Natan, le fantôme de la rue Francoeur : Critique presse
Natan, le fantôme de la rue Francoeur
Note moyenne
3,1
8 titres de presse
L'Obs
Le Figaro
Libération
Le Monde
Ouest France
Télérama
La Croix
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Natan a produit soixante films, repris la direction de Pathé, créé un réseau de salles impressionnant, relancé Pathé Journal, fait faillite, puis a été déchu de sa nationalité française par Vichy. La France l’a livré aux Allemands, et Natan a été déporté à Auschwitz, où il est mort en 1942. On découvre un personnage injustement oublié.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Le documentaire produit de très intéressantes archives, et un beau florilège d'entretiens.
Libération
par Camille Nevers
Qu’est-ce qu’un producteur de cinéma (français, juif) ? Pour s’en faire une idée, au passé mais juste, il faut voir "le Fantôme de la rue Francœur", entendre ses témoignages et découvrir surtout des archives rares ou inédites, comme ses extraits d’entretiens avec Charles Vanel, Raymond Bernard, le décorateur Max Douy et le trop oublié Marco de Gastyne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Les amateurs apprécieront, à travers ce film passionnant consacré à un ancien patron de la firme Pathé, un morceau d’archéologie de l’industrie du cinéma français.
Ouest France
par La Rédaction
A voir, malgré sa forme scolaire et rébarbative.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le documentaire a le mérite de réhabiliter une personnalité majeure du cinéma.
La Croix
par Céline Rouden
Mais à trop être pédagogique, se perdant parfois dans de longues digressions historiques, le documentaire dont l’ambition est de mettre à jour cette « affaire Dreyfus » du cinéma français, quitte alors son personnage principal et perd en émotions.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Pierre Lunn
Le principal mérite de ce documentaire est de lever le voile sur l'"affaire Dreyfus" du cinéma français. On regrettera cependant sa forme rébarbative voire maladroite.
L'Obs
Natan a produit soixante films, repris la direction de Pathé, créé un réseau de salles impressionnant, relancé Pathé Journal, fait faillite, puis a été déchu de sa nationalité française par Vichy. La France l’a livré aux Allemands, et Natan a été déporté à Auschwitz, où il est mort en 1942. On découvre un personnage injustement oublié.
Le Figaro
Le documentaire produit de très intéressantes archives, et un beau florilège d'entretiens.
Libération
Qu’est-ce qu’un producteur de cinéma (français, juif) ? Pour s’en faire une idée, au passé mais juste, il faut voir "le Fantôme de la rue Francœur", entendre ses témoignages et découvrir surtout des archives rares ou inédites, comme ses extraits d’entretiens avec Charles Vanel, Raymond Bernard, le décorateur Max Douy et le trop oublié Marco de Gastyne.
Le Monde
Les amateurs apprécieront, à travers ce film passionnant consacré à un ancien patron de la firme Pathé, un morceau d’archéologie de l’industrie du cinéma français.
Ouest France
A voir, malgré sa forme scolaire et rébarbative.
Télérama
Le documentaire a le mérite de réhabiliter une personnalité majeure du cinéma.
La Croix
Mais à trop être pédagogique, se perdant parfois dans de longues digressions historiques, le documentaire dont l’ambition est de mettre à jour cette « affaire Dreyfus » du cinéma français, quitte alors son personnage principal et perd en émotions.
Première
Le principal mérite de ce documentaire est de lever le voile sur l'"affaire Dreyfus" du cinéma français. On regrettera cependant sa forme rébarbative voire maladroite.