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Votre avis sur Reminiscence ?
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Ne renouvelle pas le genre, pire : le répète ! Si le personnage veut se souvenir, nous on l'oublie rapidement. Décevant et lent
2,4/5
2,4/5
Un long-métrage science-fiction romantique passionnant et abouti. Un contexte futuriste qui donne envie de découvrir (perso, ça m'a fait tout de suite penser à "Waterworld") et en effet, j'ai trouvé le décor époustouflant.
Je ne comprends pas trop la sévérité des critiques. Que "Reminiscence" ne soit pas supérieur à "Minority Report" ou "Inception" n'en fait pas un film de science fiction inutile. Le film est agréable avec un rythme bien tenu, mais a aussi une intrigue riche. L'aspect "film noir" (enquête et tragédie) est central dans l'intrigue, mais celle-ci s'appuie convenablement sur son contexte de science-fiction, par les moyens technologiques mis en oeuvre (cuve des souvenirs, caissons), mais aussi par le décor (un Miami à plusieurs étages sociaux menacé par les montée des eaux).
Peut-être que l'intrigue ne surprend pas, mais elle comporte bien son lot de rebondissements, et on suit avec intérêt l'enquête pour en savoir plus sur cette femme, et la tragédie des personnages se met bien en place pour nous apporter de l'émotion, qui culmine dans les vingt dernières minutes (quelques belles phrases restent dans la tête). Le personnage joué par Hugh Jackman est le plus important, mais pleins d'autres personnages sont assez bien développés et caractérisés, à commencer par la mystérieuse Mae (jouée par Rebecca Ferguson) et la meuf sûre Watts (jouée par Thandiwe Newton), mais aussi spoiler: le flic ripoux et homme de main impitoyable, le caïd de la drogue, le riche propriétaire, sa femme, son fils héritier, la procureur, la jeune fille misérable,.
.. Chacun des personnages sert à l'histoire, et en deux heures, on en découvre des facettes. En tout cas, y a bien de la matière et si ça avait été fait sur deux ou quatre fois plus de temps (genre dans une série), il y aurait sans doute eu moyen de développer l'aspect spoiler: du travail de la procureur avec l'aide de l'analyse des souvenirs, et toutes les difficultés quand elle se heurte aux puissants
, et aussi d'exploiter une idée qui n'est qu'effleurée : spoiler: l'amour de Watts pour Bannister.
J'ai aussi bien aimé le film visuellement dans certains de ses tableaux, avec eau, soleil ou/et nuit (la scène du piano par exemple). Ou les passages de l'évanescence des souvenirs à la réalité des personnages. Et je trouve les scènes d'action/poursuite plutôt lisibles. Donc, vraiment, j'aimerai qu'il y ait plus de films de cette qualité qui ne soient pas liées à des "franchises", "suites" ou "adaptations de best-seller ou de succès sériels".
Peut-être que l'intrigue ne surprend pas, mais elle comporte bien son lot de rebondissements, et on suit avec intérêt l'enquête pour en savoir plus sur cette femme, et la tragédie des personnages se met bien en place pour nous apporter de l'émotion, qui culmine dans les vingt dernières minutes (quelques belles phrases restent dans la tête). Le personnage joué par Hugh Jackman est le plus important, mais pleins d'autres personnages sont assez bien développés et caractérisés, à commencer par la mystérieuse Mae (jouée par Rebecca Ferguson) et la meuf sûre Watts (jouée par Thandiwe Newton), mais aussi spoiler: le flic ripoux et homme de main impitoyable, le caïd de la drogue, le riche propriétaire, sa femme, son fils héritier, la procureur, la jeune fille misérable,.
.. Chacun des personnages sert à l'histoire, et en deux heures, on en découvre des facettes. En tout cas, y a bien de la matière et si ça avait été fait sur deux ou quatre fois plus de temps (genre dans une série), il y aurait sans doute eu moyen de développer l'aspect spoiler: du travail de la procureur avec l'aide de l'analyse des souvenirs, et toutes les difficultés quand elle se heurte aux puissants
, et aussi d'exploiter une idée qui n'est qu'effleurée : spoiler: l'amour de Watts pour Bannister.
J'ai aussi bien aimé le film visuellement dans certains de ses tableaux, avec eau, soleil ou/et nuit (la scène du piano par exemple). Ou les passages de l'évanescence des souvenirs à la réalité des personnages. Et je trouve les scènes d'action/poursuite plutôt lisibles. Donc, vraiment, j'aimerai qu'il y ait plus de films de cette qualité qui ne soient pas liées à des "franchises", "suites" ou "adaptations de best-seller ou de succès sériels".
un des rares films SF qui m'ait absorbé de A à Z. Belle histoire, belles images, un univers post apocalyptique splendide. Bravo
Une des rares fois où je n'accroche pas du tout avec jackman... Ce n'est pas mal joué c'est juste l'histoire qui est vraiment pas top ...
Reminiscence, de Lisa Joy, sorti en salles cet été, est à mes yeux l'une des plus grandes réussites cinématographiques de cette année, que ce soit visuellement ou scénaristiquement, film nous narrant une histoire d'amour profondément touchante à travers le temps, dans un Miami futuriste à moitié submergé par les eaux, sur fond d'enquête, le mot se détachant de tout ce tableau étant: Souvenirs.
Reminiscence, c'est vraiment très beau et malheureusement sous-côté... J'en ai très peu entendu parler. C'est un film qui a vraiment du caractère, dont les images ne sont pas plates, bien au contraire: C'est un vrai film de cinéma avec un soin méticuleux apporté à son esthétique et à sa narration (les deux étant liés), je suis épaté par sa richesse et le long-métrage, au-delà de tout ce que j'évoque dans ces lignes, atteint son plein potentiel (et bien davantage) lorsqu'il nous offre, au milieu de tout ce dont il traite, des moments si délicats de flottement concentrés sur et portés par l'alchimie entre les deux acteurs principaux, Hugh Jackman et Rebecca Ferguson (Mission Impossible, Dune...).
Reminiscence est un film à propos duquel je n'avais pas écris à sa sortie mais je profite justement du fait de le faire aujourd'hui pour vous exprimer le fait que je trouve le film profondément poétique par le biais de ce qu'il raconte jusqu'à ses dernières secondes.
Lisa Joy est, avec son mari Jonathan Nolan, une des deux têtes pensantes derrière la très bonne série Westworld, et son premier film est très prometteur, cette histoire d'amour va toucher les plus sensibles d'entre vous et en ce qui me concerne, elle m'a bouleversé ❤
Instagram: @passion.culture
Reminiscence, c'est vraiment très beau et malheureusement sous-côté... J'en ai très peu entendu parler. C'est un film qui a vraiment du caractère, dont les images ne sont pas plates, bien au contraire: C'est un vrai film de cinéma avec un soin méticuleux apporté à son esthétique et à sa narration (les deux étant liés), je suis épaté par sa richesse et le long-métrage, au-delà de tout ce que j'évoque dans ces lignes, atteint son plein potentiel (et bien davantage) lorsqu'il nous offre, au milieu de tout ce dont il traite, des moments si délicats de flottement concentrés sur et portés par l'alchimie entre les deux acteurs principaux, Hugh Jackman et Rebecca Ferguson (Mission Impossible, Dune...).
Reminiscence est un film à propos duquel je n'avais pas écris à sa sortie mais je profite justement du fait de le faire aujourd'hui pour vous exprimer le fait que je trouve le film profondément poétique par le biais de ce qu'il raconte jusqu'à ses dernières secondes.
Lisa Joy est, avec son mari Jonathan Nolan, une des deux têtes pensantes derrière la très bonne série Westworld, et son premier film est très prometteur, cette histoire d'amour va toucher les plus sensibles d'entre vous et en ce qui me concerne, elle m'a bouleversé ❤
Instagram: @passion.culture
ffred
Cela commence plutôt bien. Une certaine ambiance, une Terre métamorphosée par le réchauffement climatique. Puis cela se dégrade assez vite, ça finit par être répétitif, et l’histoire n’est pas vraiment passionnante, même s’il y a un certain suspens et quelques rebondissements. C’est du vu et revu sur tous les plans. Beau casting mais ils font ce qu’ils peuvent, et puis Hugh Jackman n’est plus vraiment ce qu’il était. S’il se laisse regarder, ce premier film de Lisa Joy (co-créatrice de la série Westworld) ne restera cependant pas dans les mémoires...
Jorik V
Ce premier film de la co-créatrice de la série « Westworld » est très ambitieux, aussi bien sur la forme que sur le fond. Et si la première est hautement louable et figure certainement comme l’une des propositions visuelles les plus abouties et réussies de cette année – elle est même à tomber par terre, le second laisse parfois à désirer et fait manquer à « Réminiscence » son statut d’incontournable de cet été. Mais aussi celui de petite pépite de science-fiction qu’il aurait pu être. L’idée à la base du scénario est plutôt intrigante : dans un monde ravagé par la montée des eaux et une guerre dont on ne verra rien, un ancien Marine a monté une société qui permet aux gens de revivre leurs plus beaux souvenirs grâce à une machine (cet aspect est malheureusement très peu approfondi, sa conception et son but restant dans l’ombre). Située dans ce contexte intéressant et plutôt original, une intrigue policière va faire se croiser, entre autres, une femme fatale, un riche homme d’affaires et des trafiquants d’une drogue de synthèse.
L’idée de cette machine permettant de revivre ses souvenirs devrait faire fonctionner la fibre nostalgique à plein régime mais elle n’est pas toujours exploitée comme elle le devrait. Elle sert plutôt de prétexte à faire avancer l’enquête de manière régulière, par à-coups. Et permet aussi pas mal de facilités de scénario pour expliquer ce qui se trame. Une enquête mystérieuse et captivante au début qui perd petit à petit de son attrait et aboutit à une résolution pas forcément des plus heureuses. Mais on la suit tout de même avec un intérêt poli et quelques petits rebondissements viennent parfois nous sortir d’une torpeur qui pointait le bout de son nez. Hugh Jackman semble un peu fatigué dans ce rôle quand Rebecca Ferguson nous laisse entrevoir à quel point ce rôle de femme fatale lui va bien mais qu’elle n’a pas assez d’espace pour le jouer. C’est Thandie Newton dans le second rôle de la meilleure amie et assistante qui attire le plus notre attention et fait regretter que cette actrice soit si rare et sous-employée. Rien de bien révolutionnaire sur le plan narratif donc, c’est même un peu décevant.
Mais passons au versant visuel. Le Miami sous les eaux créé pour l’occasion est en tous points magnifique et cela dès la séquence inaugurale du long-métrage. Les plans larges sur la ville engloutie nous subjuguent par leur beauté et les effets spéciaux sont très réussis. Le côté rétro-futuriste choisi pour la direction artistique fait penser à un film noir d’anticipation que peu de films ont emprunté. On pense aux très vieux et méconnu « Passé virtuel » sorti il y a vingt ans et qui prenait une trame similaire mais avec la réalité virtuelle comme contexte. Un petit bijou oublié. Ici, le côté film noir n’est pas assez creusé mais l’esthétique qui s’y colle est tout à fait réussie. On aurait aimé en savoir plus sur cet univers et peut-être qu’une série aurait davantage rendu grâce à un tel postulat. En attendant, si on fait abstraction du côté niaiseux de l’amour fou qui traverse tout le film (et qui le rend un peu kitsch) et d’une intrigue finalement très quelconque, on ne peut que s’émerveiller devant d’aussi beaux décors et un univers probant et passionnant.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
L’idée de cette machine permettant de revivre ses souvenirs devrait faire fonctionner la fibre nostalgique à plein régime mais elle n’est pas toujours exploitée comme elle le devrait. Elle sert plutôt de prétexte à faire avancer l’enquête de manière régulière, par à-coups. Et permet aussi pas mal de facilités de scénario pour expliquer ce qui se trame. Une enquête mystérieuse et captivante au début qui perd petit à petit de son attrait et aboutit à une résolution pas forcément des plus heureuses. Mais on la suit tout de même avec un intérêt poli et quelques petits rebondissements viennent parfois nous sortir d’une torpeur qui pointait le bout de son nez. Hugh Jackman semble un peu fatigué dans ce rôle quand Rebecca Ferguson nous laisse entrevoir à quel point ce rôle de femme fatale lui va bien mais qu’elle n’a pas assez d’espace pour le jouer. C’est Thandie Newton dans le second rôle de la meilleure amie et assistante qui attire le plus notre attention et fait regretter que cette actrice soit si rare et sous-employée. Rien de bien révolutionnaire sur le plan narratif donc, c’est même un peu décevant.
Mais passons au versant visuel. Le Miami sous les eaux créé pour l’occasion est en tous points magnifique et cela dès la séquence inaugurale du long-métrage. Les plans larges sur la ville engloutie nous subjuguent par leur beauté et les effets spéciaux sont très réussis. Le côté rétro-futuriste choisi pour la direction artistique fait penser à un film noir d’anticipation que peu de films ont emprunté. On pense aux très vieux et méconnu « Passé virtuel » sorti il y a vingt ans et qui prenait une trame similaire mais avec la réalité virtuelle comme contexte. Un petit bijou oublié. Ici, le côté film noir n’est pas assez creusé mais l’esthétique qui s’y colle est tout à fait réussie. On aurait aimé en savoir plus sur cet univers et peut-être qu’une série aurait davantage rendu grâce à un tel postulat. En attendant, si on fait abstraction du côté niaiseux de l’amour fou qui traverse tout le film (et qui le rend un peu kitsch) et d’une intrigue finalement très quelconque, on ne peut que s’émerveiller devant d’aussi beaux décors et un univers probant et passionnant.
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shindu77
Un film avec du potentiel mais mal exploité. Si le scénario est intéressant sur le papier, la mise en scène est assez molle et le film ne tient pas en haleine jusqu'au bout car trop de longueurs. Le casting est mal du tout mais il ne permet pas de faire remonter le niveau à un stade supérieur. Dommage.
Très déçu. Une pseudo histoire d'amour sur fond de dystrophie. Dommage le monde avait l'aire pas mal, mais se n'est malheureusement pas le sujet du film. Un film bien fait mais long et sans profondeur.
Roub E.
Un film de Sf qui ne dissimule pas ses influences. Pour le décrire je dirais que c’est un mélange de Minority Report, de film post apocalyptique, de Blade Runner, d’Inception, du film noir, de Total Recall. S’il n’atteint pas la dimension des œuvres citées, il reste un film plutôt bien tenu qui tient avant tout grâce un univers bien planté dans lequel on est rapidement plongé malgré des moyens limités qui transparaissent. L’ambiance rétro Sf est plaisante et la direction artistique la met bien en valeur. Dans les réussîtes il y a aussi la présence de Rebecca Ferguson qui vole la vedette à Hugh Jackman (elle avait déjà réussi cela avec Tom Cruise dans Mission Impossible ceci dit). Dommage en revanche que le film semble bridé comme je le disais par des moyens limités, mais surtout de sûr utiliser une voix off trop démonstrative et trop omniprésente. Cela gâche un premier film certes convenu mais bien tenu.
Image sombre , rythme lent , acteurs moyen. L' idée de départ plutôt bonne est donc gâché par tout cela.
Shephard69
Un projet que j'ai découvert sur le tard, seulement quelques semaines avant sa sortie au cinéma et qui m'attirait pour son atmosphère lourde à mi-chemin entre le film noir des années 40 avec des références évidentes à des oeuvres comme "Le grand sommeil" ou "Le faucon maltais" avec Humphrey Bogart et la science-fiction post-apocalyptique très fortement inspirée par le style de Christopher Nolan et notamment "Inception" où la plongée dans les souvenirs, les flashbacks remplacent les rêves. Une intrigue sans réelles surprises qui réunit tous les ingrédients d'un polar classique entre détective privé désabusé, hanté par un passé trouble, femme fatale au charme vénéneux , pègre et classe aisée sans scrupules mais qui reste impeccablement accrocheuse malgré quelques petites longueurs et un sujet central qui manque peut-être un peu de profondeur, abordé de façon démonstrative. Un casting imposant entre un Hugh Jackman qui propose une prestation assez proche de celle de Wolverine dans "Logan" et une Rebecca Ferguson, érotisée comme rarement, qui, elle aussi, reste dans son registre d'Isa Faust dans la saga "Mission impossible", des seconds rôles intéressants comme Thandie Newton ou Cliff Curtis. Un long-métrage qui a reçu de mauvaises critiques à sa sortie mais qui, personnellement, m'a beaucoup plu pour ses décors imaginatifs d'une Miami à moitié noyée sous les eaux, pour le background de son univers et pour sa mise en scène au charme suranné même si j'admets que l'ensemble manque cruellement d'originalité. Un bon moment de cinéma.
Dik ap Prale
L'univers n'est pas d'une grande inspiration, mais est louable de bonnes intentions. L'enquête à tiroirs, inspirée des meilleurs films noirs, maintien l'ensemble à flot.
Adrien J.
C’est frustrant car je vois du potentiel mais tout est gâché par un scénario cliché et des personnages assez mal écrits. Le concept est pourtant intéressant, et le film dépeint un univers futuriste original, avec la présence de nombreux décors qui donnent un certain cachet à l’ensemble. Dommage d’avoir une histoire si bancale…
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