Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
CNews
par La rédaction
Cette chronique au cœur du quotidien nocturne des ambulanciers urgentistes de New-York est un capharnaüm émotionnel et étourdissant, dont l'exercice de la mise en scène se confond avec une mise en abîme de ses deux principaux protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Black Flies crame la pellicule face à cette humanité en état d'urgence absolue.
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Le français Jean-Stéphane Sauvaire (Mad Dog Glory, Une prière avant l'aube) signe un film coup de poing entre le documentaire et la fiction. Une plongée sans pitié, hypnotique, anxiogène et viscérale dans un New York cauchemardesque. Black Flies enflamme la pellicule.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un film nihiliste et sensitif, boursouflé aussi, à recommander à ceux qui aiment l’inconfort d’un trip halluciné. Et à ceux qui se demandent s’il faut vraiment sauver cette ville (ce monde) qui ressemble à un cadavre putride.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Il broie le cœur. Il accroche l'âme. Il secoue. Il attache aussi.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Sur le sujet, il y a évidemment l'hallucinant et halluciné "À Tombeau ouvert" [...], mais Jean-Stéphane Sauvaire ne démérite pas avec cette plongée (moins délirante mais tout aussi prenante) dans un Brooklyn ultra-glauque où s'affrontent les gangs des différentes communautés.
Le Parisien
par Catherine Balle
En antihéros dépressif, Sean Penn est d’une intensité rare. Un thriller haletant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Bande-son électrisante, souffle haletant des protagonistes, montage nerveux, profusion d'hémoglobine : tout est bon pour nous prendre à l'estomac.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par Vincent Malausa
Le cinéaste retrouve à nouveau un équilibre assez admirable entre brutalité réaliste [...] et stylisation d'une mise en scène à la puissance onirique discrète mais entêtante.
Ouest France
par Thierry Chèze
Ce voyage dans un Brooklyn poisseux captive par son atmosphère visuelle et sonore.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Tye Sheridan et Sean Penn constituent un duo de choc dans ce film assourdissant visant à un réalisme absolu.
Voici
par La Rédaction
Fort de son duo d'acteurs et de la réalisation stylisée de Jean-Stéphane Sauvaire, Black Flies dérange et bouscule.
Culturopoing.com
par François Armand
"Black Flies", comme son prédécesseur "A tombeau ouvert", aborde donc pleinement la question de la santé mentale par le prisme du clignotement incessant des gyrophares. Mais, mis à part les dispositifs autour de ces figures toujours en mouvement, multi-traumatisées, en première ligne face à la misère humaine, ce ne serait probablement pas totalement juste de ranger ce "Black Flies" dans le même registre que le film de Martin Scorcese.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
En faisant de New York un bac à sable apocalyptique, "Black Flies" dépasse sa simple complainte sur l’état de nos systèmes de santé et sur le chaos de la société américaine. La violence du cinéma de Jean-Stéphane Sauvaire touche à quelque chose de plus intangible, en phase avec le désespoir politique de l’époque. Mais encore faut-il vouloir la regarder.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un film intense, parfois jusqu’au vertige.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Black Flies" vaut plus pour ses qualités techniques qu'émotionnelles, mais ne lâche pas pour autant le spectateur grâce à sa réalisation brillante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
La séquence d’introduction est inoubliable, Tye Sheridan (« Ready Player One »), très bon. Face à lui, le visage parcheminé de Sean Penn et son regard délabré de type qui en a trop vu disent ce que le film, injustement méprisé au Festival de Cannes, n’a pas besoin de raconter.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Valérie Beck
Une immersion choc avec Sean Penn en vieux routier des secours new-yorkais, mais trop démonstrative pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Paris Match
par Yannick Vely
POUR - Jean-Stéphane Sauvaire impose une mise en scène organique qui va chercher à créer une narration par le montage, alignant les séquences d’intervention, avec, comme seul fil conducteur, la relation qui se construit entre le jeune Ollie Cross (Tye Sheridan, impressionnant) et l’expérimenté Rutkovsky (Sean Penn dans un rôle sur-mesure).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Après Johnny Mad Dog et Une Prière avant l’aube, Sauvaire poursuit sa quête d’un cinéma sensoriel, hypnotique, où l'envie d'élévation spirituelle se mêle au réalisme brutal, à une volonté d'uppercut, créant à l'arrivée une sensation de vérité semi-hallucinée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Ma. Mt
A son meilleur, le film saisit dans un vacillement nocturne le visage hâve et décavé de la ville comme surpris dans le reflet des gyrophares. Au pire, il se laisse aller à un symbolisme doloriste qui pèse des tonnes. A l’arrivée, on reste quand même au ras des pâquerettes, entre deux gerbes de sang et d’autres détritus.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Ne lésinant pas sur les outrances, Jean-Stéphane Sauvaire assume une vision cauchemardesque de la misère sociale. Mais son exercice finit par confondre vertige et complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Si ce n’était le savoir-faire évident et la photographie tout en chrome, asphalte et gyrophares, on jurerait un premier film, tant tout est pesant, encombré, martelé avec insistance et hermétiquement verrouillé [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un film à la mise en scène spectaculaire, tonitruante, qui s'abîme dans les clichés et un récit prévisible.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Boursouflé et bancal, recyclant des scénarios de Schrader ou Ferrara, ce film sur les périples de deux ambulanciers new-yorkais ne vaut le détour que pour le jeu de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Quand le générique montre des rues épuisées défilant à travers le pare-brise de l’ambulance, on aperçoit l’horizon visé mais jamais pleinement atteint : celui d’une simple et belle percée à travers un territoire à la fois si vivant et si fantomatique.
Critikat.com
par Corentin Lê
Black Flies ne lésine sur aucun moyen pour surligner sa métaphore.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Sauvaire n’évite aucun cliché, aucune lourdeur pour soutenir son propos franchement limite sur l’impérieuse nécessité d’aider son prochain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
On se demande encore pourquoi ce navet figurait en compétition en mai dernier au Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Fabrice Leclerc
CONTRE - Rien ne va, la mise en images épileptique, la surenchère de violence gratuite, la morale incompréhensible, la symbolique pataude.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
Sean Penn en fait des caisses, Tye Sheridan est très bien (comme souvent), mais ne parvient pas à sauver ce film plombant de complaisance. Qui souffre surtout d’une comparaison fatale. Un autre Black Flies, largement supérieur, existe déjà : À tombeau ouvert (1999), de Martin Scorsese.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
Cette chronique au cœur du quotidien nocturne des ambulanciers urgentistes de New-York est un capharnaüm émotionnel et étourdissant, dont l'exercice de la mise en scène se confond avec une mise en abîme de ses deux principaux protagonistes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Black Flies crame la pellicule face à cette humanité en état d'urgence absolue.
Filmsactu
Le français Jean-Stéphane Sauvaire (Mad Dog Glory, Une prière avant l'aube) signe un film coup de poing entre le documentaire et la fiction. Une plongée sans pitié, hypnotique, anxiogène et viscérale dans un New York cauchemardesque. Black Flies enflamme la pellicule.
La Voix du Nord
Un film nihiliste et sensitif, boursouflé aussi, à recommander à ceux qui aiment l’inconfort d’un trip halluciné. Et à ceux qui se demandent s’il faut vraiment sauver cette ville (ce monde) qui ressemble à un cadavre putride.
Le Dauphiné Libéré
Il broie le cœur. Il accroche l'âme. Il secoue. Il attache aussi.
Le Journal du Dimanche
Sur le sujet, il y a évidemment l'hallucinant et halluciné "À Tombeau ouvert" [...], mais Jean-Stéphane Sauvaire ne démérite pas avec cette plongée (moins délirante mais tout aussi prenante) dans un Brooklyn ultra-glauque où s'affrontent les gangs des différentes communautés.
Le Parisien
En antihéros dépressif, Sean Penn est d’une intensité rare. Un thriller haletant.
Le Point
Bande-son électrisante, souffle haletant des protagonistes, montage nerveux, profusion d'hémoglobine : tout est bon pour nous prendre à l'estomac.
Mad Movies
Le cinéaste retrouve à nouveau un équilibre assez admirable entre brutalité réaliste [...] et stylisation d'une mise en scène à la puissance onirique discrète mais entêtante.
Ouest France
Ce voyage dans un Brooklyn poisseux captive par son atmosphère visuelle et sonore.
Télé Loisirs
Tye Sheridan et Sean Penn constituent un duo de choc dans ce film assourdissant visant à un réalisme absolu.
Voici
Fort de son duo d'acteurs et de la réalisation stylisée de Jean-Stéphane Sauvaire, Black Flies dérange et bouscule.
Culturopoing.com
"Black Flies", comme son prédécesseur "A tombeau ouvert", aborde donc pleinement la question de la santé mentale par le prisme du clignotement incessant des gyrophares. Mais, mis à part les dispositifs autour de ces figures toujours en mouvement, multi-traumatisées, en première ligne face à la misère humaine, ce ne serait probablement pas totalement juste de ranger ce "Black Flies" dans le même registre que le film de Martin Scorcese.
Ecran Large
En faisant de New York un bac à sable apocalyptique, "Black Flies" dépasse sa simple complainte sur l’état de nos systèmes de santé et sur le chaos de la société américaine. La violence du cinéma de Jean-Stéphane Sauvaire touche à quelque chose de plus intangible, en phase avec le désespoir politique de l’époque. Mais encore faut-il vouloir la regarder.
Femme Actuelle
Un film intense, parfois jusqu’au vertige.
Franceinfo Culture
"Black Flies" vaut plus pour ses qualités techniques qu'émotionnelles, mais ne lâche pas pour autant le spectateur grâce à sa réalisation brillante.
L'Obs
La séquence d’introduction est inoubliable, Tye Sheridan (« Ready Player One »), très bon. Face à lui, le visage parcheminé de Sean Penn et son regard délabré de type qui en a trop vu disent ce que le film, injustement méprisé au Festival de Cannes, n’a pas besoin de raconter.
Le Figaro
Une immersion choc avec Sean Penn en vieux routier des secours new-yorkais, mais trop démonstrative pour convaincre.
Paris Match
POUR - Jean-Stéphane Sauvaire impose une mise en scène organique qui va chercher à créer une narration par le montage, alignant les séquences d’intervention, avec, comme seul fil conducteur, la relation qui se construit entre le jeune Ollie Cross (Tye Sheridan, impressionnant) et l’expérimenté Rutkovsky (Sean Penn dans un rôle sur-mesure).
Première
Après Johnny Mad Dog et Une Prière avant l’aube, Sauvaire poursuit sa quête d’un cinéma sensoriel, hypnotique, où l'envie d'élévation spirituelle se mêle au réalisme brutal, à une volonté d'uppercut, créant à l'arrivée une sensation de vérité semi-hallucinée.
Le Monde
A son meilleur, le film saisit dans un vacillement nocturne le visage hâve et décavé de la ville comme surpris dans le reflet des gyrophares. Au pire, il se laisse aller à un symbolisme doloriste qui pèse des tonnes. A l’arrivée, on reste quand même au ras des pâquerettes, entre deux gerbes de sang et d’autres détritus.
Les Fiches du Cinéma
Ne lésinant pas sur les outrances, Jean-Stéphane Sauvaire assume une vision cauchemardesque de la misère sociale. Mais son exercice finit par confondre vertige et complaisance.
Libération
Si ce n’était le savoir-faire évident et la photographie tout en chrome, asphalte et gyrophares, on jurerait un premier film, tant tout est pesant, encombré, martelé avec insistance et hermétiquement verrouillé [...].
Sud Ouest
Un film à la mise en scène spectaculaire, tonitruante, qui s'abîme dans les clichés et un récit prévisible.
aVoir-aLire.com
Boursouflé et bancal, recyclant des scénarios de Schrader ou Ferrara, ce film sur les périples de deux ambulanciers new-yorkais ne vaut le détour que pour le jeu de ses interprètes.
Cahiers du Cinéma
Quand le générique montre des rues épuisées défilant à travers le pare-brise de l’ambulance, on aperçoit l’horizon visé mais jamais pleinement atteint : celui d’une simple et belle percée à travers un territoire à la fois si vivant et si fantomatique.
Critikat.com
Black Flies ne lésine sur aucun moyen pour surligner sa métaphore.
Les Inrockuptibles
Sauvaire n’évite aucun cliché, aucune lourdeur pour soutenir son propos franchement limite sur l’impérieuse nécessité d’aider son prochain.
Marianne
On se demande encore pourquoi ce navet figurait en compétition en mai dernier au Festival de Cannes.
Paris Match
CONTRE - Rien ne va, la mise en images épileptique, la surenchère de violence gratuite, la morale incompréhensible, la symbolique pataude.
Télérama
Sean Penn en fait des caisses, Tye Sheridan est très bien (comme souvent), mais ne parvient pas à sauver ce film plombant de complaisance. Qui souffre surtout d’une comparaison fatale. Un autre Black Flies, largement supérieur, existe déjà : À tombeau ouvert (1999), de Martin Scorsese.