Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un casting 5 étoiles au service d’une satire féroce de l’embourgeoisement de la gastronomie. Mais pas que.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Mad Movies
par François Cau
Le Menu n'aspire pas à contenter les gastronomes, c'est de la junk food préparée avec suffisamment d'honnêteté et de cœur à l'ouvrage pour faire apprécier le gras.
Voici
par La Rédaction
Le Menu, avec ses scènes aussi cruelles que cathartiques, se déguste avec délectation.
Ecran Large
par Geoffrey Fouillet
À défaut de rassasier le spectateur en matière d'enjeux ou de conflits, Le Menu a le mérite de soigner sa carte sur le plan esthétique et de compter sur le talent de Ralph Fiennes en chef cuisinier vénéneux à souhait. Un thriller culinaire servi aux petits oignons, mais sans grande ambition.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Sophie Grassin
Mark Mylod (« Succession ») joue la satire noire et mordante pour cuire à petit feu privilégiés, capitalistes et pompeux. Très pertinent sur les vilenies et les ridicules de ses personnages, il peine davantage à maintenir jusqu’à son terme l’intérêt de son jeu de massacre horrifique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Stéphane Durand-Souffland
Même si quelques scènes restent délectables, comme celle de la côtelette d'agneau aux poireaux, le règlement de comptes social laisse finalement le spectateur sur sa faim, malgré le numéro impeccable de Raph Fiennes en chef complètement toqué.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Etonnant thriller dans l’esprit d’Agatha Christie, qui se transforme sans crier gare en jeu de massacre délicieusement retors et sadique, orchestré par un cuisinier sociopathe à l’humeur festive.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par T. S.
Sans tout à fait réussir à émulsionner ces ingrédients, Mark Mylod, cinéaste britannique qui revient au long-métrage après un détour par les séries (il a appris à filmer les très riches de ce monde en dirigeant plusieurs épisodes de Succession), multiplie les surprises et les trouvailles, servi par une distribution impeccable (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Portrait grinçant du monde culinaire et de ses dérives absurdes, cette comédie noire défend un propos subversif et assume une approche à la fois démonstrative et systématique dans sa dénonciation. Ambitieux, le résultat peut amuser autant qu’irriter.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Si le film n'arrive pas à tenir sur la longueur l'originalité percutante de son pitch, Ralph Fiennes en chef maboul et Anya Taylor-Joy en convive forte tête s'en donnent à cœur joie.
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Si ce thriller satirique original a le mérite d'instiller un climat intrigant et tendu, il pèche par une forme (certes au service du fond) trop froide et des personnages volontairement antipathiques.
Télérama
par Cécile Mury
Saignant et raffiné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
[...] une série B de luxe, où certes on ne s’ennuie pas mais qui promettait bien plus qu’elle n’a su donner.
Le Parisien
par La Rédaction
Lorsque le spectateur comprend que les aigreurs de ce chef jusqu’au-boutiste n’auront aucune limite et que l’issue fatale est inévitable, l’intérêt pour le film diminue, d’autant que le réalisateur donne progressivement dans la surenchère sanglante. On se dit alors qu’il en fait beaucoup trop.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Réjouissant au début, le film peine ensuite à se renouveler et à préserver sa crédibilité, malgré un casting étoilé.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
À sa baguette, un chef d’orchestre diabolique (un illustre chef interprété par Ralph Fiennes) venu se venger de la bassesse et de la médiocrité d’un panel de convives choisi·es minutieusement. Passée leur caractérisation unidimensionnelle en forme de caricature creuse, ces personnages ne recevront aucun développement par la suite, simplement réduit·es à des comportements toxiques que le film condamne mais jamais n’explore.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Frédéric Foubert
Inopérant sur le plan du commentaire social comme sur celui du suspense macabre, un Menu indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
Un casting 5 étoiles au service d’une satire féroce de l’embourgeoisement de la gastronomie. Mais pas que.
Mad Movies
Le Menu n'aspire pas à contenter les gastronomes, c'est de la junk food préparée avec suffisamment d'honnêteté et de cœur à l'ouvrage pour faire apprécier le gras.
Voici
Le Menu, avec ses scènes aussi cruelles que cathartiques, se déguste avec délectation.
Ecran Large
À défaut de rassasier le spectateur en matière d'enjeux ou de conflits, Le Menu a le mérite de soigner sa carte sur le plan esthétique et de compter sur le talent de Ralph Fiennes en chef cuisinier vénéneux à souhait. Un thriller culinaire servi aux petits oignons, mais sans grande ambition.
L'Obs
Mark Mylod (« Succession ») joue la satire noire et mordante pour cuire à petit feu privilégiés, capitalistes et pompeux. Très pertinent sur les vilenies et les ridicules de ses personnages, il peine davantage à maintenir jusqu’à son terme l’intérêt de son jeu de massacre horrifique.
Le Figaro
Même si quelques scènes restent délectables, comme celle de la côtelette d'agneau aux poireaux, le règlement de comptes social laisse finalement le spectateur sur sa faim, malgré le numéro impeccable de Raph Fiennes en chef complètement toqué.
Le Journal du Dimanche
Etonnant thriller dans l’esprit d’Agatha Christie, qui se transforme sans crier gare en jeu de massacre délicieusement retors et sadique, orchestré par un cuisinier sociopathe à l’humeur festive.
Le Monde
Sans tout à fait réussir à émulsionner ces ingrédients, Mark Mylod, cinéaste britannique qui revient au long-métrage après un détour par les séries (il a appris à filmer les très riches de ce monde en dirigeant plusieurs épisodes de Succession), multiplie les surprises et les trouvailles, servi par une distribution impeccable (...).
Les Fiches du Cinéma
Portrait grinçant du monde culinaire et de ses dérives absurdes, cette comédie noire défend un propos subversif et assume une approche à la fois démonstrative et systématique dans sa dénonciation. Ambitieux, le résultat peut amuser autant qu’irriter.
Paris Match
Si le film n'arrive pas à tenir sur la longueur l'originalité percutante de son pitch, Ralph Fiennes en chef maboul et Anya Taylor-Joy en convive forte tête s'en donnent à cœur joie.
Télé Loisirs
Si ce thriller satirique original a le mérite d'instiller un climat intrigant et tendu, il pèche par une forme (certes au service du fond) trop froide et des personnages volontairement antipathiques.
Télérama
Saignant et raffiné.
L'Ecran Fantastique
[...] une série B de luxe, où certes on ne s’ennuie pas mais qui promettait bien plus qu’elle n’a su donner.
Le Parisien
Lorsque le spectateur comprend que les aigreurs de ce chef jusqu’au-boutiste n’auront aucune limite et que l’issue fatale est inévitable, l’intérêt pour le film diminue, d’autant que le réalisateur donne progressivement dans la surenchère sanglante. On se dit alors qu’il en fait beaucoup trop.
Télé 7 Jours
Réjouissant au début, le film peine ensuite à se renouveler et à préserver sa crédibilité, malgré un casting étoilé.
Les Inrockuptibles
À sa baguette, un chef d’orchestre diabolique (un illustre chef interprété par Ralph Fiennes) venu se venger de la bassesse et de la médiocrité d’un panel de convives choisi·es minutieusement. Passée leur caractérisation unidimensionnelle en forme de caricature creuse, ces personnages ne recevront aucun développement par la suite, simplement réduit·es à des comportements toxiques que le film condamne mais jamais n’explore.
Première
Inopérant sur le plan du commentaire social comme sur celui du suspense macabre, un Menu indigeste.