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    Le Bonheur des uns...
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    295 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 janvier 2021
    Hormis Foresti qui joue comme dans ses one-woman show, on passe un bon moment avec personnages haut en couleur
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    684 abonnés 3 004 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2021
    Il est triste de voir une œuvre répudiée par la critique sur des critères exclusivement moraux, liés ici à l’hypocrisie que manifestent les personnages les uns par rapport aux autres. Et si Le Bonheur des uns... investit l’hypocrisie, c’est moins pour l’adopter en tonalité d’ensemble que pour en faire un thème qu’il traite et décline en le confrontant à un autre thème, en l’occurrence la notoriété littéraire. Aussi, il s’interroge sur la propension de la littérature à dénuder l’humain, à le révéler dans ses contradictions, dans ses angoisses, dans sa méchanceté fondamentales, qu’il s’agisse de l’autrice qui dévoile son regard porté sur le monde ou de son environnement direct, composé de son compagnon et de ses amis. L’hypocrisie devient le conservatoire puis l’expression d’une franche jalousie devant le succès pour un couple – essentiellement Karine – qui perçoit la réussite de Léa comme un miroir lui renvoyant sa propre médiocrité ; et il n’est pas anodin que le cheval de bataille soit artistique dans la mesure où l’art détient en lui un potentiel de discrimination, réservé à une élite. Le long métrage confronte donc deux mouvements : d’une part l’immobilisme de Karine et de Marc qui, terrassés par la découverte du talent de Léa, en arrivent à nier la réalité en plaquant des systèmes préconçus, d’autre part la liberté de l’artiste que la société reconnaît sans tenir compte de son origine sociale, en témoigne la profession de Léa qui passe de vendeuse à écrivaine. Les deux couples voient leurs membres se redistribuer : Karine et Marc rejettent le succès d’autrui parce qu’ils y lisent leur échec singulier, Léa et Francis expérimentent à partir de leur passion, l’une réussissant brillamment, l’autre explorant diverses activités – tailler un bonzaï, cuisiner, sculpter un cheval qui devient l’épouse. Quatre personnages, quatre réactions à la réussite qui font que les relations amicales et amoureuses se percutent, se délitent et se refondent à mesure que l’individuel s’articule au collectif. Porté par de très bons acteurs, mention spéciale à Bérénice Béjo, François Damiens et Vincent Cassel, Le Bonheur des uns... réussit à imposer son écriture très théâtrale des situations sans tomber ni dans la théâtralisation figée de sa mise en scène ni dans l’entassement d’effets de réalisation tape-à-l’œil : en résulte une œuvre homogène et aboutie qui offre une belle réflexion sur la notoriété contemporaine, doublée d’une envie irrésistible d’aller à la rencontre de ces nouveaux auteurs et autrices d’aujourd’hui qui ont beaucoup à nous apprendre d’eux et de nous-mêmes.
    Thierry L
    Thierry L

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 janvier 2021
    Une catastrophe au delà de l'imaginable. Des personnages auxquels même le Père Noël ne croit pas. Florence Foresti aussi nulle que laide.
    Un scénario au bord de la trisomie.Le cinéma français déjà moribond n'avait point besoin de ce coup fatal.
    Cerise sur le gâteau, le réalisateur nous impose sa sinitre présence dans un rôle qu'on souhaite prémonitoire: son prochain métier?
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 juillet 2021
    Finalement pas si mal ! J'y suis allé à reculons pensant que la bande annonce résumait à elle seule le film ! Je me suis trompé ! Bon... ce n'est pas excellent, mais cela se laisse regarder. je n'ai pas du tout aimé le couple caricatural de FORESTI/DAMIENS. Ce côté lourdingue, pas du tout subtile. Tempérament stéréotypé de Florence FORESTI dont on connaît par cœur le jeu... Elle mérite de meilleurs rôles comme actrice ! En revanche le jeu BEJO/CASSEL fonctionne très bien. Le jeu des deux acteurs est à l'inverse de l'autre, très subtile... Elle, en femme effacée, incapable de se décider même sur le choix de son dessert et qui d'un coup renaît grâce à son talent caché. Lui, en macho chiant qui ne vit que pour lui même. Son monde s'effondre lorsqu'il se rend compte que sa femme prend un chemin qu'il n'a pas décidé d'accompagner. Et pour la première fois elle s'en éloigne car c'est sa vie... Elle tente de l'amener avec elle mais c'est totalement impossible pour lui.
    Le film en fait se cherche entre pure comédie et réflexion subtile : entre véritable amitié et changement de vie dans un couple. A cause de cela, on arrive pas à se projeter vraiment dans l'histoire et c'est dommage.
    A voir quand même, en fin d'après midi le dimanche au coin du feu lorsqu'il fait brumeux et froid.
    Vincent G
    Vincent G

    5 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 janvier 2021
    Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un aussi mauvais film ! Je me suis fait avoir par le casting de luxe. Un niveau de caricature qui en arrive à géner par sa maladresse et son écriture désastreuse de la 1ère à la dernière scène. Impressionnant !
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    687 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mars 2023
    Sujet intéressant mais définitivement mal traité. Même si c'est le but, le personnage de Florence Foresti est littéralement insupportable, ce qui agace profondément. Pas de quoi casser trois pattes à un canard.

    https://www.justfocus.fr/cinema/critique-le-bonheur-des-uns-de-daniel-cohen-disponible-en-dvd-des-le-13-janvier.html
    Ciné2909
    Ciné2909

    69 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 novembre 2020
    A votre prochaine sortie au restaurant, pas d’hésitations à avoir ; prenez L’ile flottante pour terminer le repas ! En plus d’être un bon dessert, c’est aussi le nom de la pièce de théâtre adapté ici par le réalisateur Daniel Cohen qui s’est offert un quatuor prestigieux. Nos regards se porteront surtout sur le couple Florence Foresti / François Damiens qui vient apporter de l’animation à l’histoire. L’autre duo formé par Bérénice Béjo / Vincent Cassel se montre plus discret à la limite du quelconque. S’il offre l’opportunité d’une réflexion sur la réussite et sa perception auprès de l’entourage, Le bonheur des uns … n’est qu’une comédie (un peu trop) légère.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 octobre 2020
    J'ai vu ce film 2 fois et ai autant adoré la première que la deuxième séance. J'ai trouvé ce film d'une finesse d'analyse et de jeu remarquable. On sent la psychologie intérieure et le non-dit dans chaque personnage. Et en plus, on rigole ce qui fait du bien dans le contexte actuel.
    Jonathan P
    Jonathan P

    67 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 octobre 2020
    Idée de départ intéressante, vite réduite à néant par la paresse de son écriture. Cela se voudrait à la hauteur de Bacri/Jaoui sauf que non malheureusement. Dès la première scène la lourdeur des dialogues débarque très vite. Le point départ étant l’épineux dilemme de prendre ou ne pas prendre de dessert. Bérénice, intéresser à l’idée de prendre une île flottante tergiverse, en ressort une scène grotesque et pathétique au restaurant. De ce marasme, n’émerge que... la suite sur boulevardducinema.com
    Stone cold steve austin
    Stone cold steve austin

    15 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2020
    Le bonheur des uns…, adapté d’une pièce de théâtre est un film français composé d’une belle distribution. Voici le synopsis : Léa, Marc, Karine et Francis sont deux couples amis de longue date. Quand Léa, la plus discrète des 4, apprend à ses amis et à son mari qu'elle a publié un livre qui devient un best-seller, la jalousie s'empare aussitôt de ses amis, tandis que mari vit mal cette réussite... Bérénice Bejo incarne Léa, cette femme sur qui le succès tombe soudainement. On peut facilement voir dans le reste des personnages une critique de la société française, ayant souvent la réputation de mal prendre la réussite des autres voir même de la critiquer. C’est exactement ce qui se passe dans le long métrage, avec le mari macho de Léa brillamment interprété par Vincent Cassel, incapable de remettre en question sa vision, et le succès de sa femme. Quant au couple d’amis, on retrouve le génial François Damiens qui inspiré par cet aspect créatif que cachait Léa, cherche à tout prix à trouver sa fibre artistique en essayant toutes sortes d’activités, parfois complètement à contre courant de son personnage, ce qui est assez drôle. Sa femme, joué par Florence Foresti, est aussi insupportable dans son personnage qui est une jalouse maladive de son amie Léa, que son interprète elle-même, Foresti étant constamment dans le surjeu et les tics de langages. C’est aussi un moyen pour le réalisateur de montrer que la remise en question est importante, car si Léa a tout réussi, elle reste humble et toujours sympathique, même après sa célébrité. Accusé par son mari et sa meilleure amie d’avoir changée, on ressent beaucoup d’empathie pour Léa, qui subit le malheur des autres (ce qui complète le titre) alors que sa soudaine carrière d’écrivaine devait lui apporter le meilleur. Du côté des personnages et du propos, le réalisateur Daniel Cohen réussit totalement. Mais si la technique est très professionnelle, on ressent un certain manque d’inspiration quant à l’écriture par moment. De plus, le temps d’écran pour chaque personnage est assez mal réparti par moment, car le long-métrage prend le parti de ne pas se concentrer que sur un personnage, ce qui peut être assez déstabilisant. L’humour marche la plupart du temps sans être révolutionnaire, et cet ensemble nous fais passer un bon moment devant ce film, qui ne marquera probablement pas, mais qui rempli aisément la promesse de son pitch.
    Elisabeth Delorme
    Elisabeth Delorme

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 octobre 2020
    malgré le flux de critiques très moyennes qui ne donnent pas envie, ce film est juste excellent, on rit franchement, délicieux acteurs qu'on peut reconnaître tous dans ses amis dans la vie... c'est plutôt incroyablement bien observé et joué !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 18 octobre 2020
    Que de longueurs ! Le scénario était creux.
    Un excellent casting pour des rôles nuls: quel dommage. Nous nous sommes ennuyés et avant hésité à partir avant la fin du film.
    MediaShow
    MediaShow

    141 abonnés 536 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 octobre 2020
    « Le bonheur des uns… » est une comédie légère et distrayante proposée par Daniel Cohen. Si la thématique abordée est intéressante, le film souffrira de nombreuses longueurs et d’une Florence Foresti insupportable et surjouée.

    Ma critique (sans spoilers) : https://mediashowbydk.com/2020/09/25/critique-film-le-bonheur-des-uns/
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 octobre 2020
    Le thème du film était intéressant: "comment le succès d'une personne influe sur le regard que porte ses ami.es sur elle, et modifie son propre comportement?" Hélas, ce film est affligeant: caricatural, avec une Florence Foresti horripilante qui ne sait manifestement pas que crier et grimacer ne suffit pas à créer un personnage, une Bérénice Bejo dont le sourire et les grands yeux ne suffisent pas à crédibiliser son rôle, Vincent Cassel absolument pas convaincant dans son rôle de macho un peu crétin. Seul François Damiens tire- un peu- son épingle du jeu... par comparaison avec le vide abyssal de ses partenaires. Ajoutons que faire croire qu'un premier roman vend 50 000 ex en une semaine (alors que la moyenne des ventes d'un premier roman tourne autour de 400 ex) et que l'auteur ainsi comblé publie son second romans quelques mois après, c'est condamner les éditeurs à recevoir des milliers de manuscrits, eux qui n'en publient pas plus de 1% et c'est surtout- plus grave- nier la somme de travail et d'énergie que requiert l'écriture d'un roman. Donner à penser qu'un traitement de texte permet à tout le monde d'écrire un livre ou qu'une caméra rend n'importe qui cinéaste, c'est nier l'immense travail des artistes, c'est insultant pour eux. Enfin, parmi les invraisemblances du film qui en est truffé, spoiler: on n'a jamais vu l'auteur d'un seul livre, même à succès, être décoré comme chevalier des arts et lettres, et annoncer que l'auteur (Bérénice Bejo) a eu le Prix interallié est invraisemblable puisque ce prix est réservé aux romans écrits par des journalistes, alors que Berenice, dans le film, est vendeuses de fringues.
    Bref, un film caricatural, bâclé et même pas drôle, espérons que ce thème sera un jour traité par un véritable cinéaste.
    Jérôme S
    Jérôme S

    1 abonné 66 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 octobre 2020
    Je suis ressorti de ce film avec le sentiment mitigé on ne peut pas dire qu'il est mauvais mais on ne peut pas dire non plus que c'est un grand film. L'intrigue de la jalousie est pas mal mais mal exploité pour moi. J'ai eu du mal à rentrer dedans. Je suis content de l'avoir vu mais je n'est pas réellement envie de le revoir ce n'est pas le genre de film qu'on voit en boucle.
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