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MediaShow
142 abonnés
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2,5
Publiée le 24 novembre 2021
Réalisé par David Bruckner, « La proie d’une ombre » est un thriller fantastico-horrifique peu convaincant, avec une seconde moitié de scénario totalement loupée et une mise en scène qui manque d’originalité. L’excellente prestation de Rebecca Hall ne sauvera pas la mise !
Mon avis complet : https://mediashowbydk.com/2021/10/01/critique-film-la-proie-dune-ombre/
David Bruckner avait signé ‘Le rituel’ voici quelques années : rien que pour ça, il méritait ma confiance pour son nouveau projet. Son premier film ne révolutionnait pas le Survival forestier ; tout bêtement, il était extrêmement soigné, bien plus que n’importe lequel de ses équivalents…et on pourra dire la même chose de ‘La proie d’une ombre’, dans la sous-catégorie “maison hantée”. Bruckner ne recourt aux jump-scares qu’avec parcimonie, à quelques rares occurrences au cours du film, et toujours à bon escient. Il préfère maintenir l’intérêt du spectateur en éveil grâce à sa construction en forme d’enquête, celle d’une jeune veuve qui s’efforce de découvrir ce que son mari lui avait caché et les raisons pour lesquelles il l’avait fait. Si l’explication finale pourrait éventuellement décevoir, il n’en reste pas moins que le scénario de ‘La proie d’une l’ombre’ reste plus solidement écrit que celui de l’écrasante majorité des films qui lui ressemblent, et que Rebecca Hall offre une prestation sans commune mesure avec ce qui est attendu d’un tel film, son interprétation émouvante des différentes étapes d’un processus de deuil faisant en fin de compte glisser l’ensemble du côté du drame domestique intime. Cette inversion des priorités est peut-être ce qui permet au résultat de briller, en tant que ‘Film dramatique avec éléments horrifiques”, là où le dernier ‘Insidious’, pourtant pas mal écrit non plus, décevait comme “Film d’épouvante avec éléments dramatiques”.
"La proie d'une ombre" Beth vient de perdre son mari de manière tragique mais très vite elle sent une présence en même temps qu'elle découvre une autre facette de son défunt mari... Bien longtemps que je n'avais pas autant sursauter pendant une séance!! J'ai l'habitude de voir des films d'horreur,d'épouvante and co mais j'avoue que je n'ai pas pu me retenir par moment et c'est tant mieux je dirais. Bon nombre de film ce contente de copier/coller ce qui fait recette sans jamais trop de surprendre et ici c'est n'est pas le cas. Déjà très vite on rentre dans le vif du sujet, pas d'attente interminable des prémices d'un éventuel effet surnaturel et c'est un plus. Mélange de thriller et de fantastique/horreur bien ficelé où Rebecca Hall (vu dans Iron man 3... ouais ben j'ai les références que j'ai hein!) en même temps qu'elle subit cette présence, cette ombre , fait des recherches sur la double vie de son mari. Et cela stress pas mal quand elle rêve (ou pas d'ailleurs) en subissant des événements passé . Cela passe de l'un à l'autre sans interféré et justement en donnant plus de grain à moudre si je puis dire. On ce demande s'il n'y a pas des complices dans son entourage (amie? Voisin? ex?) et surtout si cette ombre est amicale ou non. On se demande d'où provienne ces visions qu'elle a...si elle ne le rêve pas tout simplement. S'il fallait un léger bémol c'est comme souvent pourquoi elle ne va pas dire ce qu'elle a vu et qui est tangible a son amie ou au flic mais bon il faut bien pour mettre une tension qu'elle ce d'emmerde un peu (beaucoup ) toute seule sinon ce n'est pas drôle!^^ Et j'aurais aimé qu'elle fasse la nique aux trucs bidule bien comme il faut histoire de le/la calmer!!! Mais c'est rien du tout car ce fut un film bien foutu, haletant et on s'ennuie pas ! NOTE : 8.5/10
Déchirée par la mort brutale de son mari, Beth se retrouve seule dans la maison au bord du lac qu’il avait construite pour elle. Elle s’efforce de faire face, mais d’inexplicables cauchemars font leur apparition. Dans de troublantes visions, une présence insaisissable semble l’appeler... C’est une réalisation de David Bruckner qui avait fait le très bon Rituel sur Netflix. Le scénario a été écrit par Ben Collins et Luke Piotrowski. La Proie d'une ombre a fait partie de la sélection du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2021.
J’ai bien aimé ce film horrifique.
J’ai été séduit par les moments horrifiques qui sont géniaux. On va être plongé dans la tête de Beth. Cette dernière a perdu son mari, et le soir, elle a l’impression qu’il veut lui parler. Va s’ensuivre des passages pleins de tension où on ne sait pas si elle est éveillée ou bien dans un rêve paraissant vrai. Une chose est sûre, sa frayeur existe. Je dois avouer que ces moments m’ont fait un peu sursauter, ce qui est rare au cinéma. En effet, le réalisateur joue sur les musiques fortes, et une ambiance obscure. Le film pousse Beth à bout, et par la même occasion le spectateur.
Alors que j’ai trouvé les phases frayeurs géniales, l’histoire m’a moins emballée. Elle va être un peu confuse par moments. J’avoue que certaines pistes sont ingénieuses, mais mal exploité par la suite. Je développerais sa dans le dernier paragraphe car il faudra spoil. Juste pour vous dire qu’il y a une tentative de mélange des genres mal équilibré. La Proie d’une ombre avait un axe intéressant mais à vouloir trop en faire, s’est jeté dans le mur.
Il est agréable en tête d’affiche d’avoir une actrice avec le talent de Rebecca Hall. En effet, dans ce genre de film habituellement, le casting ne casse jamais trois pâtes à un canard, et c’est un handicap. La Britannique arrive à bien faire passer les émotions de son personnage. Tout va reposer sur elle car le casting secondaire, bien que pas mauvais, n’a pas grande importance finalement.
Attention, le spoil commence. Parlons donc de ce fameux retournement final totalement raté. Pendant une bonne partie de La Proie d'une ombre, on pensait que c’est son mari qui revenait hanter ses rêves. Cela va pousser Beth à enquêter sur les agissements de celui-ci. Elle va découvrir qu’en réalité il tuait des femmes. À ce moment-là l’effet est des meilleurs. On devine qu’il s’est donné la mort pour arrêter mais qu’il aime trop sa femme pour s’en aller totalement. Cependant, on apprend que c’était un esprit maléfique qui suit Beth depuis qu’elle était morte pendant quelques minutes durant son adolescence. Une explication totalement tirée par les cheveux qui casse toute la construction du film. Cela fait que la fin est pénible à voir. Dommage car ça m’a gâché un peu le visionnage.
Comment faire le deuil de l'homme de sa vie? Connait-on vraiment les gens qu'on aime? Puisque son mari est enterré et qu'elle vit désormais seule qui peut donc bien souffler sur la nuque de cette femme le soir venu? Est-ce qu'une jeune veuve doit continuer à vivre dans une grande maison en bois isolée dans une forêt près d'un lac? Et bien non....mais si elle avait déménagé pour aller en ville il n'y aurait pas eu de film...et çà n'aurait pas été plus mal.
Voilà encore un film gâché par son réalisateur qui veut absolument qu on se souvienne de lui et de sa façon de filmer . Cet égo commence sérieusement à m énerver. C est comme au théâtre il faut voir le metteur en scène à tous prix . Un film c est un tout mais c est surtout un scénario qui ici n était pas si mal mais noyé dans un stylisme qui rallonge le temps et laisse peu de place aux acteurs. Même les dernières 20 minutes sont foutus en l air par ce faux esthétisme qui ne sert à rien .
Un petit 4 pour remonter la note que je trouve vraiment basse par rapport au film que j'ai trouvé vraiment pas mal. Thriller un peu surnaturel, parfois horreur mais pas trop, et Rebecca Hall toujours au top
The Night House n’est jamais aussi fort que lorsque les indices et les fausses pistes dessinent, par l’intermédiaire de cette « maison de nuit » à la fois cabane dans les bois où s’adonner à ses pulsions et demeure inversée dans laquelle sont cristallisés les non-dits, un centre vide autour duquel gravite Beth. Le somnambulisme, la dépression, le traumatisme du deuil, le recours à l’occulte pour conjurer un mauvais sort, la lutte contre un choc bien plus profond, antérieur en somme : le film déplie ces trajectoires possibles tel un origami, à l’image de la construction par pliage de niveaux et de réalités que dessinait Owen dans son cahier. Et l’horreur, quand elle intervient et s’exprime à l’écran, reste subordonnée à l’architecture, comme une émanation même de cette maison hantée par l’ombre, comprenons par le fantôme du mari défunt.
Nous regretterons alors que The Night House finisse par céder à la tentation d’une explication métaphysique, à mi-chemin entre le paranormal et le psychologique, lors d’un dernier acte proche du Grand-Guignol ; de même, certains tics de mise en scène contraignent le film à une recherche de l’étrangeté qui paraît forcée et qui enferme Rebecca Hall dans un rôle unilatéral – alors que l’actrice s’avère des plus talentueuses. Les répétitions et les longueurs achèvent de faire du long métrage de David Bruckner une curiosité dotée de belles idées scénaristiques et esthétiques, mais qui ne témoigne ni d’une vision d’auteur ni d’une rigueur symbolique conjurant les sursauts faciles de l’épouvante à la mode aujourd’hui pour s’aventurer dans le « rien ».
La proie d'une ombre oscille entre le thriller et le surnaturel. Dans une grande maison près d'un lac entouré de forêts, Beth est emplie de douleurs du fait du suicide de son mari et vit un deuil difficile. C'est alors que des bruits étranges mêlés à des découverte sur la vie de son mari, Owen, vont l'amener à douter de l'amour qu'il lui portait. L'aimait-il ? Pourquoi s'est-il suicidé ? Qu'il y a t-il de l'autre côté du rivage ? Ces questions pragmatiques trouveront-elles leurs réponses dans le surnaturel ? Voici donc la base de ce film qui tangue entre la psychologie et la paranoïa, est-ce réel ? Ces deux aspects sont traités avec une réalisation intelligente toute en finesse, en suggestion. L'atmosphère pesante et le suspense transparaissent grâce à l'équilibre entre l'écriture et les images. Le réalisateur a fait le choix d'éviter au maximum les effets spéciaux grandiloquents pour privilégier le travail sur les bruitagesDe plus la réalisation de plans serrés autour de Rebecca Hall permet de mettre en valeur son jeu d'actrice tout en profondeur, en subtilité et en intensité : magistrale. Le film est en parfaite adéquation avec un scénario construit en couche qui se déroule tout doucement au fil des lieux et du temps. Le rythme est assuré par les scènes mettant en avant le surnaturel et dont l'intensité monte petit à petit. Les éléments du surnaturel et ceux du thriller se superposent feuille par feuille sans que l'un ou l'autre ne prenne le dessus. Malgré que l'on reste sur notre faim, à cause d'un final un peu trop brusque, ce long métrage bénéficie d'un équilibre, d'une sensibilité et d'une atmosphère très atypique peu exploité au cinéma. Une réussite.
Suite au suicide de son mari une femme semble entendre un appel de l au-delà ... on navigue entre existe t il ou pas cet au-delà ... je ne spoilerai pas ... c est assez bien réalisé pour poursuivre jusqu'à la fin
C'est un film assez captivant, car le scénario est solide, nous sommes embarqués dans cette recherche de vérité par une actrice convaincante. Seul bémol le film est classé comme un film d'horreur alors qu'on frissonne peu, c'est plus psychologique.
Un film d'épouvante avec scénario pauvre qui part dans tous les sens : maison hanté, serial killer,deuil, somnambulisme/cauchemar. Beaucoup de mal a entrer dans l’histoire. Bref à oublier...
Un thriller horrifique (ce qui déjà ne veut pas dire grand chose), ou le déjà vu, la lenteur sont de mise. L'actrice principale joue très mal (à part haleter et montrer sa mâchoire chevaline) le film est vide, creux et pour le côté effrayant, laissez moi rire, plutôt à la limite du ridicule !! Ne perdez pas votre temps et regardez un bon vieux nanar d'horreur, au moins vous passerez un bon moment.
c est long c est lent.au début on pense que c'est pour servir l histoire.puis c est encore lent c est encore long et on décroche.dommage car l histoire aurait pu captiver.mais non vraiment pas.rebeca hall scen sort pourtant bien.j arrête là pour ne pas être comme le film : trop long trop lent!!!!!