Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
38 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
On rentre dans "Nomadland" comme on entre en religion, avec une foi indéfectible, une sorte de sidération, une illumination.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Depuis ses débuts, Chloé Zhao a filmé l’Amérique des désaxés, ses « misfits », (Les Chansons que mes frères m’ont apprises, The Rider), avec un souci d’authenticité.
Elle
par Françoise Delbecq
Ce portrait de femme est celui d'une anti-héroïne courageuse, libre et digne, magnifique.
GQ
par Adam Sanchez
En dépit de sa maîtrise formelle éblouissante, Nomadland ne cherchera pas à vous impressionner ou à vous surprendre. Il préfère raconter la modeste histoire d’hommes et de femmes qui sont devenus, dans leur propre pays, des étrangers, des gens de passage dont les visages traversent les territoires comme des fantômes.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un film beau et bouleversant, aux frontières du documentaire, à la rencontre des nouveaux nomades qui prennent la route en quête d’un nouvel horizon. Magnifique France McDormand.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Chloé Zhao remet la vie nomade dans une bulle d’idéalisme, loin de l’idée d’une vie désespérée, solitaire, terrible.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un geste artistique radical, ample et pur, entre documentaire et fiction, enlevé par la photographie démente de Joshua James Richards. Un hymne à la vie bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
L’autre grande réussite du film, c’est de nous faire partager la manière dont Fern et ces héros du quotidien vivent en communion avec la nature.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier De Bruyn
Plébiscité lors de la cérémonie des Oscars, le nouveau film de Chloé Zhao met en scène les déshérités de l’Amérique d’aujourd’hui. Magistral.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Pas étonnant que ce film ait raflé tous les prix, y compris trois Oscars.
Positif
par Baptiste Roux
"Nomadland" montre ainsi de façon saisissante comment se compose la géographie mentale des désarrimés de l’existence, dont le parcours permet de saisir, à sa juste mesure, sa condition de mortel : l’aventure est une terre de hasards qui renvoient l’être à son essence pure.
Voici
par Daniel Blois
Un road movie magnifique.
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
En résulte un long métrage troublant, à la lisière du cinéma-vérité, où l’imagerie quasi fantastique se mêle à un geste artistique audacieux, comme nul autre pareil. Coup de maître.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Cet excellent film fait découvrir les Etats-Unis tels que les touristes ne les voient que rarement.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Une œuvre poétique et réaliste, qui détonne dans le cinéma américain contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par Charlotte Marsal
La nouvelle coqueluche du cinéma hollywoodien d’origine chinoise apporte de la douceur à une histoire pourtant douloureuse, et impose définitivement son style.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par La Rédaction
Un autre rêve américain.
Ecran Large
par Simon Riaux
Chloé Zhao ne retrouve pas tout à fait la virtuosité de ses deux précédents longs-métrages, mais ce road movie désenchanté demeure une épopée bouleversante, qui déconstruit les mythologies américaines pour mieux prendre le pouls des femmes et des hommes qui les arpentent.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le désespoir traverse le film, mais c’est l’espoir qui domine, dans ce portrait de femme et d’une classe sociale, propre à l’Amérique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Sophie Joubert
Un road movie somptueux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par La Rédaction
Brimborions, face à la beauté et l’émotion de cette plongée dans les Etats désunis de la Dépression : routes en cul-de-sac, jobs momentanés, horizons vides.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Un sacre mérité pour ce drame mélancolique qui dresse le portrait des laissés-pour-compte de la crise financière de 2008.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Céline Rouden
Un mélange de fiction et de réalité qui constitue la marque de fabrique de Chloé Zhao, réalisatrice surdouée de 39 ans.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Croix
par Céline Rouden
Sans doute baignée comme beaucoup d’étrangers par toute l’imagerie du cinéma hollywoodien, la réalisatrice née à Pékin s’en sert habilement pour mieux la confronter à la réalité du rêve américain. Et utilise le pouvoir du cinéma pour en magnifier les marges dans des fictions bouleversantes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Alors, ce long-métrage réaliste touche à la poésie, vise le cœur, comme certaines nouvelles de Raymond Carver, avec des bouffées de lyrisme à la Terrence Malick.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Entre fiction et réalité, Chloé Zhao raconte la route américaine et ses nouveaux migrants. Un portrait du monde contemporain qui renoue avec les grands mythes de l'Ouest.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Ce nouveau film de Chloé Zhao donne une amplitude tout autre aux questions que posait déjà The Rider, son précédent film.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Le meilleur du film tient dans le parcours émotionnel de son héroïne, le portrait nuancé d'une femme que Chloé Zhao filme toujours avec une grande empathie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
C’est cette capacité de parler autant au cœur qu’à l’esprit qui rend Nomadland si attachant et si puissant. Avec une actrice symbolisant ce grand écart qu’elle exécute avec un naturel à chaque fois fascinant : Frances McDormand.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Séverine Danflous
Nomadland s’offre telle une troublante ode à la liberté dans une Amérique encore grandiose.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[...] l’odyssée quasi documentaire d’une femme en quête d’absolu, incarnée par la magnifique Frances McDormand. C’est elle qui rend si émouvante cette ode rugueuse à l’errance et aux grands espaces.
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Cette odyssée intime dans l'Amérique des laissés-pour-compte touche au coeur.
Télérama
par Marie Sauvion
McDormand, corps infiniment présent, excelle dans cette partition concrète et souvent silencieuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
S’il a les atours d’un road trip cathartique, faisant surgir des réminiscences de tant d’autres films qui le précèdent, "Nomadland" prend des directions inattendues. (...) C’est beau, mais il ne s'agit pas de faire de la belle image. Plutôt de montrer comment cette femme est désormais au monde.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Itinéraire d’une travailleuse déclassée, le film témoigne de l’ascension fulgurante de Chloé Zhao, qui perd un peu de sa singularité mais fait montre d’une maturité remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Marin Gérard
Ballotté entre une ambition atmosphérique et l'ordinaire d'un récit de deuil et d'émancipation, le film déçoit.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Laura Tuillier
Le problème du film, probablement ce qui le rend si aimable et récompensé, est qu’il refuse de se mouiller, et de prendre franchement la mesure de son sujet : Chloé Zhao réussit à évoquer la crise financière, le naufrage des couches populaires, l’état de déshérence dans lequel se trouve une part croissante des Américains [...] sans n’émettre pourtant aucune critique de fond.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Bien sûr, Chloé Zhao a du savoir-faire (surtout dans l’ellipse) ; bien sûr, Frances McDormand reste maîtresse de son art : un cabotinage du sous-jeu. Mais ces puissances n’ont pour horizon que l’expression de la fatalité – et la fatalité de leur expression.
CinemaTeaser
On rentre dans "Nomadland" comme on entre en religion, avec une foi indéfectible, une sorte de sidération, une illumination.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Depuis ses débuts, Chloé Zhao a filmé l’Amérique des désaxés, ses « misfits », (Les Chansons que mes frères m’ont apprises, The Rider), avec un souci d’authenticité.
Elle
Ce portrait de femme est celui d'une anti-héroïne courageuse, libre et digne, magnifique.
GQ
En dépit de sa maîtrise formelle éblouissante, Nomadland ne cherchera pas à vous impressionner ou à vous surprendre. Il préfère raconter la modeste histoire d’hommes et de femmes qui sont devenus, dans leur propre pays, des étrangers, des gens de passage dont les visages traversent les territoires comme des fantômes.
La Voix du Nord
Un film beau et bouleversant, aux frontières du documentaire, à la rencontre des nouveaux nomades qui prennent la route en quête d’un nouvel horizon. Magnifique France McDormand.
Le Dauphiné Libéré
Chloé Zhao remet la vie nomade dans une bulle d’idéalisme, loin de l’idée d’une vie désespérée, solitaire, terrible.
Le Journal du Dimanche
Un geste artistique radical, ample et pur, entre documentaire et fiction, enlevé par la photographie démente de Joshua James Richards. Un hymne à la vie bouleversant.
Le Parisien
L’autre grande réussite du film, c’est de nous faire partager la manière dont Fern et ces héros du quotidien vivent en communion avec la nature.
Marianne
Plébiscité lors de la cérémonie des Oscars, le nouveau film de Chloé Zhao met en scène les déshérités de l’Amérique d’aujourd’hui. Magistral.
Ouest France
Pas étonnant que ce film ait raflé tous les prix, y compris trois Oscars.
Positif
"Nomadland" montre ainsi de façon saisissante comment se compose la géographie mentale des désarrimés de l’existence, dont le parcours permet de saisir, à sa juste mesure, sa condition de mortel : l’aventure est une terre de hasards qui renvoient l’être à son essence pure.
Voici
Un road movie magnifique.
aVoir-aLire.com
En résulte un long métrage troublant, à la lisière du cinéma-vérité, où l’imagerie quasi fantastique se mêle à un geste artistique audacieux, comme nul autre pareil. Coup de maître.
20 Minutes
Cet excellent film fait découvrir les Etats-Unis tels que les touristes ne les voient que rarement.
Bande à part
Une œuvre poétique et réaliste, qui détonne dans le cinéma américain contemporain.
CNews
La nouvelle coqueluche du cinéma hollywoodien d’origine chinoise apporte de la douceur à une histoire pourtant douloureuse, et impose définitivement son style.
Closer
Un autre rêve américain.
Ecran Large
Chloé Zhao ne retrouve pas tout à fait la virtuosité de ses deux précédents longs-métrages, mais ce road movie désenchanté demeure une épopée bouleversante, qui déconstruit les mythologies américaines pour mieux prendre le pouls des femmes et des hommes qui les arpentent.
Franceinfo Culture
Le désespoir traverse le film, mais c’est l’espoir qui domine, dans ce portrait de femme et d’une classe sociale, propre à l’Amérique.
L'Humanité
Un road movie somptueux.
L'Obs
Brimborions, face à la beauté et l’émotion de cette plongée dans les Etats désunis de la Dépression : routes en cul-de-sac, jobs momentanés, horizons vides.
LCI
Un sacre mérité pour ce drame mélancolique qui dresse le portrait des laissés-pour-compte de la crise financière de 2008.
La Croix
Un mélange de fiction et de réalité qui constitue la marque de fabrique de Chloé Zhao, réalisatrice surdouée de 39 ans.
La Croix
Sans doute baignée comme beaucoup d’étrangers par toute l’imagerie du cinéma hollywoodien, la réalisatrice née à Pékin s’en sert habilement pour mieux la confronter à la réalité du rêve américain. Et utilise le pouvoir du cinéma pour en magnifier les marges dans des fictions bouleversantes.
Le Figaro
Alors, ce long-métrage réaliste touche à la poésie, vise le cœur, comme certaines nouvelles de Raymond Carver, avec des bouffées de lyrisme à la Terrence Malick.
Les Echos
Entre fiction et réalité, Chloé Zhao raconte la route américaine et ses nouveaux migrants. Un portrait du monde contemporain qui renoue avec les grands mythes de l'Ouest.
Les Fiches du Cinéma
Ce nouveau film de Chloé Zhao donne une amplitude tout autre aux questions que posait déjà The Rider, son précédent film.
Paris Match
Le meilleur du film tient dans le parcours émotionnel de son héroïne, le portrait nuancé d'une femme que Chloé Zhao filme toujours avec une grande empathie.
Première
C’est cette capacité de parler autant au cœur qu’à l’esprit qui rend Nomadland si attachant et si puissant. Avec une actrice symbolisant ce grand écart qu’elle exécute avec un naturel à chaque fois fascinant : Frances McDormand.
Transfuge
Nomadland s’offre telle une troublante ode à la liberté dans une Amérique encore grandiose.
Télé 7 Jours
[...] l’odyssée quasi documentaire d’une femme en quête d’absolu, incarnée par la magnifique Frances McDormand. C’est elle qui rend si émouvante cette ode rugueuse à l’errance et aux grands espaces.
Télé Loisirs
Cette odyssée intime dans l'Amérique des laissés-pour-compte touche au coeur.
Télérama
McDormand, corps infiniment présent, excelle dans cette partition concrète et souvent silencieuse.
Culturopoing.com
S’il a les atours d’un road trip cathartique, faisant surgir des réminiscences de tant d’autres films qui le précèdent, "Nomadland" prend des directions inattendues. (...) C’est beau, mais il ne s'agit pas de faire de la belle image. Plutôt de montrer comment cette femme est désormais au monde.
Les Inrockuptibles
Itinéraire d’une travailleuse déclassée, le film témoigne de l’ascension fulgurante de Chloé Zhao, qui perd un peu de sa singularité mais fait montre d’une maturité remarquable.
Critikat.com
Ballotté entre une ambition atmosphérique et l'ordinaire d'un récit de deuil et d'émancipation, le film déçoit.
Libération
Le problème du film, probablement ce qui le rend si aimable et récompensé, est qu’il refuse de se mouiller, et de prendre franchement la mesure de son sujet : Chloé Zhao réussit à évoquer la crise financière, le naufrage des couches populaires, l’état de déshérence dans lequel se trouve une part croissante des Américains [...] sans n’émettre pourtant aucune critique de fond.
Cahiers du Cinéma
Bien sûr, Chloé Zhao a du savoir-faire (surtout dans l’ellipse) ; bien sûr, Frances McDormand reste maîtresse de son art : un cabotinage du sous-jeu. Mais ces puissances n’ont pour horizon que l’expression de la fatalité – et la fatalité de leur expression.