AlloCiné
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Votre avis sur Le Bonheur des uns... ?
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Magnifique ! Le caricatural n'est là que pour servir le comique, et on a bien besoin pour avaler l'amère mais tellement juste vérité.
Très belle prestation de Florence Foresti qui n'hésite pas à abîmer son image dans ce rôle très ingrat. Je salue son courage et son travail.
François Damiens lui donne la réplique avec brio sur des dialogues de haut vol. Il y a beaucoup d'esprit et d'humour et l'ensemble tient magistralement l'équilibre !
Vincent Cassel méconnaissable ! Mais il a l'art de nous rendre attachant un personnage détestable : très fin !
Bérénice Bejo a le rôle le plus simple mais elle le tient avec une classe folle. Son sourire inimitable, qui veut tout dire, présent et inaltérable du début à la fin est sans doute le fil rouge qui nous tient et nous émeut le plus. C'est comme si elle avait toujours su. Et comme s'il ne s'était rien passé. Le bonheur vient de l'intérieur. Mais un bon film, ça peut aider !
Très belle prestation de Florence Foresti qui n'hésite pas à abîmer son image dans ce rôle très ingrat. Je salue son courage et son travail.
François Damiens lui donne la réplique avec brio sur des dialogues de haut vol. Il y a beaucoup d'esprit et d'humour et l'ensemble tient magistralement l'équilibre !
Vincent Cassel méconnaissable ! Mais il a l'art de nous rendre attachant un personnage détestable : très fin !
Bérénice Bejo a le rôle le plus simple mais elle le tient avec une classe folle. Son sourire inimitable, qui veut tout dire, présent et inaltérable du début à la fin est sans doute le fil rouge qui nous tient et nous émeut le plus. C'est comme si elle avait toujours su. Et comme s'il ne s'était rien passé. Le bonheur vient de l'intérieur. Mais un bon film, ça peut aider !
De bon acteurs réunis, film très particulier, ennuyeux, très ennuyeux
Dommage l’année 2020 n’est décidément pas une bonne année
Dommage l’année 2020 n’est décidément pas une bonne année
bsalvert
Un film sur l'amitié de surface. Les relations font froid dans le dos et pourtant on se laisse porter par le succès rencontré par une femme du groupe. A noter Vincent Cassel toujours efficace dans le rôle de la personne invivable.
Qu'on se le dise, avant de louer ce film, il y a déjà une distribution qui donne envie d'en savoir plus qu'une simple lecture du synopsis. Par la suite, en plus d'une vérité qui excelle dans notre quotidien depuis la nuit des temps, la jalousie mais surtout la solitude sont mis en avant et affiche une réalité qui détrône le simple "succès" les dialogues sont bons, réfléchis et permettent même aux spectateurs de débattre de plusieurs sujets en parallèle. Un film de réflexion, touchant et reposant qui jouxte l'émotion.
Très décevant après je m en doute un peu en voyant certains acteurs qui m avait déjà déçu que ceux dans l histoire ou les dialogues sait lourd
Ce film malgré un casting agréable reste de longue dans les mêmes codes de jeux, frisant soit une parodie à la caricature mal assumée, soit une étude très en surface de la complexité à vivre le bonheur des uns quand on est un autre. Les personnages restent ancrés dans un rôle qui n'évolue pas. Karine, Francis, Léa et Marc sont deux couples "d'amis" qui voit leurs relations "changées" lorsque Léa, femme sous l'emprise de trois personnalités particulièrement narcissiques, rencontre un succès fulgurant par le biais de ses talents d'écrivaine. On peut très facilement limité ce quatuor à quatre identités très marquées : Léa en femme soumise et contrainte par Marc, un mari macho auto-centré, par Karine une meilleure amie éternelle jalouse, cynique et narcissique, suivi de Francis un homme plus modéré qui suit le mauvais esprit de Karine, sa femme. En clair trois personnages qui cherchent tour à tour à savoir qui absorbera le mieux la lumière tout en s'assurant de faire un maximum d'ombre aux autres, et en particulier à Léa. S'enchainent alors une multitudes de scènes au même schéma, Léa est sans cesse dévalorisée ignorée, culpabilisée par ses relations très toxiques. On ne sait plus si c'est une comédie ou un spot de prévention contre la perversion narcissique. Le moteur du film aurait pu être intéressant, le bonheur des uns faisant parfois miroiter chez l'autre quelque chose qu'il n'a pas su saisir, s'en suit alors la jalousie, la critique, voir le rejet.. Ce qu'il manque c'est une évolution psychique de ces personnages, Léa malgré son succès ne s'affranchit pas vraiment, Marc reste macho, Karine cynique, et Francis suiveur. Vers la fin du film on croit que Léa arrive à se détacher, à s'ouvrir à son objectivité, mais elle retombe sans cesse comme une brebis au milieu des trois loups. Les dialogues sont comme des pensées inconscientes qu'on oserait pas sire, une réalité non objective qui nous parle de l'agacement qu'on peut avoir quand l'autre réussit tout à coup tout ce qu'il entreprend, et que l'on reste stagnant dans une vie qui ne change pas. Seulement c'est mal exécuté, très lassant, et à la limite du malaise..
Comédie grinçante sur fond de jalousie a tout bout de champs. Les 30 premières minutes sont malaisantes, ou l'on apprend à déserter les personnages principaux. Seule Bejo "a le bon rôle", les trois autres protagonistes étants plus insupportables les uns que les autres.
Chapeau au jeu d'acteur de F. Foresti que l'on déteste de bout en bout
Chapeau au jeu d'acteur de F. Foresti que l'on déteste de bout en bout
Présenté plutôt comme une comédie (avec la présence de Florence Foresti et de François Damiens) , la présence de Vincent Cassel et de Berenice Béjo m'avait intrigué et motivé à aller plus loin.
Malgré une longue scène d'exposition assez réussie dans un restaurant, Je n'ai pas vraiment ri en voyant ce film lent et poussif.
Très vite, le film se transforme en satire sur les thèmes de la jalousie et de la recherche de l'épanouissement et de la réussite personnelle. Malheureusement les dialogues sont plats et sonnent faux , les personnages s'expriment sans nuances un peu comme si les inconscients des personnages s'exprimaient à leur insu ...Du coup, l'ensemble manque singulièrement de naturel et de crédibilité.
J'aime beaucoup Florence Foresti, autour de laquelle le film est construit, mais elle joue comme dans ses spectacles : même ton, mêmes mimiques, même tics, une posture d'humoriste qui devient parfois dérangeante et s'oppose avec celles plus en nuances de Bérénice Béjo ou même de Francois Damiens.
Du coup, , je suis resté à l'extérieur d 'un film/spectacle de Florence Foresti en beaucoup moins drôle, qui traîne en longueur et se termine sans surprise.
Bref, une déception en ce qui me concerne, et un film que je ne regarderai pas une seconde fois.
Malgré une longue scène d'exposition assez réussie dans un restaurant, Je n'ai pas vraiment ri en voyant ce film lent et poussif.
Très vite, le film se transforme en satire sur les thèmes de la jalousie et de la recherche de l'épanouissement et de la réussite personnelle. Malheureusement les dialogues sont plats et sonnent faux , les personnages s'expriment sans nuances un peu comme si les inconscients des personnages s'exprimaient à leur insu ...Du coup, l'ensemble manque singulièrement de naturel et de crédibilité.
J'aime beaucoup Florence Foresti, autour de laquelle le film est construit, mais elle joue comme dans ses spectacles : même ton, mêmes mimiques, même tics, une posture d'humoriste qui devient parfois dérangeante et s'oppose avec celles plus en nuances de Bérénice Béjo ou même de Francois Damiens.
Du coup, , je suis resté à l'extérieur d 'un film/spectacle de Florence Foresti en beaucoup moins drôle, qui traîne en longueur et se termine sans surprise.
Bref, une déception en ce qui me concerne, et un film que je ne regarderai pas une seconde fois.
Difficile de dire ce qu'il ne va pas mais je n'ai pas trop accroché à cette comédie. Le casting est pourtant pas mal mais cela ne décolle pas. Personnage caricatural qui lasse.
Un vrai navet comme il y a bien longtemps que je n'en n'ai pas vu ! J'ai même eu du mal à mettre une étoile.Vraiment très déçue par ce film et le jeu des acteurs est vraiment catastrophique. Florence Foresti n'est vraiment pas bonne dans ce film, Vincent Cassel pas du tout à sa place dans ce genre de rôle (vraiment pas crédible), des scènes parfois beaucoup trop longues où on ne voit pas du tout où est la comédie.
En bref, je le déconseille.
En bref, je le déconseille.
tixou0
Léa (Bérénice Bejo), milieu de quarantaine, vit en concubinage avec Marc (Vincent Cassel), son aîné de 10 ans. Elle est vendeuse en prêt-à-porter dans une galerie marchande ; lui, cadre subalterne, espère (enfin) une promotion dans sa boîte (aluminium industriel). Ils n'ont pas d'enfant. Elle est discrète (voire effacée), il est macho. Mais voilà... Léa écrit - et "bas-bleu" 2.0, elle attire l'attention sur un "réseau social" d'un auteur de best-sellers, qui l'encourage et va la faire publier. Et c'est un succès quasi immédiat, et fulgurant ! Son livre est une sorte de "Caractères" pour notre temps, portraits (piquants) et moeurs du siècle : une recette éternelle. "Le Bonheur..." de l'une (s'accomplissant en écrivain), on s'en doute (pour le relief du récit), ne va pas faire celui des autres (à défaut de faire carrément leur... malheur), c'est-à-dire des familiers : le conjoint frustré bien sûr, mais aussi la "meilleure amie", Karine (Florence Foresti), et l'époux de cette dernière, Francis (François Damiens) - ces deux-là tourmentés, par effet d'imitation, eux aussi par la création, et plus que vaguement envieux... Il s'agit là d'une pièce ("L'Île flottante") jamais montée, adaptée par son auteur et mise en scène pour le grand écran par lui (Daniel Cohen), et cela se remarque à chaque instant, via l'excellente facture du dialogue. Si on y ajoute 4 interprètes savoureux, s'amusant à jouer les archétypes, on passe aisément sur certains défauts de construction du scénario, les temps morts ou surchargés, et la fin un peu facile - "Le Bonheur des Uns..." fait passer un bon moment !
Encore un film français qui choisit de faire très compliqué pour le plaisir de pas faire simple. Ce film me laisse la même impression que les petits mouchoirs, des prises de têtes à rallonge et que des réations incohérentes au possible.
Je me suis accroché pour voir la chute avec l'espoir d'une fin qui rattrape l'ensemble.. Non.
Je me suis accroché pour voir la chute avec l'espoir d'une fin qui rattrape l'ensemble.. Non.
Alain D.
Difficile de déceler ce qui cloche dans cette Comédie, coécrite et dirigée par Daniel Cohen. Son scénario original est pourtant intéressant, évoquant les rapports amicaux et les relations à l'intérieur d'un couple, faisant une belle part à la jalousie et à l'EGO. La mise en scène se révèle sans défaut majeur ; ce qui déçoit ce sont les dialogues insipides et le manque de chaleur et de relief des personnages, seul celui joué par François Damiens montre vie et quelque intérêt.
Léa écrit un roman. Marc son mari n'en a que faire, lui souhaite simplement passer avant elle, être le plus important. Karine sa meilleure amie est jalouse et son mari Francis est plutôt un homme gentil. La jalousie est au centre de cette comédie et Bérénice Bejo en est le seul intérêt. D'abord parce qu'elle n'a pas besoin d'en faire des tonnes pour jouer son personnage au contraire de Florence Foresti. Et ensuite parce que l'histoire de cette femme, qui va réussir au-delà de ses propres espérances, lui va comme un gant. Le casting masculin est dans la lignée du film.
Grotesque... de bout en bout. Des la scène d'ouverture qui dure une éternité le film est planté : 3 idiots sont rassemblés au resto et entourent une femme simple, belle et intelligente. Les couples sont dans la place : l'idiot, la jalouse limitée et son mari perché. Nous avons tenu jusqu'au bout de ce film totalement irréaliste en nous demandant : c'est quoi ce truc ? Rien n'est cohérent, juste, posé, on n'a cru en rien, même la réussite fulgurante de la jolie et brillante héroïne de ce film semble irréaliste et cliché. Bref, grotesque, vraiment et ce qui nous semble encore plus irréaliste c'est : que font ces 4 stars (et bons comédiens) dans cette galère ? Ils ont lu le scénario ??? Pour ceux qui aiment les bons films et les histoires qui tiennent la route : évitez ce Bonheur des uns... qui n'a pas fait notre bonheur, mais alors pas du tout.
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