Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Mad Movies
par Laurent Duroche
Un film hanté par la grâce et la douleur, distillant une peur aussi intellectualisée qu'intime, porté par une mise en scène d'une rare intelligence.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Un bel exercice de style atmosphérique au service d'une histoire de fantôme à la lisière du macabre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Nathanaël Bentura
Le long-métrage réserve son lot de frissons et quelques scènes de terreur mais la peur finit par s'atténuer à mesure que les mystères se lèvent.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Efficace film de deuil et de fantôme, imprégné de paranoïa #MeToo, ce thriller élégant, qui reconduit les codes du roman gothique dans un décor Maisons du Monde, est gâché par le dernier quart d’heure grand-guignolesque mais porté par le jeu nuancé de Rebecca Hall.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Une descente aux enfers très bien décrite, de même que l’enquête de l’héroïne pour découvrir la vérité. Dommage que le dénouement ne soit pas à la hauteur des attentes. Le réalisateur, David Bruckner, concluant en effet d’une manière bizarre et expédiée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Tout en retenue, le film prend son temps, digresse même et opère une lente progression, du drame intimiste vers l’horreur, avec une économie de moyen et une capacité de suggestion remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Tout ce qui se déroule devant la maison, de l’auvent et la façade jusqu’au ponton sur l’étang, est admirablement découpé, «météorologisé», la pluie, le froid, les crépuscules, l’obscurité, jusqu’aux visions denses aux points d’observation par les fenêtres.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par William Le Personnic
Ce film de maison hantée sur le cauchemar domestique, au travail astucieux sur l’architecture et les décors, s’avère plus proche d’un Hantise nimbé par un fantastique gothique que ses variations contemporaines éculées et interchangeables (type production Blumhouse).
Télérama
par Cécile Mury
Difficile d’en dire plus sans gâcher le plaisir d’un thriller fantastique plutôt habile, qui use de toutes les ficelles du genre — les sons, les espaces vides, les miroirs — avec un petit supplément d’invention. Quant à l’excellente Rebecca Hall, elle se laisse hanter avec brio.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Constantin Lacombe
Malgré son ambiance, ce drame horrifique ne convainc jamais vraiment.
Le Monde
par Jean-François Rauger
La Proie d'une ombre adopte la rhétorique, un peu usée, du film d'horreur, parfois efficacement, et la mêle à une réflexion sur le deuil et l'incompréhension face à la tragédie.
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
La mise en scène habile et l’interprétation de Rebecca Hall ne suffisent pas à renouveler le genre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Pauvre Rebecca Hall. On ne sait s'il faut la plaindre parce que son mari s'est tiré une balle dans la tête ou parce qu'elle se retrouve à l'affiche de ce nanar.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Sylvestre Picard
(...) on n'est pas dans une folk horror avec rituels païens, mais dans une exploration de secrets de couple languissants dans de belles villas avec quelques jump scares pour la route. Pas grand-chose, donc.
La critique complète est disponible sur le site Première
Mad Movies
Un film hanté par la grâce et la douleur, distillant une peur aussi intellectualisée qu'intime, porté par une mise en scène d'une rare intelligence.
Ecran Large
Un bel exercice de style atmosphérique au service d'une histoire de fantôme à la lisière du macabre.
L'Ecran Fantastique
Le long-métrage réserve son lot de frissons et quelques scènes de terreur mais la peur finit par s'atténuer à mesure que les mystères se lèvent.
L'Obs
Efficace film de deuil et de fantôme, imprégné de paranoïa #MeToo, ce thriller élégant, qui reconduit les codes du roman gothique dans un décor Maisons du Monde, est gâché par le dernier quart d’heure grand-guignolesque mais porté par le jeu nuancé de Rebecca Hall.
Le Parisien
Une descente aux enfers très bien décrite, de même que l’enquête de l’héroïne pour découvrir la vérité. Dommage que le dénouement ne soit pas à la hauteur des attentes. Le réalisateur, David Bruckner, concluant en effet d’une manière bizarre et expédiée.
Les Inrockuptibles
Tout en retenue, le film prend son temps, digresse même et opère une lente progression, du drame intimiste vers l’horreur, avec une économie de moyen et une capacité de suggestion remarquable.
Libération
Tout ce qui se déroule devant la maison, de l’auvent et la façade jusqu’au ponton sur l’étang, est admirablement découpé, «météorologisé», la pluie, le froid, les crépuscules, l’obscurité, jusqu’aux visions denses aux points d’observation par les fenêtres.
Positif
Ce film de maison hantée sur le cauchemar domestique, au travail astucieux sur l’architecture et les décors, s’avère plus proche d’un Hantise nimbé par un fantastique gothique que ses variations contemporaines éculées et interchangeables (type production Blumhouse).
Télérama
Difficile d’en dire plus sans gâcher le plaisir d’un thriller fantastique plutôt habile, qui use de toutes les ficelles du genre — les sons, les espaces vides, les miroirs — avec un petit supplément d’invention. Quant à l’excellente Rebecca Hall, elle se laisse hanter avec brio.
CinemaTeaser
Malgré son ambiance, ce drame horrifique ne convainc jamais vraiment.
Le Monde
La Proie d'une ombre adopte la rhétorique, un peu usée, du film d'horreur, parfois efficacement, et la mêle à une réflexion sur le deuil et l'incompréhension face à la tragédie.
aVoir-aLire.com
La mise en scène habile et l’interprétation de Rebecca Hall ne suffisent pas à renouveler le genre.
Le Figaro
Pauvre Rebecca Hall. On ne sait s'il faut la plaindre parce que son mari s'est tiré une balle dans la tête ou parce qu'elle se retrouve à l'affiche de ce nanar.
Première
(...) on n'est pas dans une folk horror avec rituels païens, mais dans une exploration de secrets de couple languissants dans de belles villas avec quelques jump scares pour la route. Pas grand-chose, donc.