je me suis vraiment régalé ( 7 novembre 2023 ) avec ce sympathique film. j'y retrouve Colin, adoré dans Merlin, et ce jeune français vu dans Departure.
le scénario, tout simple, est drôle, des séquences - ah Utérus !!! - sont extra et leurs rencontres joliment filmées.
un regard assez féroce sur le monde artistique actuel !!!
quant à l'affre du second film.... je vous dirai cela quand j'aurai fini mon premier livre !!!!!
Un thème intéressant. Celui du cinéaste qui fait sa psychanalyse au travers de ses films. L'égo gouverne l'être. Et il ne sait pas s'il s'aime. Alors il ne sait pas non plus s'il aime vraiment les autres. C'est joli et confus peut-être parce que les sentiments le sont aussi.
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1,5
Publiée le 2 novembre 2020
Benjamin semblait assez dérivé et ce n'était pas vraiment une histoire assez forte à part entière pour se tenir debout. L'histoire est mince et ne vaut vraiment pas la peine. Encore un cliché gay sur un jeune homme incapable de s'engager. Le tout accompagné de tentatives comiques extrêmement mauvaises. Tous les personnages étaient absolument antipathiques et la mise en scène était prétentieuse. Et les acteurs n'étaient pas convaincants ils étaent complètement perdu dans ce sujet. C'est un film pour les gens qui pensent connaître l'art et en sont très arrogants mais ce n'est pas le cas pour moi. De plus je me suis senti étrangement manipulé. C'était comme écouter un homme anxieux se décharger pendant 90 minutes...
Un joli petit film sur la rencontre , la peur de s'engager . Le film narre les péripéties de cette rencontre avec humour,tendresse et poésie. Bien sûr les esprits chagrins pourront dire que tout est trop facile dans la vie des 2 protagonistes ,que le Londres décrit est idyllique. Peut être mais en ces temps anxiogène cela fait du bien. Un film frais ,drôle charmant. Les acteurs collent parfaitement à leur rôle ,une mention pour Noah(Phénix Brossard) fragile mais le plus déterminé.
un scénario confus, sur des dialogues peu inspirés et une ambiance soporifique. les personnages ne sont pas attachants, jamais l'émotion ne s'impose, l'ennui par contre gagne le spectateur!
1 couple charmant à voir, c'est sur. L'histoire elle est un peu étrange, mais finalement, elle continue à me faire de l'effet le lendemain, d'avoir des réflexion sur le sens de l'amour, donc ça marche.
Un film qui sort de façon quasi anodine, ce qui es bien dommage car beaucoup d'éléments sont intéressants, en particulier tous les personnages, vraiment attachants et bien marqués. La réalisation est vivante et on se laisse aller à suivre ce petit périple tout à fait convaincant. Une jolie réussite.
C'est un premier film, donc toujours un peu fragile et surtout une certaine retenue que j'ai semblé percevoir dans la mise en scène et la caractérisation des personnages. Les idées sont bonnes mais j'aurai aimé en voir davantage encore. Je suis resté sur ma faim. Le personnage de Benjamin fait cependant la grande force du film, son manque de confiance en lui, sa façon de parler et sa capacité à penser à voix haute de façon absurde et décalé était vraiment très drôle et bien joué par l'acteur Colin Morgan. De beaux plans filmés, une ambiance instaurée qui fait très britannique on le sent et c'est extra. Un style et des inspirations qui naviguent entre du Woody Allen et du Xavier Dolan parfois. Un certain potentiel chez le réalisateur Simon Amstell c'est sûr, à suivre de près donc :)
" Benjamin" exploité dans une seule salle à Paris est une romance LGBT qui se suit comme une gentille guimauve. En effet même si le scénario est plutôt bancal et ne révolutionne pas le genre, le film doit beaucoup à son duo acteurs assez complice dans leur tandem avec des jolies séquence qui fait du bien au moral.
Entre Woody Allen et Xavier Dolan, Simon Amstell, réalisateur français malgré les apparences signe une comédie romantique britannique tout à fait dans l’ordre de la fantaisie qui sied à ce genre de pérégrinations sentimentales. Benjamin en panne de créativité tombe amoureux de Noah, chanteur français. Il ne sait comment déclarer sa flamme et surtout l’entretenir. Colin Morgan (II) dans le rôle-titre, et Phénix Brossard forment un couple bien sympathique où la maladresse congénitale du héros transgresse à chaque fois les attentes. Et c’est aussi le charme de cette comédie douce-amère, qui sans franchir le mur du son, n’arrête pas de foncer tête baissée. Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
Une charmante comédie britannique légère et caustique qui nous emmène dans les coulisses du cinéma. L'acteur principal est rempli de fortes certitudes, mais malgré cela tombera amoureux du jeune musicien. Un film drôle et inattendu à ne rater sous aucun prétexte.
Une très belle histoire d'amour, sans prétention et pleine d'humour. Ça fait du bien de voir des films où l'homosexualité est complètement banalisée, il nous faut plus de Benjamin dans le monde du cinéma !
Un joli film d'amour avec des touches de comédie dramatique très sympathiques. Pour une fois on est dans un tout autre registre en ce qui concerne le cinéma avec des personnages principaux homosexuels. On ne parle pas de coming out, ni de SIDA, c'est une histoire d'amour comme une autre. Bref, un film très frais et drôle. Je recommande vivement !
Déjà présentateur d’émissions à la télévision, acteur, scénariste et humoriste de stand-up, le quadragénaire britannique Simon Amstell est aussi, dorénavant, réalisateur de cinéma. "Benjamin", son premier film, est largement inspiré de sa propre existence. Il n’est peut-être pas inutile de savoir trois choses le concernant : il a été élevé dans une famille de confession juive, ses parents ont divorcé alors qu’il était adolescent et il est ouvertement homosexuel. Pour son premier film, Simon Amstell installe sur l’écran un réalisateur qui est donc un peu son double mais qui, lui, se retrouve face aux affres du deuxième film, celui qui, très souvent, est considéré comme le plus difficile à réaliser. Dans "Benjamin", Simon Amstell, avec un ton qui rappelle assez souvent Woody Allen, se montre manifestement narquois par rapport à lui-même tout en se moquant gentiment des milieux artistiques de Londres. On ne rit jamais à gorge déployée mais le film est plaisant.