Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Cette coproduction italo-polonaise, primée à la Mostra de Venise, à Mumbai, Montréal ou au Cinemed de Montpellier, s’avère l’un des plus beaux premiers films étrangers sortis ces derniers mois. Elle s’affirme aussi comme la révélation passionnante d’un réalisateur prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Positif
par Dominique Martinez
Déjà, les émotions retenues passent par les regards, les dialogues sont réduits au minimum, les acteurs (professionnels ou non) ont des allures décalées, la composition des plans est minutieuse et les cadrages photographiques – la lenteur du récit et l’allongement des séquences de "Sole" soulignent cet effet.
aVoir-aLire.com
par Claudio Marchi
CarloSironi porte ici un regard délicat et poignant sur la solitude d’un orphelin et d’une migrante, tous deux résignés, indifférents et cyniques face à une vie qui leur échappe. Le réalisateur italien développe ainsi une réflexion toute en retenue sur la parentalité à travers une histoire d’amour moderne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Grignon
Le résultat est suffisamment singulier pour donner envie de s'intéresser de plus près aux prochains travaux de Carlo Sironi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Visiblement, la production est fauchée, et certains acteurs sont des amateurs. Mais ce qui se dégage de ce drame néoréaliste, c’est la passion du cinéma et la vérité des êtres. Un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec leurs jeux sobres, les jeunes acteurs, Claudio Segaluscio, non professionnel, et Sandra Drzymalska, distillent une profonde mélancolie dans ce film aussi laconique que délicat.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Bien que triste et vain dans son propos sur le fantasme de paternité, un premier film tenu.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Tournant le dos au naturalisme attendu, le film prend un parti de torpeur, reflétant le brouillard moral où sont plongés ses héros, se faisant l’échographe d’une autre naissance, plus secrète : celle des personnages à euxmêmes.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
De prime abord d'un hiératisme tout à fait déprimant, "Sole" parvient à attirer une sympathie sincère de la part du spectateur, mêlant adroitement une forme brutale et sans le moindre reniement à un fond plus perméable à l'espérance qu'il n'y paraîtrait.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C'est assez vertigineux, et très émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Voici
par La Rédaction
Un drame social minimaliste, triste et délicat.
Libération
par Laura Tuillier
A chaque plan, on peut articuler l’attention presque maniaque au détail mais c’est au prix d’un sentiment de manque général, révélé par les ellipses que le film ménage à chaque moment-clé du récit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Cette coproduction italo-polonaise, primée à la Mostra de Venise, à Mumbai, Montréal ou au Cinemed de Montpellier, s’avère l’un des plus beaux premiers films étrangers sortis ces derniers mois. Elle s’affirme aussi comme la révélation passionnante d’un réalisateur prometteur.
Positif
Déjà, les émotions retenues passent par les regards, les dialogues sont réduits au minimum, les acteurs (professionnels ou non) ont des allures décalées, la composition des plans est minutieuse et les cadrages photographiques – la lenteur du récit et l’allongement des séquences de "Sole" soulignent cet effet.
aVoir-aLire.com
CarloSironi porte ici un regard délicat et poignant sur la solitude d’un orphelin et d’une migrante, tous deux résignés, indifférents et cyniques face à une vie qui leur échappe. Le réalisateur italien développe ainsi une réflexion toute en retenue sur la parentalité à travers une histoire d’amour moderne.
Critikat.com
Le résultat est suffisamment singulier pour donner envie de s'intéresser de plus près aux prochains travaux de Carlo Sironi.
L'Obs
Visiblement, la production est fauchée, et certains acteurs sont des amateurs. Mais ce qui se dégage de ce drame néoréaliste, c’est la passion du cinéma et la vérité des êtres. Un cinéaste à suivre.
La Croix
Avec leurs jeux sobres, les jeunes acteurs, Claudio Segaluscio, non professionnel, et Sandra Drzymalska, distillent une profonde mélancolie dans ce film aussi laconique que délicat.
Le Journal du Dimanche
Bien que triste et vain dans son propos sur le fantasme de paternité, un premier film tenu.
Le Monde
Tournant le dos au naturalisme attendu, le film prend un parti de torpeur, reflétant le brouillard moral où sont plongés ses héros, se faisant l’échographe d’une autre naissance, plus secrète : celle des personnages à euxmêmes.
Les Fiches du Cinéma
De prime abord d'un hiératisme tout à fait déprimant, "Sole" parvient à attirer une sympathie sincère de la part du spectateur, mêlant adroitement une forme brutale et sans le moindre reniement à un fond plus perméable à l'espérance qu'il n'y paraîtrait.
Les Inrockuptibles
C'est assez vertigineux, et très émouvant.
Voici
Un drame social minimaliste, triste et délicat.
Libération
A chaque plan, on peut articuler l’attention presque maniaque au détail mais c’est au prix d’un sentiment de manque général, révélé par les ellipses que le film ménage à chaque moment-clé du récit.