Après "Merci Patron", F. Ruffin nous présente "Merci Macron":
"Je traverse la rue, je vous en trouve !", "Gaulois réfractaires au changement", "On met un pognon de dingue dans les minimas sociaux et les gens sont quand même pauvres", "Je ne céderai rien ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes", "Certains, au lieu de foutre le bordel, feraient mieux d'aller regarder s'ils ne peuvent pas avoir des postes", "Une gare, c'est un lieu où on croise les gens qui réussissent et ceux qui ne sont rien", "Vous n'allez pas me faire peur avec votre T-shirt : la meilleure façon de se payer un costard, c'est de travailler", "il explique que les femmes salariées de chez Gad sont "pour beaucoup, illettrées", "Le kwassa-kwassa pêche peu, il amène du Comorien", "Le jour où tu veux faire la révolution, tu apprends d’abord à avoir un diplôme et à te nourrir toi-même", "Le seul responsable de cette affaire, c’est moi. S’ils veulent un responsable, il est devant vous. Venez me chercher." etc...
"J'veux du soleil" est un témoignage éclairant et poignant d'une frange de la population française habituellement silencieuse et honteuse qui décide de s'élever et sortir de son isolement plombant et mortifère.
Une frange d'individus broyés qui amène tous les français à se questionner sur leur place dans un système qui enrichit les plus aisés et appauvrit les plus fragilisés, qui détruit le lien social et arrache la dignité.
Un film qui montre le soulèvement, la détermination de celles & ceux qui n'ont plus rien à perdre, qui ont décidé de s'accrocher à l'espoir et à leurs rêves pour changer leur condition et nous montrent comment reprendre part à la citoyenneté.
Un témoignage du changement qui est en marche !