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Regorgeant de couleurs somptueuses et de paysages grandioses, le nouveau film d’animation du Français Rémi Chayé dépeint l’enfance fantasmée de l’une des plus célèbres figures de l’Amérique du XIXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
"Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary" est un petit bijou animé dans la lignée graphique du précédent chef d’oeuvre de Rémy Chayé, "Tout en haut du monde", avec notamment une sublime utilisation des aplats de couleurs.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Trois lignes forment un riche entrelacs, l’héritage du western, le volet peu connu de la légende de Martha Jane et l’artifice de l’animation. L’originalité du thème, vecteur d’un féminisme classique, rejoint la qualité esthétique pour livrer une vision émouvante de l’enfance.
Au-delà de la qualité des images et du récit, le réalisateur de Tout en haut du monde mise sur la modernité d’une héroïne dont la vie n’a paradoxalement jamais été portée à l’écran.
Cristal mérité du festival d’Annecy, Calamity superpose avec panache sa formidable réussite chromatique et un regard subtil sur son propre storytelling. L’essentiel n’est-il pas, pour Martha Jane comme pour Rémi Chayé, de savoir raconter des histoires ?
Une volonté de déconstruction des stéréotypes qui passe aussi par la relecture de la mythologie de Calamity Jane, inscrite dans la légende western comme une femme qui se faisait passer pour un homme.
Les personnages sont des plus attachants, héros d’une aventure passionnante aux nombreux rebondissements. Enfants et parents y trouveront largement leur compte : une grande réussite.
La ligne claire du dessin est étoffée par un travail remarquable sur le décor, dont les couleurs évoquent et recréent le Far West avec une poésie surréaliste. Du grand art.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Point fort du film, les paysages sont recréés avec une grande force visuelle. Filmées en cinémascope, les gigantesques plaines du Midwest s’étalent à perte de vue sous un ciel immense.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Un conte initiatique moderne qui parle de quête d'émancipation, de liberté et d'indépendance, tout en développant une réflexion sur le genre qui combat les préjugés dans un univers artistique radical, coloré et inondé de lumière.
Il en résulte un film d'aventures aussi intelligent que passionnant, mené à cent à l'heure, plein de suspense et de rebondissements, qui va tenir en haleine les plus jeunes comme les adultes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Récit imaginaire de l'enfance de Calamity Jane, relecture des mythes du western en mode pastel, Rémi Chayé signe un dessin animé splendide porté par le vent de l'aventure.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
L’enfance de la future Calamity Jane, filmée comme par des peintres, dans un subtil jeu d’aplats de couleurs. Au gré de multiples péripéties, se raconte l’émancipation de la turbulente fille de l’Ouest. Une réussite totale, signée par une équipe quasi paritaire.
Dépliant un imaginaire western dense et vivant, couplé à une représentation soignée de la nature (laissant supposer des inspirations surtout du côté de Miyazaki), le tout enrobé dans une palette raisonnablement fauviste, le film de Chayé fait l'effet d'un copieux buffet d'aventures dont le féminisme n'est pas une donnée morale et abstraite, mais une idée très organique et charnelle, motivée par l'appétit de vivre.
C’est un conte féérique et rude à la fois, dont les aventures multiples dans ce décor grandiose nourrissent un récit d’apprentissage à la portée de tous.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Calamity romance l’enfance de Marthe Jane, au moyen d’une animation picturale étonnante : la peinture des Grandes plaines, avec de larges à-plats de couleurs, en fait un beau film paysage.
Pour mener son récit d’apprentissage et d’émancipation, dans le monde hypermasculin du Far West, Rémi Chayé suit le (vrai) périple en chariot accompli par la famille Cannary au début des années 1860, en direction du Montana, pour trouver de l’or.
On s’attache tellement à cette fillette qu’on se prend, avant même la conclusion de ses aventures, à espérer une suite pour savoir comment elle finira par devenir cette redoutable hors-la-loi de légende.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Tout simplement admirable.
Le Point
Grandiose.
Libération
Regorgeant de couleurs somptueuses et de paysages grandioses, le nouveau film d’animation du Français Rémi Chayé dépeint l’enfance fantasmée de l’une des plus célèbres figures de l’Amérique du XIXe siècle.
Paris Match
"Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary" est un petit bijou animé dans la lignée graphique du précédent chef d’oeuvre de Rémy Chayé, "Tout en haut du monde", avec notamment une sublime utilisation des aplats de couleurs.
Positif
Trois lignes forment un riche entrelacs, l’héritage du western, le volet peu connu de la légende de Martha Jane et l’artifice de l’animation. L’originalité du thème, vecteur d’un féminisme classique, rejoint la qualité esthétique pour livrer une vision émouvante de l’enfance.
Télérama
Un western ébouriffant sous forme de parcours initiatique.
20 Minutes
Au-delà de la qualité des images et du récit, le réalisateur de Tout en haut du monde mise sur la modernité d’une héroïne dont la vie n’a paradoxalement jamais été portée à l’écran.
Bande à part
Ce film d'animation trépidant avec ses péripéties bien menées retrace avec une grande maîtrise le cheminement d'une émancipation féminine.
Cahiers du Cinéma
Cristal mérité du festival d’Annecy, Calamity superpose avec panache sa formidable réussite chromatique et un regard subtil sur son propre storytelling. L’essentiel n’est-il pas, pour Martha Jane comme pour Rémi Chayé, de savoir raconter des histoires ?
CinemaTeaser
Une volonté de déconstruction des stéréotypes qui passe aussi par la relecture de la mythologie de Calamity Jane, inscrite dans la légende western comme une femme qui se faisait passer pour un homme.
Closer
Un hommage aux westerns de notre enfance, porté par un rythme endiablé et une bande-son inoubliable.
Elle
Un biopic flamboyant de couleurs et de liberté.
Franceinfo Culture
Les personnages sont des plus attachants, héros d’une aventure passionnante aux nombreux rebondissements. Enfants et parents y trouveront largement leur compte : une grande réussite.
L'Obs
La ligne claire du dessin est étoffée par un travail remarquable sur le décor, dont les couleurs évoquent et recréent le Far West avec une poésie surréaliste. Du grand art.
La Croix
Point fort du film, les paysages sont recréés avec une grande force visuelle. Filmées en cinémascope, les gigantesques plaines du Midwest s’étalent à perte de vue sous un ciel immense.
Le Figaro
Pour ce nouveau long-métrage d’animation, Rémi Chayé gratte derrière la légende d’une rebelle à la conquête de l’Ouest.
Le Journal du Dimanche
Un conte initiatique moderne qui parle de quête d'émancipation, de liberté et d'indépendance, tout en développant une réflexion sur le genre qui combat les préjugés dans un univers artistique radical, coloré et inondé de lumière.
Le Parisien
Il en résulte un film d'aventures aussi intelligent que passionnant, mené à cent à l'heure, plein de suspense et de rebondissements, qui va tenir en haleine les plus jeunes comme les adultes.
Les Echos
Récit imaginaire de l'enfance de Calamity Jane, relecture des mythes du western en mode pastel, Rémi Chayé signe un dessin animé splendide porté par le vent de l'aventure.
Les Fiches du Cinéma
L’enfance de la future Calamity Jane, filmée comme par des peintres, dans un subtil jeu d’aplats de couleurs. Au gré de multiples péripéties, se raconte l’émancipation de la turbulente fille de l’Ouest. Une réussite totale, signée par une équipe quasi paritaire.
Les Inrockuptibles
Dépliant un imaginaire western dense et vivant, couplé à une représentation soignée de la nature (laissant supposer des inspirations surtout du côté de Miyazaki), le tout enrobé dans une palette raisonnablement fauviste, le film de Chayé fait l'effet d'un copieux buffet d'aventures dont le féminisme n'est pas une donnée morale et abstraite, mais une idée très organique et charnelle, motivée par l'appétit de vivre.
Ouest France
Une grande réussite.
Sud Ouest
C’est un conte féérique et rude à la fois, dont les aventures multiples dans ce décor grandiose nourrissent un récit d’apprentissage à la portée de tous.
Télé 7 Jours
Un enchantement.
Télé Loisirs
Avec son style graphique ambitieux, son rythme plein de souffle et les émotions qu'il suscite, ce film mérite toutes les louanges.
Voici
Un roadmovie bourré de péripéties tout en aplats de couleurs.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Calamity romance l’enfance de Marthe Jane, au moyen d’une animation picturale étonnante : la peinture des Grandes plaines, avec de larges à-plats de couleurs, en fait un beau film paysage.
Le Dauphiné Libéré
Pour mener son récit d’apprentissage et d’émancipation, dans le monde hypermasculin du Far West, Rémi Chayé suit le (vrai) périple en chariot accompli par la famille Cannary au début des années 1860, en direction du Montana, pour trouver de l’or.
Le Monde
Les décors aux allures de tableaux fauvistes donnent vie aux grands espaces. Et aux personnages leur dimension héroïque.
Première
On s’attache tellement à cette fillette qu’on se prend, avant même la conclusion de ses aventures, à espérer une suite pour savoir comment elle finira par devenir cette redoutable hors-la-loi de légende.