Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Emmanuelle Béart est touchante dans ce rôle de quinquagénaire aux amours compliquées, irradiante et vibrante comme l’était, dans un rôle semblable de femme de 50 ans amoureuse, Juliette Binoche dans "Celle que vous croyez" de Safy Nebbou. Les jeux de l’amour et du hasard sont sans âge et séduisants.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Récit intimiste d’une jeune veuve qui se reconstruit, L’Etreinte reflète la sensibilité d’un nouveau cinéaste, Ludovic Bergery, à laquelle répond celle d’Emmanuelle Béart.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
À l’écran, ce plaisir retrouvé se voit. Emmanuelle Béart apparaît à la fois solaire, sûre et tranquille, alors même que son personnage se trouve à un point de bascule, entre ce qui a été, dramatique, et ce qui peut advenir, incertain. Le chemin des possibles est ouvert.
Le Figaro
par Nathalie Simon
La comédienne fait un retour devant la caméra avec un premier rôle sensible et émouvant dans le premier film de Ludovic Bergery.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Réalisé avec sobriété et faisant la part belle à des silences qui en disent plus long que les dialogues explicatifs, ce portrait à vif donne l’occasion à Emmanuelle Béart d’incarner son plus beau rôle récent.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un tableau très émouvant d'une femme confrontée au deuil.
Positif
par Fabien Baumann
Le sujet n’emballe pas forcément [...]. Mais la photographie de Martin Roux saisit ce cœur et ce corps en hiver dans une blancheur douce, tendre pour le personnage et dure pour le monde, très « 35 mm », qui crée une tension dramatique par le seul jeu des couleurs et des caresses de la caméra.
Première
par Thierry Chèze
Un portrait de femme à la sensibilité renversante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Au-delà, le film perce avec douceur les angles morts du chagrin et de la survie, toutes les stratégies inconscientes qui se mettent en place quand il s’agit de s’en sortir. S’il n’est pas exempt de maladresses, quelques longueurs notamment, elles ne compromettent jamais sa probité narrative.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
La renaissance sensuelle d’une femme endeuillée, à qui Emmanuelle Béart prête avec grâce sa peau et sa personnalité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Malgré quelques scènes qui auraient gagné à être écourtées, le réalisateur, dont c’est le premier long métrage, manie avec dextérité silences savamment distillés et ambiances claires-obscures, pour dresser le tableau sensuel et juste d’une délicate et émouvante reconnexion à la vie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Le film paraît errer dès que son actrice semble se chercher, mais la mise en scène, à raison, ne s’écarte jamais d’elle, en suivant ses intuitions et ses élans.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Emmanuelle Béart, qui semble aujourd’hui préférer le théâtre au cinéma, donne à ce rôle beaucoup d’elle-même, et cela fait le prix de ce film imparfait mais touchant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Quelle joie de retrouver Emmanuelle Béart en tête d’affiche, seule à porter (avec brio) un film intimiste et troublant où elle incarne Margaux, veuve depuis six mois, qui va s’efforcer d’écrire une nouvelle page de sa vie.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
Un film délicat mais parfois âpre sur le deuil de la jeunesse et la quête de l’amour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
L’Étreinte dresse le portrait d’une femme portée par l’énergie de son désir, grâce à une belle prestation d’Emmanuelle Béart et à des personnages secondaires convaincants. Dommage que le film de Ludovic Bargery pâtisse d’un scénario qui manque de tenue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
La première réalisation de Ludovic Bergery se révèle un portrait fasciné de son actrice principale, au miroir de son personnage : une veuve en reconquête de sa sensualité perdue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Parfois maladroit mais porté par une Emmanuelle Béart inspirée et un Vincent Dedienne toujours juste.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
À l'image de son héroïne - Emmanuelle Béart, bouleversante -, ce premier film se perd, parfois. Mais il a le mérite d'être sans cesse inattendu et d'aller au plus près de la douleur de cette femme écorchée [...].
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Portrait sensible de femme, L’étreinte ressemble à celle qu’il dépeint. Comme empesé d’une perte récente, il est lesté d’une léthargie dont il peine à sortir par quelques scènes et situations décalées.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Véronique Cauhapé
L’Etreinte, malgré un beau sujet, peine à convaincre, son caractère démonstratif finissant par nous tenir à l’écart de l’émotion.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Mais l’ensemble est plat, le point de vue du réalisateur sur le sexe au féminin très discutable, les personnages secondaires trop esquissés, et on finit par s’ennuyer devant la maladroite et adolescente quête d’amour de son héroïne.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Emmanuelle Béart est touchante dans ce rôle de quinquagénaire aux amours compliquées, irradiante et vibrante comme l’était, dans un rôle semblable de femme de 50 ans amoureuse, Juliette Binoche dans "Celle que vous croyez" de Safy Nebbou. Les jeux de l’amour et du hasard sont sans âge et séduisants.
Franceinfo Culture
Récit intimiste d’une jeune veuve qui se reconstruit, L’Etreinte reflète la sensibilité d’un nouveau cinéaste, Ludovic Bergery, à laquelle répond celle d’Emmanuelle Béart.
Le Dauphiné Libéré
À l’écran, ce plaisir retrouvé se voit. Emmanuelle Béart apparaît à la fois solaire, sûre et tranquille, alors même que son personnage se trouve à un point de bascule, entre ce qui a été, dramatique, et ce qui peut advenir, incertain. Le chemin des possibles est ouvert.
Le Figaro
La comédienne fait un retour devant la caméra avec un premier rôle sensible et émouvant dans le premier film de Ludovic Bergery.
Marianne
Réalisé avec sobriété et faisant la part belle à des silences qui en disent plus long que les dialogues explicatifs, ce portrait à vif donne l’occasion à Emmanuelle Béart d’incarner son plus beau rôle récent.
Ouest France
Un tableau très émouvant d'une femme confrontée au deuil.
Positif
Le sujet n’emballe pas forcément [...]. Mais la photographie de Martin Roux saisit ce cœur et ce corps en hiver dans une blancheur douce, tendre pour le personnage et dure pour le monde, très « 35 mm », qui crée une tension dramatique par le seul jeu des couleurs et des caresses de la caméra.
Première
Un portrait de femme à la sensibilité renversante.
Sud Ouest
Au-delà, le film perce avec douceur les angles morts du chagrin et de la survie, toutes les stratégies inconscientes qui se mettent en place quand il s’agit de s’en sortir. S’il n’est pas exempt de maladresses, quelques longueurs notamment, elles ne compromettent jamais sa probité narrative.
Télérama
La renaissance sensuelle d’une femme endeuillée, à qui Emmanuelle Béart prête avec grâce sa peau et sa personnalité.
aVoir-aLire.com
Malgré quelques scènes qui auraient gagné à être écourtées, le réalisateur, dont c’est le premier long métrage, manie avec dextérité silences savamment distillés et ambiances claires-obscures, pour dresser le tableau sensuel et juste d’une délicate et émouvante reconnexion à la vie.
Cahiers du Cinéma
Le film paraît errer dès que son actrice semble se chercher, mais la mise en scène, à raison, ne s’écarte jamais d’elle, en suivant ses intuitions et ses élans.
L'Obs
Emmanuelle Béart, qui semble aujourd’hui préférer le théâtre au cinéma, donne à ce rôle beaucoup d’elle-même, et cela fait le prix de ce film imparfait mais touchant.
La Voix du Nord
Quelle joie de retrouver Emmanuelle Béart en tête d’affiche, seule à porter (avec brio) un film intimiste et troublant où elle incarne Margaux, veuve depuis six mois, qui va s’efforcer d’écrire une nouvelle page de sa vie.
Le Parisien
Un film délicat mais parfois âpre sur le deuil de la jeunesse et la quête de l’amour.
Les Fiches du Cinéma
L’Étreinte dresse le portrait d’une femme portée par l’énergie de son désir, grâce à une belle prestation d’Emmanuelle Béart et à des personnages secondaires convaincants. Dommage que le film de Ludovic Bargery pâtisse d’un scénario qui manque de tenue.
Libération
La première réalisation de Ludovic Bergery se révèle un portrait fasciné de son actrice principale, au miroir de son personnage : une veuve en reconquête de sa sensualité perdue.
Paris Match
Parfois maladroit mais porté par une Emmanuelle Béart inspirée et un Vincent Dedienne toujours juste.
Télé 7 Jours
À l'image de son héroïne - Emmanuelle Béart, bouleversante -, ce premier film se perd, parfois. Mais il a le mérite d'être sans cesse inattendu et d'aller au plus près de la douleur de cette femme écorchée [...].
La Croix
Portrait sensible de femme, L’étreinte ressemble à celle qu’il dépeint. Comme empesé d’une perte récente, il est lesté d’une léthargie dont il peine à sortir par quelques scènes et situations décalées.
Le Monde
L’Etreinte, malgré un beau sujet, peine à convaincre, son caractère démonstratif finissant par nous tenir à l’écart de l’émotion.
Le Journal du Dimanche
Mais l’ensemble est plat, le point de vue du réalisateur sur le sexe au féminin très discutable, les personnages secondaires trop esquissés, et on finit par s’ennuyer devant la maladroite et adolescente quête d’amour de son héroïne.