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    La Proie d'une ombre
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    89 critiques spectateurs

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    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 septembre 2021
    Nul besoin de s’y connaître en maléfice pour se rendre compte que le deuil lui-même est un dédale sans fin et dont les ramifications repoussent les frontières de la délivrance. David Bruckner revient ainsi après son « Rituel », qui aura piégé des randonneurs entre deux branches, dans un cadre plus simpliste, pour ne pas dire sobre. C’est un festival de mise en scène et de perspective qui se dessine, au cœur d’un logement qui a tout pour satisfaire les amateurs de maisons hantés. Et quand bien même cela constitue davantage une toile de fond, le réalisateur embrasse pleinement les phénomènes paranormaux, afin de se pencher sur la chute libre de son héroïne. L’effroi sera la principale menace pour elle, comme pour le spectateur, qui ne devrait pas en sortir indemne, malgré quelques faiblesses évidentes.

    Rebecca Hall, que l’on savait déjà à l’aise dans ce registre décontenancé (La Maison des Ombres, The Gift), campe une Beth au bord de l’implosion et d’une rupture qui rime avec la disparition de son mari. Ce qui suit pourrait aisément sombrer dans une fantaisie vue et revue, mais on saura trouver un peu de retenue. En se détachant un peu de l’image de la final girl ou de la énième victime d’un harcèlement psychologique, elle déjoue certains principes où la raison s’accorde avec les gestes les plus simples. Pourtant, la fuite n’est pas une option pour cette enseignante brisée, mais qui éveillera son instinct investigateur pour arrondir les angles. L’ambiguïté est sans doute le fardeau qui la tourmente. Et ce ne sera pas à l’aide de souvenirs qu’on justifiera la quintessence de cette tragédie. Du jump scare efficace à l’économie les effets visuels, l’ambiance sera au diapason avec une étonnante communion, entre le désespoir et le désir.

    Ce ne sont pas simplement les murs et les décors qui hantent Beth. Elle apporte également son lot de spectres et de suspicion, jusqu’à en repousser ses amis et ses voisins. Elle marche seule dans les ténèbres, à l’aide d’une bouteille qui lui aide à vider son chagrin. Et de cette peine naissant des secrets et autres révélations malicieuses, comme une part d’ombre qui la guette au quotidien. Doit-on y voir quelque chose de malveillant ? Est-ce simplement un constat d’introspection ? La machinerie prend place et parsème ce genre de question sans réponse, bien que l’on souhaite inévitablement conclure sur une note explicative, convenue et peu ambitieuse. La formule nous saisit à la gorge dans ces instants où l’on se refuse de donner un sens à tout ce qu’elle touche. Si ce n’est pas dans la vérité que l’on sortira victorieux, autant emprunter cette route sauvage et cauchemardesque, qui nous rappelle qu’il y a sans doute autre chose que l’on redoute de l’autre côté du miroir.

    « La Proie d’une ombre » (The Night House) ne cesse de référencer sa démarche, au détour des « Innocents », « Le Tour d’Écrou », « Shining », « Mister Babadook » et « Invisible Man » pour ne citer qu’eux. Cependant, c’est avec une écriture intéressante que Bruckner paralyse son héroïne, dans le revers d’un mariage qui reflète sa fragilité dans cette même structure et architecture des lieux. Il ne s’agit plus de quitter la maison au plus vite, mais d’y régner le plus longtemps possible, jusqu’à ce qu’un sous-entendu échec ne devienne qu’un rêve dont il faut se réveiller.
    Audrey L
    Audrey L

    638 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2021
    Festival de Deauville, séance de minuit. On vous avoue de suite qu'on a bondi de notre fauteuil (étant le meilleur public au monde pour cela) facilement trois ou quatre fois. Pour au final avoir un désaccord monumental sur l'explication du film dans notre groupe. Nous avons donc une première version totalement fantastique ( spoiler: à la Amityville : il y avait bien un esprit maléfique dans la maison, qui a poussé le mari à tuer et a voulu s'emparer de la femme
    ), et version 2 totalement pragmatique ( spoiler: la femme n'arrive pas à faire le deuil de son mari, surtout depuis qu'elle découvre sa double-vie terrifiante, et s'invente un délire de persécution, se blesse elle-même...
    ). Le film laissant la porte ouverte à toute interprétation, vous n'aurez pas tort de pencher pour l'une ou l'autre des deux fins (ou pour une autre encore), même si de notre côté, on préfère la version fantastique. Rebecca Hall est inspirée dans le rôle de la jeune femme qui se retrouve sans arrêt seule dans le noir et dans le silence le plus complet, durant de longues minutes où l'on n'attend seulement le gros coup de trompette pour nous faire bondir, soit le cliché du genre horrifique actuel, dont on sature carrément. Vraiment dommage que le ressort terrifique s'abaisse à ce genre de facilité, quand La Proie d'une ombre se prenait si bien la tête pour nous offrir un scénario étoffé et intéressant. Un déséquilibre qui nous paraît d'autant plus dommage que le scénariste et l'actrice ne sont pas les seuls à avoir contribué à nous faire passer un assez bon moment, à ces derniers on peut rajouter les chefs décorateurs qui nous ont offerts deux versions des maisons très belles (l'une parfaite pour les apparitions, l'autre - plus lugubre - qui fait peur sans avoir besoin d'apparitions). Chacun pourra comprendre sa fin, le scénario étant doté d'atouts narratifs à double-sens, qui malheureusement perdent de leur crédibilité avec les éternels coupures de son et coup de klaxon (pas finaud...) pour s'assurer de faire sursauter son spectateur.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    288 abonnés 3 115 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 novembre 2021
    Ce film est un navet fini ! Le synopsis donnait pourtant envie, les critiques aussi mais bon sang je ne vois pas ce que les gens trouvent à ce film ! Déjà c'est lent, l'actrice ne joue pas très bien mais surtout le scénario est à hurler de rire !! La fin frise le grotesque tant ça ne tient pas debout et je suis resté bien bête devant ce pseudo thriller d'épouvante ! Un gros ratage...
    Sosa
    Sosa

    9 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 septembre 2021
    J'ai été assez surpris, il n'y a pas trop de Jumps scare procédé grotesque et visible à des kilomètres.

    L'histoire en elle même et pas mal et bien géré, l'enquête post mortem est géree par la veuve du defun.
    Un point n'a pas été mis au clair et est restée quand j'ai quitté la salle et il n'y a que deux solutions possibles à celui ci.
    Un mystère de plus, je ne comprends pas non plus comment il a pu écrire la lettre, cela manque de logique.

    La fin ne me convient pas vraiment, si il y a une fin alternative je veux la voir.
    dagrey1
    dagrey1

    97 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 septembre 2021
    Déchirée par la mort brutale de son mari, Beth se retrouve seule dans la maison au bord du lac qu'il avait construite pour elle. Elle s'efforce de faire face, mais d'inexplicables cauchemars font leur apparition. Dans de troublantes visions, une présence insaisissable semble l'appeler.

    La proie d'un ombre est un film horrifique de David Bruckner de 2021.
    Le film a été présenté au festival de Deauville.

    Le film mélange l'introspection de son personnage principal, Beth (Rebecca Hall), au surnaturel et à la thématique du deuil, une épreuve que tout à chacun est contraint d'affronter dans la vie et dont on ne ressort pas toujours indemne.

    spoiler: Beth vient de perdre son mari, Owen, qui s'est suicidé. Le deuil ajouté au suicide est une épreuve pour Beth qui cherche à comprendre pourquoi son mari s'est précipité sans prévenir dans les bras de de la grande faucheuse. Ses recherches vont la conduire à réviser son jugement sur Owen qui n'était pas tout à fait l'homme qu'elle imaginait: passionné d'occultisme, double vie, meurtres de femmes, maison clandestine à proximité... Plus elle découvre des éléments perturbants comme cette étrange poupée féminine criblée de pics la renvoyant à différentes mythologies, moins elle a envie de s'en ouvrir aux autres.


    Il est vrai que dans la vie, les épreuves et les déceptions isolent, comme si l'infortune pouvait être contagieuse. Perdue dans son introspection, observée par une ombre menaçante qui finira par se manifester, Beth, noyée dans ses obsessions, est en train de perdre la tête... Apparemment son mari voyait d'autres femmes, il en aurait même assassiné certaines.

    Je n'ai pas vraiment accroché à ce film angoissant, polarisé sur son actrice principale. Personnellement, je ne suis déjà pas trop fan de Rebecca Hall, qu'on voit presque exclusivement à l'écran. Reconnaissons cependant que l'actrice se dépense sans compter. Malheureusement, son anxiété, son enquête et les révélations sur lesquelles elle débouche ne m'ont pas vraiment remué, je ne suis pas parvenu à entrer en empathie avec ce personnage tourmenté. C'est tout le problème des films d'atmosphère dans lesquels il ne se passe pas grand chose. On finit par ne plus discerner ce qui ressort de la psyché du personnage de ce qui est réel....et c'est frustrant. Tout cela finit par créer une certaine confusion que je trouve préjudiciable au film.

    Ne faisant pas partie des spectateurs fascinés par les méandres de la pensée, je me suis finalement un peu ennuyé devant La proie d'une ombre et son héroine qui s'enfonce lentement mais surement dans la folie.
    Reconnaissons au passage que David Bruckner ne cède jamais aux facilités que l'on retrouve dans de nombreux films horrifiques contemporains (Jumpscares...), il utilise même plutôt bien la géographie intérieure de la maison pour rendre son intrus inquiétant.
    Shawn777
    Shawn777

    586 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mars 2023
    Ce film, réalisé par David Bruckner et sorti en 2021, n'est franchement pas terrible. Après le suicide de son mari, Beth a d'étranges visions et découvre les secrets de son défunt mari. Si le film prend parfois des allures de folk horror, ce que semble en tout cas présager l'enquête que mène Beth, il se perd très rapidement dans les clichés du genre. Ce qui est très dommage puisque nous sommes pourtant parfois dans du elevated horror assez malin et avec une histoire relativement prenante. Si le film est plutôt long à se lancer, on se prend ensuite très vite au jeu lorsque Beth découvre les photos dans le téléphone de son mari, photos pour le moins intrigantes. Mais je trouve que le film perd énormément en vitesse lorsqu'il met en scène toutes les visions de Beth. Là, on tombe en effet dans du déjà-vu et, même si quelques effets sont sympas, notamment au niveau de la mise en scène, rien n'arrive réellement à surprendre le spectateur. Ces visions ont de plus pour effet de faire perdre énormément de rythme à l'ensemble, coupant ainsi plusieurs fois l'enquête, ce qui est bien dommage ! Au final, on ressort du film avec l'impression d'avoir vu quelque-chose bourré d'idées mais mal organisées, le film donnant cette impression de lancer plusieurs pistes sans vraiment aller jusqu'au bout. Le film n'est, de plus, jamais réellement effrayant car il use encore une fois des clichés du genre. Et le réalisateur a beau faire une mise en scène aussi soignée et léchée que possible, les jump-scares restent malgré tout prévisibles. Concernant le casting, on retiendra surtout le jeu de Rebecca Hall qui est très convaincante dans son personnage ! "La Proie d'une ombre" est donc un film qui avait un certain potentiel, notamment s'il avait avait exploité à fond sa fibre folk horror, mais se noie malheureusement dans les clichés du genre.
    Tinettep26
    Tinettep26

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 septembre 2021
    Un film d'horreur trop bidon 👎👎👎 je n'aime pas les films imaginaire , les BON films d'horreur 😨😨 il faut que ça soit des histoires vraies ET Il faut avoir PEUR 😱😱😱😱 dans FILM D'HORREUR 👍👍😉
    Pascal I
    Pascal I

    758 abonnés 4 121 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mars 2022
    Une belle surprise que ce thriller qui vacille en permanence entre 2 mondes, ponctué par quelques tension et un mystère planant tout le long. Bonne interprétations de plus. 3.5/5 ! A découvrir.
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    201 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2021
    Pur film de mise en scène, "La Proie d'une ombre" joue efficacement sur la vacuité des espaces et nous astreint à en scruter le moindre recoin pour que, tout comme la protagoniste, on en voie surgir la sourde menace. La conclusion du film, hâtive en matière de psychologie et de caractérisation des personnages, nous laisse cependant dubitatif, mais rien qui n'entache les efforts déployés par le réalisateur. Pour amateurs de plaisirs coupables et pour Rebecca HALL, qui assure dans le rôle de femme oppressé et endeuillée.
    Last Action Zero
    Last Action Zero

    71 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    D'un coté, un slow burn entendu, minimaliste et oppressant, d'une énième variation classique d'un thème rebattu de l'épouvante cinématographique. Des fantômes, un deuil et une baraque isolée. D'un autre, c'est propre, beau, prenant, élégant, sensible et parfaitement maitrisé. Et Rebecca Hall en gros plan est réellement captivante. Une toute petite série B classique d'auteur appliqué, qui rappelle sobrement tout plein de truc de ces 20 dernières années, s'amusant à en détourner malicieusement les codes et les stéréotypes balisés, pour mieux nous surprendre avec un suspens de thriller plus que d'épouvante. Une œuvre d'exploitation brumeuse, étrange et envoutante, qui se cache sous une fausse banalité de routine, et qui a sa propre patte et son petit caractère, sachant distiller jusqu'à la fin un mystère à minima intrigant, qui vous fera douter constamment de toutes vos théories, en ne cessant de vous lancer sur des fausses pistes. Bref, un vrai bon moment aux standards élevés. Même si au final, c'est pas fou fou et déjà vu. La mise en scène de la demi-mesure fait tout le sel du film. Et si la subtilité, l'intimité, la lenteur et la narration d'un certain cinéma d'horreur des années 70 ne sont pas votre à gout, vous pouvez éviter.
    vero1607
    vero1607

    8 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 septembre 2021
    Un début lent et une fin inexpliquée.... je n ai pas accroché à ce suspense.... entre l ombre de son mari ou des hallucinations de sa femme....
    FuraxFakir
    FuraxFakir

    2 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 janvier 2022
    Vu au ciné, wow! C'est pas horrifique au sens strict du terme mais l'ambiance rend le souffle court. spoiler: Une fin métaphysique
    et une Rebecca hall parfaite dans son habituelle nonchalance mâtinée de sérieux. Un film à la fois classique et unique!
    Eve I
    Eve I

    9 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 septembre 2021
    je n'ai pas aimé. c'est très mou. on devine la fin. manque de suspens. bref passez votre chemin.
    FaRem
    FaRem

    8 657 abonnés 9 533 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2021
    Troisième long-métrage pour David Bruckner et le deuxième en solo après "The Ritual". Pas d'escapade entre amis qui tourne mal cette fois-ci, mais à nouveau un drame à l'origine de l'histoire avec ici le difficile deuil de Beth, une femme dont le mari vient de se suicider sans qu'elle sache pourquoi. Une note mystérieuse et des questions sans réponses la poussent à chercher des réponses pour comprendre pourquoi il a commis un tel acte. J'adore les films d'horreur qui mélangent les genres et j'adore ceux qui jouent sur plusieurs tableaux avec une double lecture et c'est exactement ce que propose ce "The Night House". C'est un film qui est réussi, peu importe l'angle sous lequel on le regarde et peu importe le registre en question. C'est un très bon drame sur le processus de deuil et c'est également un film d'horreur particulièrement efficace avec une excellente ambiance et une tension constante. La réalisation de David Bruckner est formidable avec un vrai souci du détail et de nombreux détails en trompe-l'œil avec le réalisateur qui joue pas mal sur l'architecture de la maison pour en faire un personnage à part entière. Le concept de base aurait pu donner quelque chose de simpliste ou prévisible seulement, le scénario de Ben Collins et de Luke Piotrowski, à qui l'on doit notamment le bon "Super Dark Times", est parfaitement maitrisé et ficelé même s'ils semblent hésiter sur la manière dont ils veulent conclure leur histoire, ce qui donne un dernier acte un peu moins fort que le reste, mais qui n'enlève rien à la qualité du film. Bref, un très bon film qui est captivant et haletant jusqu'au bout avec une excellente Rebecca Hall.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 220 abonnés 7 513 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2021
    La mort brutale de son mari vient brusquer la quiétude de Beth. Seule, dans leur maison au bord d’un lac, elle va commencer à faire d’inexplicables cauchemars et être confrontée à d’étranges visions…

    La Proie d'une ombre (2021) est l’exemple typique du petit film d’épouvante/horreur que l’on oubliera sans grande difficulté aussitôt vu, tant ce dernier n’apporte rien de nouveau au genre. Réalisé par David Bruckner, si son nom ne vous dit rien, on lui doit deux segments pour les films à sketchs, le premier dans V/H/S (2012) et le second dans 666 Road (2015). Ici, il s’agit d’une production Disney (produit par la Fox, elle-même rachetée par la firme aux grandes oreilles), qui plus est, interdite aux moins de 12ans, autant vous dire que l’on n’attendait rien de sa part.

    Il y est question de mort, de deuil et de reconstruction de soi, une histoire mêlant visions fantomatiques et hallucinations, bref rien de bien nouveau pour un thème déjà vu et revu maintes fois au cinéma. Au final, il n’y a que la présence de Rebecca Hall et de la française Stacy Martin qui parviennent à nous maintenir éveillé, en effet, il ne faudra pas compter sur les quelques jump scares pour nous tenir en haleine face à une intrigue assez mollassonne et bien trop bavarde.

    Impossible de ne pas repenser à Invisible Man (2020) de Leigh Whannell avec Elisabeth Moss,
    Ce qui aurait pu être un séduisant thriller psychologique, s’avère en fin de compte bien trop sage et bêtement tiré par les cheveux en termes de narration.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
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