Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Culturopoing.com
par Justin Kwedi
La mousson constante de cette belle oeuvre chaleureuse et introspective sert à purifier les protagonistes des maux intimes qui les oppressent, libérant chacun sous différentes formes, que ce soit soit un sommeil éternel, un premier chagrin d’amour ou enfin, un nouvel être à venir.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un beau portrait de femme, élégant, délicat, crédible, profond et sans lourdeurs.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une chronique scabreuse mais sensible.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un mélo charmant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Dans une lenteur qui ne demeure jamais statique, Weat Season creuse un sillon où la vie et la mort mènent bataille. La délicatesse qu’y adjoint Anthony Chen épargne à son film les accents mélodramatiques que l’on aurait pu craindre. Elle agit, au contraire, comme un fluide capable d’exercer une fascination sur l’histoire pourtant banale de son héroïne.
Le Parisien
par Catherine Balle
Wet Season brosse un portrait de femme délicat et subtil. Le film raconte une réalité rude, parfois crue, mais ne tombe jamais dans la noirceur : car si Ling semble prise au piège du destin qu'elle s'est construit malgré elle, elle n'a pas renoncé à vivre sa vie. Dans une ambiance moite, le film est par ailleurs ponctué de scènes audacieuses et de plans percutants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
À l'exception de quelques sur-significations, ce film puise sa force dans la délicatesse de sa réalisation et dans la pudeur son interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C'est grâce à sa mise en scène délicate, intelligente, qui juge si peu ses personnages, tout en retenue et en hors-champ, souvent, qu'Anthony Chen parvient à nous émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Yann Yann Yeo est merveilleuse de sensibilité.
Positif
par Hubert Niogret
Une chronique des sentiments de peu de paroles, faite de creux et de temps forts, qui parle d’identité, de relations, de choix de vie, avec une délicatesse, un sens des nuances, et des émotions, qui ne sont pas si fréquents dans un monde asiatique davantage tourné vers le spectaculaire et la consommation.
Télérama
par Jacques Morice
Le récit délicat d’un réveil en douceur après les épreuves de la vie, empreint de la mélancolie de la mousson.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Anthony Chen observe avec une grande pudeur la dérive des sentiments de ses deux personnages.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
C’est du cinéma doux, qu’il convient de voir avec abandon, en acceptant un rythme volontairement lent. Le personnage principal, Ling, est émouvant, en accord avec la mousson qui s’abat sur Singapour (il pleure dans son cœur comme il pleut sur la ville). Une jolie mélancolie…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Toute en pudeur, la caméra saisit ses personnages à distance, comme dans une patiente observation qui jamais ne s’immisce, et avec l’élégance de se tenir en retrait.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Certes cousu de fil blanc, le récit n’en demeure pas moins pudique et délicat, surtout dans la manière d’appréhender son héroïne, très attachante.
Paris Match
par Yannick Vely
Si le scénario n'est pas d'une grande originalité [...], c'est l'extrême sensibilité du cinéaste qui est remarquable, cette manière d'aborder les choses dures de la vie [...], toujours avec une grande pudeur mais sans pour autant détourner le regard.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
À la manière d’un peintre impressionniste, Chen procède par petites touches émotionnelles dont l’addition finit par rendre concret le bouleversement intime de Ling. À travers sa trajectoire, c’est aussi toute une société patriarcale déclinante que le film dépeint sans fard.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Lola Sciamma
Si tout est cousu de fil blanc, on finit par se laisser bercer par cette pluie battante.
aVoir-aLire.com
par Tristan Isaac
Long-métrage à la facture classique et à la photographie maîtrisée, Wet Season traite le sujet sensible des amours entre une professeure et son élève, en filmant ses personnages à une juste distance que son titre semblait vouloir abolir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
La mousson constante de cette belle oeuvre chaleureuse et introspective sert à purifier les protagonistes des maux intimes qui les oppressent, libérant chacun sous différentes formes, que ce soit soit un sommeil éternel, un premier chagrin d’amour ou enfin, un nouvel être à venir.
Femme Actuelle
Un beau portrait de femme, élégant, délicat, crédible, profond et sans lourdeurs.
L'Humanité
Une chronique scabreuse mais sensible.
Le Figaro
Un mélo charmant.
Le Monde
Dans une lenteur qui ne demeure jamais statique, Weat Season creuse un sillon où la vie et la mort mènent bataille. La délicatesse qu’y adjoint Anthony Chen épargne à son film les accents mélodramatiques que l’on aurait pu craindre. Elle agit, au contraire, comme un fluide capable d’exercer une fascination sur l’histoire pourtant banale de son héroïne.
Le Parisien
Wet Season brosse un portrait de femme délicat et subtil. Le film raconte une réalité rude, parfois crue, mais ne tombe jamais dans la noirceur : car si Ling semble prise au piège du destin qu'elle s'est construit malgré elle, elle n'a pas renoncé à vivre sa vie. Dans une ambiance moite, le film est par ailleurs ponctué de scènes audacieuses et de plans percutants.
Les Fiches du Cinéma
À l'exception de quelques sur-significations, ce film puise sa force dans la délicatesse de sa réalisation et dans la pudeur son interprétation.
Les Inrockuptibles
C'est grâce à sa mise en scène délicate, intelligente, qui juge si peu ses personnages, tout en retenue et en hors-champ, souvent, qu'Anthony Chen parvient à nous émouvoir.
Ouest France
Yann Yann Yeo est merveilleuse de sensibilité.
Positif
Une chronique des sentiments de peu de paroles, faite de creux et de temps forts, qui parle d’identité, de relations, de choix de vie, avec une délicatesse, un sens des nuances, et des émotions, qui ne sont pas si fréquents dans un monde asiatique davantage tourné vers le spectaculaire et la consommation.
Télérama
Le récit délicat d’un réveil en douceur après les épreuves de la vie, empreint de la mélancolie de la mousson.
Franceinfo Culture
Anthony Chen observe avec une grande pudeur la dérive des sentiments de ses deux personnages.
L'Obs
C’est du cinéma doux, qu’il convient de voir avec abandon, en acceptant un rythme volontairement lent. Le personnage principal, Ling, est émouvant, en accord avec la mousson qui s’abat sur Singapour (il pleure dans son cœur comme il pleut sur la ville). Une jolie mélancolie…
La Croix
Toute en pudeur, la caméra saisit ses personnages à distance, comme dans une patiente observation qui jamais ne s’immisce, et avec l’élégance de se tenir en retrait.
Le Journal du Dimanche
Certes cousu de fil blanc, le récit n’en demeure pas moins pudique et délicat, surtout dans la manière d’appréhender son héroïne, très attachante.
Paris Match
Si le scénario n'est pas d'une grande originalité [...], c'est l'extrême sensibilité du cinéaste qui est remarquable, cette manière d'aborder les choses dures de la vie [...], toujours avec une grande pudeur mais sans pour autant détourner le regard.
Première
À la manière d’un peintre impressionniste, Chen procède par petites touches émotionnelles dont l’addition finit par rendre concret le bouleversement intime de Ling. À travers sa trajectoire, c’est aussi toute une société patriarcale déclinante que le film dépeint sans fard.
Voici
Si tout est cousu de fil blanc, on finit par se laisser bercer par cette pluie battante.
aVoir-aLire.com
Long-métrage à la facture classique et à la photographie maîtrisée, Wet Season traite le sujet sensible des amours entre une professeure et son élève, en filmant ses personnages à une juste distance que son titre semblait vouloir abolir.
Cahiers du Cinéma
Pas très engageant.