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    Shadow in the Cloud
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    134 critiques spectateurs

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    Pascal Lecullier
    Pascal Lecullier

    15 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 avril 2021
    Pas mal, un bon film féministe. Se laisse regarder je dirais même que ça se boit comme du petit lait, spoiler: gare à la femme elle est coriace
    eldarkstone
    eldarkstone

    229 abonnés 2 093 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 avril 2021
    Une seule chose à dire : BIDON ! Un faux film de guerre en avion, teinté de Science-fiction ridicule, le tout avec des scènes a peine abusées ... vraiment pas top, je m'attendais à mieux.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 347 abonnés 7 543 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 mars 2021
    Maude Garrett une jeune pilote embarque à bord d’un bombardier B-17 avec un mystérieux sac contenant des documents classés top secret. Pendant le vol, elle et l’équipage vont devoir faire face à une embuscade japonaise ainsi qu’à une inquiétante entité maléfique.

    Second long-métrage pour la réalisatrice néo-zélandaise Roseanne Liang qui nous replonge en pleine période de la Seconde Guerre Mondiale, avec une pointe de fantastique. Si vous vous attendiez à voir un film de guerre, vous faites fausse route. On ne la verra jamais car ce n’est pas là le principal élément du film. Sachant que la quasi intégralité du film est un huis clos se déroulant dans le B-17 (en dehors de la scène d’ouverture et le final), il ne faut pas être claustrophobe pour pouvoir apprécier le film.

    Ce dernier est découpé en deux parties, la première nous permet de faire connaissance entre Maude Garrett et le reste de l’équipage (que des hommes, particulièrement misogynes et abjectes). Le film se focalise uniquement sur le personnage de Maude Garrett et il faut bien l’admettre, Chloë Grace Moretz s’en sort admirablement, d’autant plus qu’elle se retrouve dans une fâcheuse position, dans un tout petit compartiment de l’avion, à savoir une « tourelle ventrale » (une tourelle sphérique dotée de mitrailleuses, située sous l’appareil, permettant d’avoir une vue plongeante). Cette dernière se retrouve même seule face caméra pendant près de 45min (!) non-stop (on ne fera qu’entendre les autres membres d’équipage, elle-même ne les verra pas), une fâcheuse situation qui ne fera que renforcer la tension entre elle et les autres membres de l’équipage. Quant à la seconde partie, le film prend un virage à 180°C et vire dans le fantastique et nous rappellera un épisode de la célèbre série télévisée "La Quatrième Dimension" (à savoir "Nightmare at 20,000 Feet").

    L’ensemble au final ressemble surtout à une Série B à travers laquelle la réalisatrice a voulu se faire plaisir. On devine le manque de moyen mais cela ne saute pas trop aux yeux. On aurait simplement aimé un scénario un tant soit peu réaliste et qui ne parte pas en vrille aussi facilement. Shadow in the Cloud (2021) à « le cul entre deux chaises », oscillant entre le film de guerre, le fantastique et le brûlot féministe (dépeignant des hommes cons, machistes & beaufs). Certes on appréciera le clin d’œil au "Memphis Belle" (célèbre B-17 utilisé dans les années 40) à travers la toute première apparition du B-17 "The Fool's Errand", enfin il faut reconnaître que non seulement Chloë Grace Moretz porte littéralement le film sur ses épaules, mais elle s’en sort remarquablement bien.

    Sauf qu’il ne suffit d’avoir une ravissante héroïne badass & féministe, il faut aussi une intrigue convaincante, éviter les péripéties abracadabrantesques, des SFX à la hauteur (les gremlins sont particulièrement laids) et surtout, éviter l’abus de fond vert car cela décrédibilise l’ensemble.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Melchior62
    Melchior62

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 février 2021
    On pense regarder une bonne série B mélange de guerre et de fantastique et on se retrouve avec un pamphlet féministe aussi délicat qu'un bulldozer. Les mecs sont une caricature de beauf poussée tellement loin que ça en devient ridicule. Ensuite viennent des péripéties tellement abracadabrantes que l'on décroche complètement du film.

    Ok ça va on a compris : les mecs sont tous des gros cons et seule une femme peut les sauver et venir à bout d'une créature infernale. C'est dommage car traité avec talent (chose que la réalisatrice ne possède absolument pas) ça aurait pu donner une belle histoire.

    Si c'est à cela qu'il faut s'attendre pour les prochaines sorties ciné, ça fait peur.
    Michael R
    Michael R

    107 abonnés 1 271 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 février 2021
    Le film lorgne vers la 4eme Dimension, joue sur la claustrophobie, la peur du vide, le film de guerre, le film de monstres et bien plus. Certes, les mecs sont des cons mais sont sauvés par une Chloe Grace Moretz badass en diable. Sans compter une réalisation nerveuse, des FX soignés, une bande son façon Stranger Things et un soupçon de fun, voilà une petite série B fort recommandable.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 février 2021
    Extrême nul, pas plausible ! Pourtant, j'aime énormément les navets mais pour moi il ne rentre même pas dans la case "Navets nuls". Je l'ai regardé que parce que j'aime l'actrice, mais elle mérite de faire de vrais films. Du début à la fin, il se passe rien et le synopsis du site sur lequel je l'ai vu ne correspond pas... On va dire que sa seule chose que j'ai apprécié c'est que je ne m'attendais pas à cette tournure...
    axeu
    axeu

    21 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 janvier 2021
    Difficile d'évaluer ce film, je ne savais pas si je devais rire ou pleurer.
    Commence par un huis clos sur les 3/4 du film, assez long et lourd ( spoiler: l'équipage lourdingue qu'on entend exclusivement dans la radio pendant 45min
    ), puis un dernier 1/4 qui vire au gros WTF, on ne sait pas si on est dans le 1er ou le 2nd degré, on est entre 2 et ça fait Plouf.
    Aucune émotion, aucun attachement aux personnages, la fameuse "ombre", spoiler: le monstre
    , paraît au 1er abord angoissante mais n'est finalement pas très utile au scénario et prête à rire.
    La musique est aussi assez mal utilisée, j'ai eu du mal à venir à bout de ces 1h20.
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 877 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2021
    Pendant la seconde guerre mondiale, une jeune militaire embarque dans un bombardier, lesté d'un mystérieux sac. Le cinéma néo-zélandais n'est pas le dernier pour les histoires invraisemblables, absurdes et jubilatoires (Black Sheep) mais avec Shadow in the Cloud, ce sont surtout les deux premières cases qui sont cochées. Quoique, au centième degré ... Le récit est pendant très longtemps un huis-clos entre une jeune femme "prisonnière" de la tourelle d'un avion et doit avaler toutes les réflexions machistes des membres de l'équipage. Jusqu'à ce que le délire s'installe avec un bébé à bord, un gremlin dans les parages et, accessoirement, des avions japonais en piqué. C'est le règne du n'importe quoi mais assez remarquablement filmé par la sino-japonaise Roseanne Liang, qui fait admirer sa virtuosité. Et qui ne lâche pas le morceau avant la fin dans ce film féministe, série z débridée qui a le mérite de ne pas emprunter les sentiers battus et d'assumer son extravagance.
    Last Action Zero
    Last Action Zero

    75 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 janvier 2021
    Alors, oui, c'est gros. C'est un B énormissime et fauché, qui flirte allégrement avec le Z. N’ayons pas peur des mots. C'est du grand n'importe quoi stratosphérique et régressif. Pour apprécier, faut débranché la partie adulte et logique de son cerveau, et rallumer celle de la fin du collège. Une histoire popcorn, fantasmé, intimiste et symbolique, digne d'un segment de Metal Hurlant, hybridé avec un épisode de Histoires Fantastiques. Bref, c'est débile. Rien n'a l'air réaliste. Mais est-ce que ça en fait un divertissement désagréable pour autant ?... Certainement pas. Au contraire. C'est même plutôt bien bon, intrigant, prenant, haletant, jouissif et rigolo. Pas dénué de sensibilité, d'imagination et de subtilité. L'ambiance est inventive et juste parfaite. La structure narrative exponentielle est savamment bien foutu. Et les rebondissements grotesque en cascade à la Shane Black, rythme parfaitement une histoire théâtrale qui aurait pu être bien plus plate, calmement enfermé plus de la moitié du temps dans un huis clos solitaire et minimaliste, et qui tient au final sur un timbre poste d'une heure et quart, égayé seulement par un dernier tiers en feu d'artifice d’excès en tout genre. Malgré un budget visiblement au raz des pâquerettes, la mise en scène épatante est joliment agréable et picturale, millimétré au poil de mogwaï prêt, ménageant sa monture narrative avec une maitrise évidente, vers les sommets d'un délire ouvertement outrancier, et qui n'a absolument peur de rien, même pas du ridicule, quitte à nous surprendre de manière aussi improbable que délicieuse. C'est tellement n'importe quoi, qu'au bout d'un moment, on se demande avec amusement ce qu'ils vont nous pondre comme idée saugrenu et barjo. Tout peut arriver. Et ça, c'est vraiment pas désagréable. Coté casting, grâce à une prodigieuse et intelligente mise en scène, qui fait entièrement voir cette histoire à travers les yeux, les oreilles et l'esprit de son héroïne, Chloé Moretz porte littéralement à elle seule le film sur ses épaules avec charisme, et le talentueux jeu de micro mimique charmante qu'on lui connait, jusqu'à rendre son personnage véritablement iconique, quelque soit le niveau de grotesque de la séquence. Et pourtant, croyait moi qu'il y a un sacré level de nawak. La musique anachronique, et en décalage stylistique, est juste géniale et parfaitement découpé, et ajusté en symbiose avec le montage image. La bestiole full CGI n'est pas si mal faite que ça, mal une qualité évidente de tout petit téléfilm Netflix. Et cerise sur le gâteau, le pastiche de ces vieux cartoon institutionnels Private SNAFU, dédié à la pédagogie des troufions américains d'antan, j'ai trouvé ça d'un délicieux raffinement. Bref, Shadow In The Cloud ne finira pas aux Oscars. Plutôt aux Razzy catégorie WTF. Ou dans le cœur attendri et sincère, de certain fan de nanarland. Mais j'ai pourtant bien apprécié. C'est même plutôt le genre de débilité que j'apprécie beaucoup, en fait. Surtout quand il y a autant de talent dans la mise en scène, pour jongler avec un micro budget, des intrigues bête à bouffer du foin et du pur fantasme cinématographique. Deux petits conseils. Si d'habitude, vous n'aimez pas particulièrement les prestations de Chloé Moretz, évitez carrément ce film, qui vous agacera forcément au plus haut point, vu qu'il n'y a qu'elle à l'image 80% du temps. Sinon, pour les autres, laissez le charmant agir. Et si vous n'avez encore pas vu le trailer, ne le regardez pas. La surprise n'en sera que plus grande, et le choc plus délectable.
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 537 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 janvier 2021
    Popularisée par Roald Dahl, divers cartoons et, bien sûr, le célèbre épisode "Nightmare at 20,000 Feet" de "La Quatrième Dimension", la légende du Gremlin, une petite créature vicieuse sabotant les mécanismes construits par l'Homme, notamment les avions des soldats durant la guerre, avait bizarrement échappé jusqu'ici à un retour sur le devant de la scène cinématographique (on peut néanmoins imaginer que l'idée de se frotter aux films cultes de Joe Dante utilisant le nom du monstre à d'autres fins a dû refroidir bien des ardeurs). C'est désormais chose réparée -ou sabotée du point de vue du Gremlin, huhu- avec ce "Shadow in the Cloud" bien décidé à revenir à la source du mythe !

    Pendant la Seconde Guerre Mondiale, Maude Garrett, une jeune femme pilote investie d'une mission de la plus haute importance, embarque dans un avion dont l'équipage est composé exclusivement de soldats hommes. Contrainte de voyager dans la tourelle à mitrailleuse de l'appareil, elle subit inlassablement les remarques misogynes de ses compagnons quand, soudain, elle remarque la présence d'une étrange créature cherchant à détruire l'avion...

    Un environnement exclusivement masculin dans une carcasse phallique où est apposée une gigantesque pin-up, un déchaînement de testotérone insupportable où les propos dégradants font aussi mal que les tirs ennemis... Le voyage de la pauvre Maude n'est pas de tout repos dans ce microcosme qui transformerait toute féministe bien portante en Super Saiyan (niveau 3 au moins). Alors, oui, en s'inscrivant une fois de plus dans la mouvance post-#MeToo, "Shadow in the Cloud" n'y va pas avec le dos de la cuillère dans la caricature machiste afin de la dénoncer (seuls les hommes ayant un physique de jeune premier ou une couleur de peau autre que blanche seront -vaguement- épargnés) mais le fait de la fondre dans un contexte militaire viril et, surtout, dans une proposition fantastique rétro sortant pour une fois des sentiers battus, réussit à lui donner une raison d'être un peu plus pertinente au-delà de la gratuité habituelle de ce type de discours au sein de films de genre récents.
    En ce sens, dans la première moitié du film, le parti pris de se fixer uniquement sur Maude, isolée mais prise au piège d'un flot continu de paroles humiliantes de la part des soldats, devient ici une démonstration très bien pensée d'un concentré de violence verbale masculine auquel une femme peut être confrontée au cours de sa vie. La force de caractère de Maude pour résister et tenir tête à ses assauts de machisme installe d'emblée une héroïne déterminée et attachante, à laquelle une Chloë Grace Moretz en grande forme et le choix d'une mise en scène maîtrisée en vase clos rendent incroyablement bien justice.
    Et, enfin, il y a le Gremlin, incarnation à l'écran de cette part monstrueuse des hommes qui les conduit sans le savoir à leur propre perte. La menace croissante de la violence cette fois bien physique des apparitions de la créature complète le tableau d'une relecture de la légende qui s'inscrit parfaitement dans la logique de propos du film (non, ce n'est pas un hasard si Maude maltraite souvent le bout de sa queue frétillante !).
    Bref, à mi-parcours, "Shadow in the Cloud" remplit plus qu'honnêtement son contrat et laisse augurer du meilleur pour la suite !

    Malheureusement, le long-métrage de Roseanne Liang (coécrit avec Max Landis) va se crasher en plein vol à cause de ses excès. D'une part, il y a ce twist sur le background de Maude, justifiant et creusant encore plus sa combativité mais qui, par le même biais, la réduit finalement à des enjeux extrêmement réducteurs -voire primaires- pour un personnage féminin. Tout ce que l'on avait enduré avec elle nous avait fait miroiter un personnage bien plus complexe et indépendant et le voici résumé en un clin d'oeil à des motivations certes touchantes mais terriblement basiques.
    D'autre part, quand "Shadow in the Cloud" passe à la vitesse supérieure côté action pour accompagner le danger autour de Maude et de son objectif, il devient dur de ne pas être effaré devant le grotesque de certaines péripéties qui semblent éluder une bonne partie des lois de la physique. Précisons que l'on n'a absolument rien contre quelques effets cartoonesques prêtant à sourire mais un film intelligent aurait justement utilisé la rigueur de cet environnement aérien pour les provoquer plutôt que de choisir de s'en soustraire à maintes reprises. Le résultat débouche peut-être bien sur quelques séquences amusantes grâce au pep's des tonalités 80's que Roseanne Liang cherche à insuffler derrière la caméra mais, à partir du moment, où l'on fait abstraction des dangers les plus élémentaires, il devient dur de se sentir concerné par la menace représenté par ceux plus extraordinaires, comme ce Gremlin réduit désormais à sa plus simple teneur d'adversaire monstrueux.

    Le combat final tentant de rendre ses lettres d'or à la badassitude du personnage de Chloë Grace Moretz sera tout de même à saluer mais il ressemblera surtout à l'effort désespéré d'un divertissement qui n'aura pas su être à la hauteur de ses intentions. À croire qu'un Gremlin est vraiment venu saboter ce "Shadow in the Cloud" en cours de route, il aurait pu être tellement plus...
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    920 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 janvier 2021
    Shadow in the Cloud démarre bien, et est intéressant dans ses 20 premières minutes

    Sur un scénario de Max Landis (Chronicle, Bright), on est évidemment dans un mélange des genres qui fait très plaisir : en pleine WW2, une femme est à bord d'un avion entièrement constitué d'hommes. Bientôt une attaque aérienne japonaise viendra mettre le dawa, en plus d'une entité maléfique surnaturelle.


    Bref,l'ambiance se pose,on est sur du mini-budget mais la réalisation se veut carrée, mettant en scène la trop rare Chloe Moretz (depuis Kick-Ass et Hugo) en femme badass et déterminée (mais aussi faillible). En plus, d'entrée de jeu le mystère infuse via cette boîte qu'elle transporte, sa mission inconnue du spectateur et des autres membres de l'avion (qui il faut le dire, sont tous des gros beaufs à peu de choses près).


    Bref un canevas qui sent bon l'exploitation 80's, surtout que la toute première partie en huis-clos renvoie au superbe Cauchemar à 20 000 pieds de Twilight Zone, avec cette forme simiesque dont la silhouette menaçante se détache à l'extérieur de la carlingue.


    Puis patatra


    on verse vers le Z fauché, aux situations et réactions des persos toutes plus improbables les unes que les autres. Passée le teasing de la créature, on se retrouve face à un babouin Cloverfieldesque aux CGI douteux et au design ultra lambda. Le film n'arrive pas vraiment à maitriser ses variations de ton, la réalisation se veut moins maitrisée quand on veut aller vers le spectaculaire, et in fine les 2 versants du film (réalistico-fantastique) s'avèrent déceptifs.


    Heureusement le film est rythmé tout au long de ses 1h20, Chloe Moretz est bien dans son rôle, et quelques petites idées nous réveille.


    Pas de quoi sauter au plafond, et je conseille largement le film Overlord sorti en 2018 qui lui assurait bien dans le même genre !


    bref, c'est pô terrible terrible tout ça
    FaRem
    FaRem

    8 790 abonnés 9 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2021
    Une femme embarque dans un avion militaire avec un mystérieux colis dont la contenance est classée confidentielle. Alors que les hommes se montrent rapidement lourds à son encontre, cela va rapidement devenir le dernier des soucis de Maud lorsque l'avion est attaqué par les Japonais et par quelque chose d'encore plus surprenant pour l'époque. "Shadow in the Cloud" est un film d'action surnaturel au message notamment féministe. L'action se déroule principalement dans les airs et en huis clos, donc les événements s'enchainent vite, ce qui fait que l'on ne s'ennuie pas. De toute manière, comment s'ennuyer avec tout ce que propose la réalisatrice... Elle arrive toujours à surprendre avec des révélations ou des surprises farfelues. Ne vous attendez pas à voir un film de guerre classique, ce n'est absolument pas un film qui cherche à être réaliste. Il ne cherche pas non plus à être drôle, je ne crois pas du moins. C'est juste un film complètement débridé où absolument tout peut arriver. Et c'est ce qui le rend divertissant puisque l'on ne sait jamais à quoi s'attendre. Un rythme soutenu, des scènes d'action rocambolesques et une bande-son efficace font de ce film un divertissement sympathique à condition que l'on ne le prenne pas au sérieux.
    obiwan13
    obiwan13

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 janvier 2021
    Petite pépite cinématographique néo-zélandaise passée sous les Radars au milieu de blockbusters souvent décevants (tepanet lol), Shadow In the cloud est pour moi une des meilleures surprise des 5 dernières années,
    l'ambiance est excellente malgré un léger manque de moyens, la mise en scène m'a rappelé par moments ces BD d'aviation de la seconde guerre mondiale (Buck Danny, Biggles, etc...).

    Faut dire que le dernier huis-clos dans un B-17 que j'ai apprécié était "La mascotte" (Histoires Fantastiques, réalisé par Spielberg himself), la barre était assez haute, et pourtant ce film a su me
    tenir en haleine jusqu'au bout, une ambiance savamment mise en place avec une tension qui monte progressivement, la réalisatrice surfe brillamment entre action, rebondissements et fantastique, pour nous tenir en haleine jusqu'au bout du bout !

    Une Chloé Grace Moretz au mieux de sa forme qui se démène au beau milieu de cette bande de mâles patibulaires mais presque, des personnages taillés à l’emporte pièce mais qui restent crédibles, des scènes d’action assez jouissives, le film ne pas dans la dentelle mais plutôt dans le 100 % efficace, et le pari est réussi, jusqu’au générique de fin : "Hounds of Love" de Kate Bush qui arrive comme la cerise au sommet d’un délicieux gâteau, j’ai adoré !
    Cinévore24
    Cinévore24

    349 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 janvier 2021
    Mais que c'est lourd, dans le fond comme dans la forme.

    Et pourtant, le film possédait un certain potentiel dans ses premières minutes, rappelant un peu l'épisode "La Mascotte" (réalisé par Spielberg) de la série "Histoires Fantastiques".
    La déception n'en est que plus grande. Une série B du pauvre, discours féministe (écrit au tractopelle) inclus.
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