Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Parce qu’il nous propose une passionnante réflexion sur les images, alors même qu’employant des archives de propagande nazie comme soviétique, le réalisateur parvient, précisément par son art du montage, à en désactiver l’idéologie au profit d’un récit qui nous en permette l’intelligence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Thierry Cheze
Un documentaire inouï.
Première
par Gael Golhen
Rappelant l’incroyable puissance du cinéma, Loznitsa parvient ainsi à raconter comment les Allemands, les Russes et certains Ukrainiens ont organisé le silence autour de cet indicible événement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Babi Yar. Context constitue ainsi une histoire du cinéma et un document de l’Histoire, dans lesquels le surgissement du souvenir − rebaptisé en devoir de mémoire par le langage institutionnel − ne peut exister qu’en exposant le trou de mémoire qui le fonde.
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Tandis que les despotes continuent d’écrire leurs récits fallacieux, Loznitsa applique une pression adverse. Il remonte patiemment les fils causaux des événements, avec sa rigueur toute scientifique d’ex-cybernéticien ; il assemble les fragments, cherche l’image manquante comme on isole l’inconnue d’une équation [...].
Critikat.com
par Corentin Lê
Le film fait un usage riche et convaincant – c’est assez rare pour le souligner – de ses images d'archive, en les considérant à la fois comme des traces, des témoignages historiques, mais aussi des fragments picturaux dont la forme guide le montage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Non seulement le récit – sans voix off, sans musique – est glaçant, mais on reste pétrifié devant la barbarie des assassins, dans cet instant qui déshumanise les bourreaux. Il faut voir « Babi Yar. Contexte », requiem de l’âme humaine et terrible leçon d’Histoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un sommet de violence et d'inhumanité dont Sergei Loznitsa donne à éprouver l'épouvante par un montage saisissant, sans voix off, émaillé de témoignages d'époque, bruitages et silences glaçants.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le metteur en scène ukrainien Serguei Loznitsa, plonge dans les archives pour interroger un crime de masse de la Seconde Guerre Mondiale. Un documentaire saisissant sur un fait passé mais aussi sur ce mécanisme qui, de tout temps, déshumanise l'humain et le transforme en assassin.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Loznitsa se distingue par un emploi des images d’archives aussi hardie - au point d’interroger - qu’indéniablement puissante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Yannick Lemarié
Réalisé à partir d’images d’archives sonorisées et sans voix off additionnelle, Babi Yar. Context est un documentaire saisissant dont le but est moins de raconter l’histoire que d’exhumer une réalité oubliée.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le réalisateur ukrainien Sergei Loznitsa livre un documentaire édifiant sur le massacre de plus de 30 000 Juifs au ravin de Babi Yar, près duquel il habitait enfant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Présenté en juillet 2021 à Cannes, le film possède aujourd’hui un écho tout particulier au regard de l’actuel conflit en Ukraine. Une œuvre magistrale, plus universelle et intemporelle que jamais.
Libération
par Luc Chessel
Bien que la deuxième partie du film, qui évoque les deux journées du massacre puis leurs conséquences et celles de leur récit, pris en tenailles entre mémoire et oubli, ouvre sur une plus grande précision, allant de pair avec une plus grande dignité, la première heure de Babi Yar. Contexte demande à son spectateur d’accepter un certain nombre de principes formels.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
Parce qu’il nous propose une passionnante réflexion sur les images, alors même qu’employant des archives de propagande nazie comme soviétique, le réalisateur parvient, précisément par son art du montage, à en désactiver l’idéologie au profit d’un récit qui nous en permette l’intelligence.
Ouest France
Un documentaire inouï.
Première
Rappelant l’incroyable puissance du cinéma, Loznitsa parvient ainsi à raconter comment les Allemands, les Russes et certains Ukrainiens ont organisé le silence autour de cet indicible événement.
Transfuge
Babi Yar. Context constitue ainsi une histoire du cinéma et un document de l’Histoire, dans lesquels le surgissement du souvenir − rebaptisé en devoir de mémoire par le langage institutionnel − ne peut exister qu’en exposant le trou de mémoire qui le fonde.
Cahiers du Cinéma
Tandis que les despotes continuent d’écrire leurs récits fallacieux, Loznitsa applique une pression adverse. Il remonte patiemment les fils causaux des événements, avec sa rigueur toute scientifique d’ex-cybernéticien ; il assemble les fragments, cherche l’image manquante comme on isole l’inconnue d’une équation [...].
Critikat.com
Le film fait un usage riche et convaincant – c’est assez rare pour le souligner – de ses images d'archive, en les considérant à la fois comme des traces, des témoignages historiques, mais aussi des fragments picturaux dont la forme guide le montage.
L'Obs
Non seulement le récit – sans voix off, sans musique – est glaçant, mais on reste pétrifié devant la barbarie des assassins, dans cet instant qui déshumanise les bourreaux. Il faut voir « Babi Yar. Contexte », requiem de l’âme humaine et terrible leçon d’Histoire.
Le Journal du Dimanche
Un sommet de violence et d'inhumanité dont Sergei Loznitsa donne à éprouver l'épouvante par un montage saisissant, sans voix off, émaillé de témoignages d'époque, bruitages et silences glaçants.
Les Echos
Le metteur en scène ukrainien Serguei Loznitsa, plonge dans les archives pour interroger un crime de masse de la Seconde Guerre Mondiale. Un documentaire saisissant sur un fait passé mais aussi sur ce mécanisme qui, de tout temps, déshumanise l'humain et le transforme en assassin.
Les Fiches du Cinéma
Loznitsa se distingue par un emploi des images d’archives aussi hardie - au point d’interroger - qu’indéniablement puissante.
Positif
Réalisé à partir d’images d’archives sonorisées et sans voix off additionnelle, Babi Yar. Context est un documentaire saisissant dont le but est moins de raconter l’histoire que d’exhumer une réalité oubliée.
La Croix
Le réalisateur ukrainien Sergei Loznitsa livre un documentaire édifiant sur le massacre de plus de 30 000 Juifs au ravin de Babi Yar, près duquel il habitait enfant.
La Septième Obsession
Présenté en juillet 2021 à Cannes, le film possède aujourd’hui un écho tout particulier au regard de l’actuel conflit en Ukraine. Une œuvre magistrale, plus universelle et intemporelle que jamais.
Libération
Bien que la deuxième partie du film, qui évoque les deux journées du massacre puis leurs conséquences et celles de leur récit, pris en tenailles entre mémoire et oubli, ouvre sur une plus grande précision, allant de pair avec une plus grande dignité, la première heure de Babi Yar. Contexte demande à son spectateur d’accepter un certain nombre de principes formels.