Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Quentin Papapietro
Cette lutte aura enfin trouvé une représentation digne (quoique forcément partielle) dans la première œuvre qui lui aura été consacrée au cinéma. Un lieu pour réfléchir, comme les gilets fluorescents.
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Loin des clichés officiels sur les Gilets Jaunes, "J'veux du soleil" est un formidable portrait de la France qui n'a jamais l'occasion de s'exprimer. Parasité par instants par François Ruffin lui-même, le film demeure très important dans le contexte actuel.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Dominique Widemann
Loin de toute analyse sociologique et des postures en surplomb, les deux comparses interrogent, titillent, incitent. Alors, la parole la ramène, parfois entre rires et larmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Anne Crignon
Dans "J’veux du soleil !", plein de l’esprit taquin et tendre de François Ruffin, les petits miracles se succèdent jusqu’à la séquence finale, enchanteresse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Laurent
Le film est triste parfois, mais drôle aussi, grâce à la repartie et l’imagination de ces inconnus.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Mais "J’veux du soleil" porte une indignation sincère, et une solidarité salutaire.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Point
par Clément Pétreault
Le député, fondateur du journal Fakir, que certains présentent comme le Michael Moore français, pâtit des mêmes défauts que le documentariste américain, à savoir une fascination pour la souffrance, abordée comme un phénomène aux causes exclusivement sociales. Malgré – à moins que ce ne soit grâce à – un montage manichéen, le film fonctionne.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Un documentaire sensible et coloré sur les Gilets Jaunes, débordant d’humanité et qui, malgré des témoignages exprimant une détresse sociale, donne chaud au cœur par ce qu’il montre : la dignité retrouvée de gens qui cessent de courber la tête.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Il faut donc souligner le courage et l'intelligence du regard de ce premier film de cinéma sur le mouvement des Gilets jaunes qui ne cherche pas à englober toute la complexité de la mobilisation (le film dure 1h10), mais à la restituer à sa manière, de façon inédite et dans un temps présent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Faites ce que vous voulez mais voyez ce film : il ne suffit pas, il y en aura d’autres, une armée de tortues qui continueront après lui à semer tous les Achille aux talons du pouvoir, mais il a le mérite de nous faire gagner un peu de temps.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jérémie Couston
Narré avec la même joie communicative que "Merci patron !", ce film politique n’est jamais tire-larmes. Si bien des témoignages serrent le cœur, c’est avec l’espoir de nous galvaniser.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Blaise Royer
Un road movie politique, sincère et engagé, qui, malgré les partis pris des deux cinéastes, regarde les militants sur les ronds-points avec douceur et émotion.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Promenade autour des ronds-points, pour des portraits d’hommes et de femmes en lutte après trop de lendemains qui déchantent...
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Le rond-point apparaît de façon paradoxale, dans cet instant suspendu que les réalisateurs ont manifestement voulu saisir sur le vif, comme l’espace même de la démocratie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"J'veux du soleil" est la prise de température de la société française à un instant T, pas une analyse. Ce témoignage des gilets jaunes, cette prise direct du temps, se bonifiera avec les années, mais restera un parti pris, un point de vue.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Clarisse Fabre
Derrière sa bonhomie, le film laisse perplexe. Le problème réside dans l’utilisation des images, et leur traitement au chausse-pied.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Pas de démonstration choc ici, mais une succession de témoignages pour dire l’enfer de la précarité et la nécessité du retour du dialogue et de la solidarité.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Culturopoing.com
par Antoine Heraly
Hélas, avec ce road-movie justicier qui se veut tourné vers l’amour du prochain et la beauté des “vraies gens”, François Ruffin et Gilles Perret ratent à la fois le pari de la discrétion et l’aboutissement d’un objet documentaire qui aurait pu porter en soi le goût d’une révolution.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film en forme de road-movie contestataire, aussi éclairant et qu’émouvant dans son contenu que subjectif et passablement discutable dans sa forme, qui confond allègrement et sciemment documentaire et stratégie militante.
Positif
par Baptiste Roux
On reste de fait sceptique devant la finalité de l’objet, qui certes propose des portraits sensibles de femmes et d’hommes à la belle dignité combative, mais ne dépasse jamais le stade de la captation – voire s’enlise dans le pathos et la littéralité avec les dernières images de la grisaille du Midi, brusquement ensoleillée par les paroles du titre d’Au p’tit bonheur.
Première
par Thomas Baurez
Ce film à la valeur cinématographique très relative a été fait, on l’imagine, dans l’urgence et donne l’impression d’accumuler les séquences plutôt que de réfléchir à une vraie logique dramatique ou narrative.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Christophe Carrière
Pas de nuance, pas de recul et surtout pas de contradicteurs. Juste un étalage de démagogie primaire qui ne prêchera que des convaincus et n'apprendra rien aux autres qui, pour le coup, seront mieux renseignés à travers n'importe quel reportage ou débat télé.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Finalement, personne n'est gagnant. Ni les gilets jaunes dont le film ne parvient ni à dialectiser ni à catalyser la parole. Ni les spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Cahiers du Cinéma
Cette lutte aura enfin trouvé une représentation digne (quoique forcément partielle) dans la première œuvre qui lui aura été consacrée au cinéma. Un lieu pour réfléchir, comme les gilets fluorescents.
Ecran Large
Loin des clichés officiels sur les Gilets Jaunes, "J'veux du soleil" est un formidable portrait de la France qui n'a jamais l'occasion de s'exprimer. Parasité par instants par François Ruffin lui-même, le film demeure très important dans le contexte actuel.
L'Humanité
Loin de toute analyse sociologique et des postures en surplomb, les deux comparses interrogent, titillent, incitent. Alors, la parole la ramène, parfois entre rires et larmes.
L'Obs
Dans "J’veux du soleil !", plein de l’esprit taquin et tendre de François Ruffin, les petits miracles se succèdent jusqu’à la séquence finale, enchanteresse.
La Croix
Le film est triste parfois, mais drôle aussi, grâce à la repartie et l’imagination de ces inconnus.
La Voix du Nord
Mais "J’veux du soleil" porte une indignation sincère, et une solidarité salutaire.
Le Point
Le député, fondateur du journal Fakir, que certains présentent comme le Michael Moore français, pâtit des mêmes défauts que le documentariste américain, à savoir une fascination pour la souffrance, abordée comme un phénomène aux causes exclusivement sociales. Malgré – à moins que ce ne soit grâce à – un montage manichéen, le film fonctionne.
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire sensible et coloré sur les Gilets Jaunes, débordant d’humanité et qui, malgré des témoignages exprimant une détresse sociale, donne chaud au cœur par ce qu’il montre : la dignité retrouvée de gens qui cessent de courber la tête.
Les Inrockuptibles
Il faut donc souligner le courage et l'intelligence du regard de ce premier film de cinéma sur le mouvement des Gilets jaunes qui ne cherche pas à englober toute la complexité de la mobilisation (le film dure 1h10), mais à la restituer à sa manière, de façon inédite et dans un temps présent.
Libération
Faites ce que vous voulez mais voyez ce film : il ne suffit pas, il y en aura d’autres, une armée de tortues qui continueront après lui à semer tous les Achille aux talons du pouvoir, mais il a le mérite de nous faire gagner un peu de temps.
Télérama
Narré avec la même joie communicative que "Merci patron !", ce film politique n’est jamais tire-larmes. Si bien des témoignages serrent le cœur, c’est avec l’espoir de nous galvaniser.
aVoir-aLire.com
Un road movie politique, sincère et engagé, qui, malgré les partis pris des deux cinéastes, regarde les militants sur les ronds-points avec douceur et émotion.
Bande à part
Promenade autour des ronds-points, pour des portraits d’hommes et de femmes en lutte après trop de lendemains qui déchantent...
Critikat.com
Le rond-point apparaît de façon paradoxale, dans cet instant suspendu que les réalisateurs ont manifestement voulu saisir sur le vif, comme l’espace même de la démocratie.
Franceinfo Culture
"J'veux du soleil" est la prise de température de la société française à un instant T, pas une analyse. Ce témoignage des gilets jaunes, cette prise direct du temps, se bonifiera avec les années, mais restera un parti pris, un point de vue.
Le Monde
Derrière sa bonhomie, le film laisse perplexe. Le problème réside dans l’utilisation des images, et leur traitement au chausse-pied.
Paris Match
Pas de démonstration choc ici, mais une succession de témoignages pour dire l’enfer de la précarité et la nécessité du retour du dialogue et de la solidarité.
Culturopoing.com
Hélas, avec ce road-movie justicier qui se veut tourné vers l’amour du prochain et la beauté des “vraies gens”, François Ruffin et Gilles Perret ratent à la fois le pari de la discrétion et l’aboutissement d’un objet documentaire qui aurait pu porter en soi le goût d’une révolution.
Le Dauphiné Libéré
Un film en forme de road-movie contestataire, aussi éclairant et qu’émouvant dans son contenu que subjectif et passablement discutable dans sa forme, qui confond allègrement et sciemment documentaire et stratégie militante.
Positif
On reste de fait sceptique devant la finalité de l’objet, qui certes propose des portraits sensibles de femmes et d’hommes à la belle dignité combative, mais ne dépasse jamais le stade de la captation – voire s’enlise dans le pathos et la littéralité avec les dernières images de la grisaille du Midi, brusquement ensoleillée par les paroles du titre d’Au p’tit bonheur.
Première
Ce film à la valeur cinématographique très relative a été fait, on l’imagine, dans l’urgence et donne l’impression d’accumuler les séquences plutôt que de réfléchir à une vraie logique dramatique ou narrative.
L'Express
Pas de nuance, pas de recul et surtout pas de contradicteurs. Juste un étalage de démagogie primaire qui ne prêchera que des convaincus et n'apprendra rien aux autres qui, pour le coup, seront mieux renseignés à travers n'importe quel reportage ou débat télé.
Transfuge
Finalement, personne n'est gagnant. Ni les gilets jaunes dont le film ne parvient ni à dialectiser ni à catalyser la parole. Ni les spectateurs.