Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Parisien
par Michel Valentin
Contre toute attente, ce mélange a priori incongru, sorte de chaînon manquant entre « le Faucon maltais » et « Inception », fonctionne à plein et ne nous laisse que de jolis souvenirs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Film hypnotique, envoûtant, jamais surligné dans son aspect spectaculaire ou mélodramatique, le long-métrage s'impose de lui-même, en plus de dégager une véritable personnalité.
La Croix
par Nathanaël Bentura
Une dystopie haletante et tragique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les séquences d’action marquent autant que le climat étrange baignant (là aussi au sens propre) cette quête obsessionnelle qui, derrière le vernis de l’anticipation, évoquerait presque un film noir installé dans les années 30 (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dans la lignée de Minority Report (2002) de Steven Spielberg, ce film à la structure narrative un peu bancale, à la fois thriller d'anticipation, fable écologique et tragédie romantique, touche intimement par son voyage à travers la mémoire, son discours sur le déterminisme de l'existence, la performance tout en intériorité de Hugh Jackman.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
De Westworld à Reminiscence, il y a clairement un repli des utopies, un désenchantement quant à la possibilité de vivre des vies rêvées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
À grand renfort d'effets spéciaux, Hugh Jackman (toujours aussi musclé !) nous mène au cœur du passé et de la psyché. De quoi faire chauffer les méninges !
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Si Reminiscence aligne trop sagement les codes du polar high tech, sa vision d'un futur au bord de l'engloutissement en fait tout de même une proposition de science-fiction sérieuse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Avec son concept novateur, son ambiance de film noir, ses décors spectaculaires, et son casting cinq étoiles, Réminiscence avait tout pour plaire. Malheureusement, on trouve le temps long devant ce film paresseux à l’intrigue cousue de fil blanc et aux dialogues beaucoup trop clichés pour sonner juste.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Figaro
par Constance Jamet
Coup d'essai imparfait dans l'ombre de ses maîtres, réflexion cachée sur l'amour fou à la riche imagerie, Reminiscence mérite qu'on s'en souvienne et encourage à prêter davantage attention à l'écume des jours.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Si le film a de solides arguments visuels, il ne parvient pas à s’imposer comme une épopée captivante ; la faute à une narration cousue de fil blanc et un casting pas toujours inspiré. Sur le papier, le premier long-métrage de Lisa Joy avait tout pour plaire mais l’impression laissée par le film est finalement loin d’être indélébile.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Ouest France
par Gaël Golhen
A trop vouloir compliquer son récit, Joy finit par délaisser son véritable sujet. Mais sa mise en scène et ses idées visuelles ambitieuses laisse penser que, débarrassée de l'ombre de Nolan, elle pourrait s'affirmer comme une grande cinéaste à part entière.
Première
par Gaël Golhen
L’ennui, c’est que son techno-thriller ne décolle jamais tout à fait (...). Ce n’est qu’à la fin, quand elle touche enfin le rivage de la pure mythologie, qu’elle joue avec des notions finalement plus littéraires que visuelles ou théoriques, qu’elle finit par trouver la note de son film et son émotion – un peu trop tard.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
Premier film de la cocréatrice de la série Westworld, ce récit de science-fiction truffé de références aux films noirs des années 40 compense (un peu) une narration alambiquée à la Nolan et une fin terriblement convenue par le raffinement déliquescent de sonatmosphère rétrofuturiste. D’autant plus inquiétante qu’elle semble étrangement réaliste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Josué Morel
Cela ne sauvera pas le film boiteux de Joy, mais reconnaissons que ce dernier émeut un peu lorsque, soudain, tout s’éclaire : derrière les circonvolutions de son récit, Reminiscence n’aspirait à rien d’autre qu’à être, justement, une réminiscence de Vertigo.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Derrière la caméra de Réminiscence, Lisa Joy, la femme de Jonathan Nolan, peine à donner de l’ampleur à ce scénario intrigant mais lesté par un romantisme mélo sur fond de coucher de soleil, une imagerie clichée oubliable.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Les Nolan renversent le cours des choses et des récits : Réminiscence , écrit par le seul Jonathan, sans Christopher, recule dans le temps avec moins de complexité que d’habitude. Hugh Jackman, vétéran claudiquant de la guerre du Golfe, butte sur le passé, qu’il se passe, repasse et ressasse.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Le premier film de Lisa Joy n’est hélas pas à la hauteur de ses ambitions - à commencer par celle consistant à chercher à signer une œuvre SF majeure.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par François Cau
Un univers qui se tient, au service d'une vision assurée. Tout est là, et une insupportable voix off vient tout foutre en l'air. Explicative, sentencieuse, empreinte d'une poésie à deux balles, elle vient ruiner la moindre respiration.
Positif
par Bernard Génin
Mais le collage ne prend pas toujours, le rythme est trop lancinant, les va-et-vient dans les souvenirs des personnages sont trop répétitifs, et on reste au seuil du grand film personnel que Lisa Joy ambitionne.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Pour son premier long-métrage, Lisa Joy, cocréatrice de la série Westworld, aborde le polar d'anticipation mentale dans la droite lignée d'un Philip K. Dick. Cependant, rien dans l'écriture ni la réalisation ne s'approche d'un tel modèle.
Le Parisien
Contre toute attente, ce mélange a priori incongru, sorte de chaînon manquant entre « le Faucon maltais » et « Inception », fonctionne à plein et ne nous laisse que de jolis souvenirs.
L'Ecran Fantastique
Film hypnotique, envoûtant, jamais surligné dans son aspect spectaculaire ou mélodramatique, le long-métrage s'impose de lui-même, en plus de dégager une véritable personnalité.
La Croix
Une dystopie haletante et tragique.
La Voix du Nord
Les séquences d’action marquent autant que le climat étrange baignant (là aussi au sens propre) cette quête obsessionnelle qui, derrière le vernis de l’anticipation, évoquerait presque un film noir installé dans les années 30 (...).
Le Journal du Dimanche
Dans la lignée de Minority Report (2002) de Steven Spielberg, ce film à la structure narrative un peu bancale, à la fois thriller d'anticipation, fable écologique et tragédie romantique, touche intimement par son voyage à travers la mémoire, son discours sur le déterminisme de l'existence, la performance tout en intériorité de Hugh Jackman.
Les Inrockuptibles
De Westworld à Reminiscence, il y a clairement un repli des utopies, un désenchantement quant à la possibilité de vivre des vies rêvées.
Télé Loisirs
À grand renfort d'effets spéciaux, Hugh Jackman (toujours aussi musclé !) nous mène au cœur du passé et de la psyché. De quoi faire chauffer les méninges !
Ecran Large
Si Reminiscence aligne trop sagement les codes du polar high tech, sa vision d'un futur au bord de l'engloutissement en fait tout de même une proposition de science-fiction sérieuse.
Filmsactu
Avec son concept novateur, son ambiance de film noir, ses décors spectaculaires, et son casting cinq étoiles, Réminiscence avait tout pour plaire. Malheureusement, on trouve le temps long devant ce film paresseux à l’intrigue cousue de fil blanc et aux dialogues beaucoup trop clichés pour sonner juste.
Le Figaro
Coup d'essai imparfait dans l'ombre de ses maîtres, réflexion cachée sur l'amour fou à la riche imagerie, Reminiscence mérite qu'on s'en souvienne et encourage à prêter davantage attention à l'écume des jours.
Le Journal du Geek
Si le film a de solides arguments visuels, il ne parvient pas à s’imposer comme une épopée captivante ; la faute à une narration cousue de fil blanc et un casting pas toujours inspiré. Sur le papier, le premier long-métrage de Lisa Joy avait tout pour plaire mais l’impression laissée par le film est finalement loin d’être indélébile.
Ouest France
A trop vouloir compliquer son récit, Joy finit par délaisser son véritable sujet. Mais sa mise en scène et ses idées visuelles ambitieuses laisse penser que, débarrassée de l'ombre de Nolan, elle pourrait s'affirmer comme une grande cinéaste à part entière.
Première
L’ennui, c’est que son techno-thriller ne décolle jamais tout à fait (...). Ce n’est qu’à la fin, quand elle touche enfin le rivage de la pure mythologie, qu’elle joue avec des notions finalement plus littéraires que visuelles ou théoriques, qu’elle finit par trouver la note de son film et son émotion – un peu trop tard.
Télérama
Premier film de la cocréatrice de la série Westworld, ce récit de science-fiction truffé de références aux films noirs des années 40 compense (un peu) une narration alambiquée à la Nolan et une fin terriblement convenue par le raffinement déliquescent de sonatmosphère rétrofuturiste. D’autant plus inquiétante qu’elle semble étrangement réaliste.
Critikat.com
Cela ne sauvera pas le film boiteux de Joy, mais reconnaissons que ce dernier émeut un peu lorsque, soudain, tout s’éclaire : derrière les circonvolutions de son récit, Reminiscence n’aspirait à rien d’autre qu’à être, justement, une réminiscence de Vertigo.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Derrière la caméra de Réminiscence, Lisa Joy, la femme de Jonathan Nolan, peine à donner de l’ampleur à ce scénario intrigant mais lesté par un romantisme mélo sur fond de coucher de soleil, une imagerie clichée oubliable.
Le Dauphiné Libéré
Les Nolan renversent le cours des choses et des récits : Réminiscence , écrit par le seul Jonathan, sans Christopher, recule dans le temps avec moins de complexité que d’habitude. Hugh Jackman, vétéran claudiquant de la guerre du Golfe, butte sur le passé, qu’il se passe, repasse et ressasse.
Les Fiches du Cinéma
Le premier film de Lisa Joy n’est hélas pas à la hauteur de ses ambitions - à commencer par celle consistant à chercher à signer une œuvre SF majeure.
Mad Movies
Un univers qui se tient, au service d'une vision assurée. Tout est là, et une insupportable voix off vient tout foutre en l'air. Explicative, sentencieuse, empreinte d'une poésie à deux balles, elle vient ruiner la moindre respiration.
Positif
Mais le collage ne prend pas toujours, le rythme est trop lancinant, les va-et-vient dans les souvenirs des personnages sont trop répétitifs, et on reste au seuil du grand film personnel que Lisa Joy ambitionne.
Le Monde
Pour son premier long-métrage, Lisa Joy, cocréatrice de la série Westworld, aborde le polar d'anticipation mentale dans la droite lignée d'un Philip K. Dick. Cependant, rien dans l'écriture ni la réalisation ne s'approche d'un tel modèle.