier film. Pour le suivant, on lui suggérera, nous, de s’exprimer en son nom.