Derniers Avis : The Tomorrow War - Page 25

Scénario nul, jeu d'acteur nul, zéro émotion malgré toute ces nianianteri j'ai perdu 2h de ma vie.
Malheureux que l'acteur dénigre son palmarès avec ce film.

Un film sympas à regarder, on voit bien les détails des aliens.
Un film américain avec un scénario américain, là où les américains sauvent le monde.
Un film avec des passages poignants et chargés d'émotions lors des rencontres Père/fille et père/fils.

À regarder un fois par contre.

Une vraie bouse ricaine remplie de clichés patriotiques et de dialogues lénifiants. 🤷🏻‍♂️
Le seul truc bien foutu : les aliens et les FX. Pour le reste…circulez 😬

Le début est bâclé et on ne comprends pas vraiment la cohérence...enrôler des civiles non entrainés (ou très succinctement) pour combattre des aliens sanguinaires qui font un carnage dans le futur...mouairf, bon courage à eux et Sayonara! Tout le film est une succession d’incohérences, plus grosses les unes que les autres...d'ailleurs, la solution pour buter les aliens (avec une enzyme) est assez comique je dois dire. Bâclé vous avez dit bâclé?

Mais déjà, c'est tout bête, mais dès le début, je me suis dit que ça partait mal. Même sans parler de scenario, certains détails sont invraisemblables, spoiler: par exemple : lorsque les "voyageurs du futur" de 2051, arrivent (comme un cheveux sur la soupe), dans le stade de foot, ils s'adressent au "monde entier"...sans micro! Et ça résonne comme dans un concert de Madonna. 🤔 Bref passons...Ensuite l'arrivée dans le futur...quand les types sont largués de plusieurs centaines de mètres (suite à une erreur de calcul de trajectoire), pour se réceptionner dans une simple piscine de 2m de profondeur! Mais Bien sur!! Et le clou du spectacle, c'est quand Chris Pratt (prof de bio quand même), sans solution, demande à un de ses élèves, calé sur les volcans, de leur donner un coup de main, pour comprendre d'où sont venu les aliens. WTF? Et je ne parle même pas de la fin, expédié à la serpette, avec zéro crédibilité! 🤷‍♂️


Bref...j'ai eu du mal quoi...et pourtant je suis plutôt bon publique d'habitude.
Quand ça veut pas...

Copier-coller de ma critique dépitée, attention aux spoilers...

Bon, ben... ce film est une grosse [vous savez quoi]. J'y suis entré en mode allez, on n'en attend rien histoire de ne pouvoir qu'être agréablement surpris, fut-ce à 3%... et malgré ça, l'expérience a été douloureuse, pas vraiment aidée par la durée grotesque pour un truc pareil (2h20... faut que les Américains arrêtent avec les blockbusters interminables).

Quasiment rien ne marche. Passage en revue :
- Chris Pratt, gars au demeurant fort sympathique, est en pilote automatique, c'est-à-dire qu'il fait de son mieux avec sa bonhommie coutumière dans l'exact même rôle que d'hab' et ça s'arrête là... il ne dessert pas le film mais ne le porte pas non plus ;
- Les effets spéciaux sont dans l'ensemble réussis, mais au service d'une mise en scène atrocement générique et "surcutée" dans les scènes d'action (qui ont des airs de cut-scenes de jeu vidéo du type Crysis 2...), dont la lourdeur est aggravée par celle de la musique, hollywoodienne dans le sens le moins inspiré possible, d'une photographie sans saveur (un peu à la MCU), et d'un design de bestioles pauvrement inspiré (un espèce de mix de clébard et de gros lézard gris... au passage, pourquoi les extraterrestres sont-ils obligés d'être hideux quand ils sont une menace, déjà ?)... au sujet des bébêtes, accordons-leur néanmoins qu'à défaut d'être originales, leur bestialité additionnée à la qualité des effets spéciaux en fait des créatures de cauchemar correctes, allez ;
- L'idée de cette espèce de vortex fluo aspirant les personnages en guise d'expression visuelle du voyage dans le temps : comment dire ? "Non" ? Le fait que le scénario ne prenne même pas la peine de (tenter de) l'expliquer rationnellement aggrave son cas ;
- Le scénario, en parlant de lui, est torché n'importe comment, du plan un peu naze des gens du futur (compter sur des gens d'âge mûr sans aucun entrainement et armés de pétoires dérisoires pour sauver le monde, mouais...) à sa théorie du voyage dans le temps archi-tarabiscotée (auquel ne héros ne pige plus rien à un moment très perplexisant, vers la fin du 2ème acte...), aux personnages tellement vides qu'on ignore leurs noms, en passant par la façon dont l'origine des bébêtes est découverte (il suffisait de demander à l'épouse du héros, voyons !), ou encore cette infanterie/chair à canon qui rappelle Starship Troopers (les scènes d'action en extérieurs seront pas mal pompées sur ST, d 'ailleurs), sauf que dans ST, ça servait la satire, alors que là, c'est juste du portnawak (autre exemple de torchage : quand un gars dit au héros "Le ventre ou le cou, ce sont les seuls endroits vulnérables de leurs corps !"... alors que l'action a déjà commencé, sic) (autre exemple de torchage : ils ne tuent pas la femelle à l'instant où ils ont trouvé la toxine, re-sic) ;
- Le scénario, toujours lui, tutoie des sommets de nullité dans sa dernière partie, où le héros, dépité parce qu'UN responsable l'a ignoré alors qu'il avait LA solution pour sauver l'humanité (WTF, d'ailleurs), décide d'aller sauver ledit monde avec trois potes à lui plutôt que d'aller voir d'AUTRES gens haut placés (et je ne consacrerai pas une troisième entrée au scénario pour parler du C4 qui dégomme bien soigneusement le glacier qui surplombe le vaisseau des bestioles...) ;
- Tous les clichés du monde y passent, du Renoi ressort comique comme c'était déjà ringard dans les années 90 au rabibochage ultra-prévisible père-fils en passant par la fifille contractuellement adorable et super-futée, la scène des bébêtes dans leurs cocons de la couleur habituelle (sic), le coup du troufion de base qui n'est là que pour mourir puisque comme chacun sait, seuls les protagonistes savent viser, ou encore le "on a besoin d'un pilote qui serait prêt à faire quelque chose d'impossible !" ('quand même bien pratique, d'avoir un père pilote avec qui on doit se rabibocher, non ? Là, ils ont fait du Emmerich) ;
- En parlant de ça, les dialogues sont affreux, comme celui entre le héros et son père au début, qui enchaîne tous les poncifs possibles... ;
- Du coup, on voit tout venir à dix mille kilomètres, et même si ce n'était pas le cas, quand tombe la vérité sur l'origine des bébêtes, ben... on s'en fout un peu, en fait.

C'est ça, on s'en fout un peu.

La partie centrale avec la toujours magnifique Yvonne Strahovski (Sarah Walker forever), seule partie du film qui ne m'a pas donné envie de me faire harakiri, est la seule chose qui rend l'expérience supportable, à défaut d'être agréable, la seule dont émane un vague quelque chose sur le plan dramaturgique, un lointain battement de coeur, par la seule force de sa performance... dont le film ne sera hélas pas digne. Un des rares moments de cinéma que j'ai tirés du film, c'est la scène où père et fils se retrouvent dos-à-dos dans le blizzard dans l'attente de l'attaque de la reine. En bref, bien, BIEN peu.

The Tomorrow War, maintenant que j'y pense, c'est Edge of Tomorrow, mais en pas bien. Tout ce que le film de Liman (réal que je ne sanctifie certainement pas) est, il a essayé de l'être, et s'est viandé. Mélange adoré par les Amerloques de déluge de CGI imbitable et de drama familial chaleureux, le film de McKay (pas le bon McKay) est le spectaculaire archétype récent du blockbuster d'action (on ne peut plus dire "hollywoodien"...) calibré par des gens sans talent, et encore, je dis des gens, le scénario aurait tout aussi bien pu être conçu par un algorithme, comme la machine à scénarios de Besson selon Mozinor. C'est un blockbuster insipide de cette insipide ère plateforme, quelque chose qui te fait dire : "je SAIS que les cinémas sont remplis de mauvais films et de blockbusters pourris de ce genre, ET POURTANT, quelque chose dans ce film crie qu'il n'aurait rien eu à faire dans une salle obscure". Mais peut-être suis-je influencé par mon a priori négatif, mais je ne pense pas. L'ère des plateformes a conduit à une banalisation du film qui devrait scandaliser tout le monde. Non seulement la qualité moyenne de leurs productions est très, très basses (c'est ce qui arrive quand un vendeur de frigos se prend pour la Metro-Goldwyn-Mayer), mais en plus, leurs quelques bons films sont des non-événements, objets de consommation sitôt vus, sitôt ensevelis sous les nouveautés (même effet délétère que le binge-watching). Sans vouloir faire mon vieux débris, je me souviens d'un temps où un film à 200 millions de dollars de budget était un événement, où chaque dollar sautait aux yeux. Tragique époque.

Pour finir, The Tomorrow War, où un film produit dans une dimension parallèle où la population américaine est, allez, à 68% black, et où pratiquement toutes les figures d'autorité militaire du pays sont des femmes. Là aussi, je croyais être prêt, connaissant la sinistre obsession identitaire de notre époque, mais non ; après l'annonce qu'a faite Amazon la semaine dernière de sa politique "inclusive" à venir, le film est la confirmation que les gars ont de quoi battre Netflix au rayon de la propagande woke. J'ai fini par trouver ça hilarant tellement c'était énaûrme. En plus du héros, il y a en tout et pour tout TROIS mâles blancs dans des rôles parlants, dont un est le gros incapable de l'escouade qui se fait zigouiller en trois minutes, l'autre la seule figure d'autorité négative, et le dernier le père du héros - ils étaient un peu forcés, là. Le film se tapait à la base un 2/5, devant ses deux points au 2ème acte un chouïa divertissant, Strahovski, et ses bébêtes pas mal fichues ; avec ça, il perd un demi. Et encore, je suis sympa, tellement ça me l'a rendu antipathique.

Bref, 1,5/5.

Le nouveau genre Made in USA, le navet à gros budget !

Que dire d'un tel film ? A part mauvais de bout en bout, j'ai du mal à trouver des choses positives dans ce bric-à-brac fourre-tout sans queue ni tête !

Du sur-joué de Pratt à la médiocrité du scénario qui tient sur un post-it, de la mièvrerie chamallow à la Hollywood jusqu'au melting-pot inutile de scènes où on a du mal à comprendre la finalité, rien ne s'accroche à un minimum de réalisme. En effet, on a du mal à comprendre l'utilité d'envoyer au casse-pipe la ménagère moyenne pour récupérer quelques flacons de labo qui au final ne servent à rien car il suffit de capturer une alien femelle pour faire ensuite des essais dessus. Car oui, quelques lamelles et un simple microscope suffisent à mettre au point la super enzyme qui détruira l'espèce ennemie. On a du mal à adhérer au pitch du film tellement c'est mal amené.

Du voyage temporel bidon où les trois quart des téléportés finissent écrasés sur le bitume à cause d'un mauvais fonctionnement au ridicule de la station censée piloter le truc, rien ne nous est épargné.

Même la lampe torche accrochée au bout du fusil de Pratt surjoue et se pare d'un bruitage à la flash d'appareil photo qui recharge à l'allumage, c'est pour dire le réalisme de film d'action à deux balles ! La lunette sur le fusil à pompe, le must !

Bref, un film inutile qui viendra s'entasser dans la rubrique navet qui s'étoffe grandement ces derniers temps. Certains le qualifieront de nanar, mais je peine à le faire tellement je me suis ennuyé.

Un film bien pensé, réaliste sur le scénario, surtout la fin qui surprend par rapport à d autres films sur le sujet ,

J'en ai vu des daubes dans ma vie mais à ce niveau là ça frise l'indécence !!! Un cliché du cinéma toutes les 2 minutes c'est énorme ! C'est au point où j'ai créé un compte juste pour envoyer ma critique ! Ça pourrait prêté à rire si cela ne faisait pas autant de mal à des chefs d'œuvre comme Alien, Starship trooper, Star Trek ou the Expanse....
La SF mérite mieux que ça, elle mérite des spectateurs mais sûrement pas qu'on l'humilie à ce point 🤬

Film plutôt bien réalisé. Le réalisme des créatures est saisissant. L'histoire tient la route mais reste néanmoins prévisible. Comme dans la plupart des films d'ailleurs. Un bon film d'environ 2h qui nous tient en haleine.

quand on regarde un film de ce type .c'est a dire SF invasion extra-terrestre / fin du monde /catastrophe.
Il faut bien avoir en tète que l'on est dans la catégorie spectacle.et donc on range son cerveau ,on se cale dans le canapé on rajoute 2 graduations sur le niveau sonore et GO popcorn.
Ce film fait parfaitement son job., ca canarde sur un fond patriotique mondial .
Les incohérences ?
Comme dans tout film de ce style Il y en avais , Il y en a , il y en auras.
A ranger avec les Independence Day. Edge of Toorop ,2012.starship trooper.
Bref les films auquel on sait a quoi s'attendre et qu'on accepte
.

Très bon film SF ! Film très bien ficelé. Une bonne histoire tient en haleine tout le long du film des graphismes vraiment exceptionnel. Digne d'un film de cinéma :)

Enfin un vrai bon film Alien façon Indépendance Day (le 1er, pas la daube qui a suivi). Superbes scènes d'action, scénario prenant, des top acteurs (Chris Pratt et Yvonne Strahovski toujours aussi convaincants), de l'émotion... Forcément il mérite un grand écran pour ne pas passer à côté de tout ça visuellement et un home cinéma car c'est du grand spectacle. Bref ça faisait longtemps qu'un blockbuster ne m'avait pas autant emballé.

Mauvais, trés mauvais.
La recherche scénaristique, les questions philosophiques sur notre place dans l'univers qui pourrait être abordé sur cette thématique... Oubliez.
Les acteurs?
Sélectionnés plus pour leur conformité au cahier des charges d'un studio de cinéma US, ceux qui s'intéressent à ça comprendront.
Du coup, les acteurs sont mauvais.

Bon film de SF, le concept des aliens qui envahissent la planète n'a rien d'original mais cela reste un bon film d'action.
Il y a bien sur des incohérences mais nous sommes dans la pure fiction, ne pas trop se prendre la tête sur les détails.
C'est l’Amérique qui sauve le monde, certes, mais pour avoir vu des fictions chinoises et russes, ce sont eux qui sauvent le monde dans leurs films ! On n'est jamais mieux servit que par soi-même.
Les aliens ne me sont jamais totalement antipathiques, sommes nous vraiment meilleurs qu'eux ? Mais je m'égare...
Du pur divertissement plutôt efficace.

Un bon film, toujours tiré un peu par les cheveux par le thème abordé, mais à la mise en scène et au visuel très efficaces.

Le pitch de départ est sympa mais au final on se retrouve avec une série B de luxe bourrée de clichés.

Le casting : déjà au niveau des seconds rôles, on sent bien la lourde présence des fameux quotas si chers aux américains. Blanc / noir / homme / femme / jeune / vieux, tout y est représenté à part égale. C'est magnifique d'un point de vue progressiste mais tellement forcé qu'on y croit pas une seule seconde.
Voir de petites demoiselles de 50kg manipuler de lourds fusils d’assaut sans souffrir du moindre recul...Parce qu'il faut savoir que ces armes sont capables de tirer plusieurs milliers de balles sans avoir à recharger. Sachant qu'une cartouche de 12mm pèse une centaine de grammes, nos gaillards/gaillardes se trimballent joyeusement avec 1 à 2 tonnes de munitions dans le chargeur.
On a aussi droit à l'ingénieur en surpoids qui parle en continu parce qu'il est trop angoissé, il est lâche mais fini par trouver du courage au fond de son cœur de brave.
Le petit lycéen geek à lunettes qui est la risée de l'école mais qui s'avère être une aide précieuse pour le héro et l'humanité toute entière.
Mention spéciale pour la fameuse scène si chère aux séries B : le héro et la scientifique qui passent plusieurs heures en accéléré devant des éprouvettes pour trouver une solution à leur problème. Enchainant désespoir, incertitude, mines déconfites, colère, tristesse et finalement joie et soulagement. Toutes la palettes d'émotions qu'un acteur doit pouvoir fournir s'il veut espérer décrocher une nomination aux Oscars. Mission accomplie.

Les effets spéciaux : des écrans verts omniprésents, des explosions en CGI, du flou de mouvement pour cacher la misère, etc. tous les ingrédients d'une bonne série B.

Les scénario : l'idée de base du scénario est plutôt intéressante. Les humains du futur ont progressé jusqu'à devenir une société pacifiée de scientifique non-violents. Ils ont une hygiène de vie impeccable et ont visiblement totalement réglé tout problème d'obésité (certainement grâce à une alimentation non-carnée). Malheureusement cette belle société de fait rapidement décimer par quelques centaines d'aliens carnivores belliqueux. Ils n'ont donc pas d'autre choix que de retourner dans le passé pour chercher de la chair à canon à l'ancienne.
Si on fait abstraction de tous les problèmes de paradoxes temporels, il y aurait eu moyen de faire quelque chose de plutôt sympa.


Bref, si vous voulez voir du films de défouraillage d'aliens béliqueux il vaut mieux rester sur Edge of Tomorrow ou le bon vieux Starship troopers qui passent pour des chefs d’œuvre à coté de Tomorrow war.
Même Independance Day est + plaisant à regarder, c'est beauf mais au moins il y a les blagounettes à Jeff Goldblum et Will Smith.