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Source d’inspiration du « Bal des vampires » de Polanski, ce « Baiser du vampire » n’est pas un classique de la firme. Si on en retrouve de très nombreux éléments qui ont fait sa renommée, il manque à cet ensemble des personnages mieux dessinés, des acteurs moins fades et une gestion plus rigoureuse du rythme et de la tension. Si Don Sharp ne démérite pas, il n’a clairement pas le talent de Terence Fischer derrière la caméra. L’histoire, certainement trop convenue, peine à réellement décoller alors que tous les éléments sont très vite portés à la connaissance du spectateur. Très clairement, le réalisateur ne parvient pas à gérer ses temps forts et ses temps faibles pour rendre son récit plus palpitant.
Le résultat est cependant loin d’être déshonorant. L’introduction, la scène du bal, le final (même s’il est vite expédié et que la Hammer a toujours été fâchée avec les trucages mettant en scène des chauve-souris) sont plutôt réussis. L’ambiance n’est pas aussi baroque que par ailleurs en dépit de la flamboyance de la robe rouge du personnage féminin principal. Par certains aspects, le film préfigure certaines atmosphères moins réussies du début des années 70 avec certains décors pas très heureux (intérieurs en carton, extérieurs minimalistes).
C’est au final un petit Hammer. Autour d’un prétexte vu à bien d’autres reprises, le résultat n’est certainement pas à la hauteur de ce qui était attendu. Les interprètes manquent de charisme pour compenser un scénario long à la détente même si cela reste globalement bien fait.
Le résultat est cependant loin d’être déshonorant. L’introduction, la scène du bal, le final (même s’il est vite expédié et que la Hammer a toujours été fâchée avec les trucages mettant en scène des chauve-souris) sont plutôt réussis. L’ambiance n’est pas aussi baroque que par ailleurs en dépit de la flamboyance de la robe rouge du personnage féminin principal. Par certains aspects, le film préfigure certaines atmosphères moins réussies du début des années 70 avec certains décors pas très heureux (intérieurs en carton, extérieurs minimalistes).
C’est au final un petit Hammer. Autour d’un prétexte vu à bien d’autres reprises, le résultat n’est certainement pas à la hauteur de ce qui était attendu. Les interprètes manquent de charisme pour compenser un scénario long à la détente même si cela reste globalement bien fait.
De beaux décors mais rien d'autres d'intéressant. Ah si, des masques sympas dans la scène du bal... masqué. Vers 55 minutes, une pointe d'intérêt trop tardive et sous-exploitée. Enfin, l'apparition des chauves-souris relève le niveau mais bien trop tard. Trop tard. Tout arrive trop tard dans ce film.
Ce troisième film de vampires signé de la Hammer n'égale en rien ses précédents: fini la majestuosité de Christopher Lee et le charme du baron Meinster, le bellâtre qui joue ici le maître d'une secte vampirique a un physyque et un jeu d'acteur dignes d'un soap opera; le scénario est similaire aux Maitresses de Dracula en moins poussé, et enfin les effets spéciaux prêtent plus à rire qu'autre chose (les chauve-souris!), et pour finir, tout ceci a pris un bon coup de vieux! A réserver aux aficionados de la firme au marteau donc.
Le Baiser du Vampire est un film de vampires tout à fait intéressant et même excellent avec de bonnes idées de mises en scène et de scénario. Les vampires ici ne chassent plus en solitaire, mais forment une sorte de secte diabolique et ils sont détruits de manière tout à fait originale même si on déplora le vieillissement des effets spéciaux lors de la scène finale.
Redzing
"The Kiss of the Vampire" était à l'origine conçu comme faisant partie de la franchise "Dracula" de la Hammer. Finalement, le projet se transforma en film autonome, et sans tête d'affiche. L'ensemble souffre ainsi de la comparaison avec les "Dracula" du même studio : le méchant Dr. Ravna apparait comme un ersatz de Christopher Lee, en moins charismatique, et le Professeur Zimmer est une version plus caricaturale de Van Helsing. On retiendra l'ambiance gothique de la Hammer de l'époque (bons décors, personnages très british, violence osée dans la dernière séquence), assez sympathique, mais le long-métrage est fade par rapport aux films réalisés par Terence Fischer. Sans compter un scénario qui ne décolle que dans sa deuxième moitié. Ainsi, il s'agit d'un film de vampire anecdotique.
Un titre à la Jean Rollin et pourtant c'est un classique de Don Sharp où la Hammer devient plus que jamais dans ces annèes là l'artisan de cette nouvelle rèvolution vampirique! Une panne sèche d'automobile et voilà qu'un jeune couple tout beau tout propre est obligè de demander l'hospitalitè dont la demeure voisine est un refuge pour les vampires! Voilà de quoi lancer une histoire du vampirisme dans un contexte dèlirant où Sharp a travaillè ènormèment sur la couleur, comme cette robe rouge vif de Jennifer Daniel durant le bal masquè, vèritable invitation pour n’importe quel vampire. "ils ne partiront pas tant que je dèsire qu'ils restent" telles sont les conditions du docteur Ravna! Le bal masquè est bien fait et le final est d'anthologie avec une armèe de chauve-souris qui attaquent et dispersent une rèunion de vampires humains! Bref, on ne s'y ennuie pas une minute...
Un bon vieux film de vampires de la hammer , moins bon que ceux avec le grand Christopher Lee mais avec une bonne ambiance gothique. malheureusement cela manque un peu de rythme et la fin est bien trop vite emballée , on reste donc mitigé à la vision de ce film qui reste Malgrès cela un film à voir
pour les fans de la hammer.
pour les fans de la hammer.
L'astuce lors de la substitution au bal(je n'en dit pas plus pour le suspens):ok.La scène baroque mais sympa des chauves souris :ok.Le jeu d'acteur du vieillard savant :ok.Mais le reste:dialogues plats style:''oh que nenni,non,oui,asseyez vous donc très chère''.La longueur de ce film si creux ,les acteurs nunuches et bebetes ,rendent ce film médiocre.
Un bon film des studios Hammer, mais pas un grand du fait de son seul véritable point faible mais qui est quand même important, l'absence de têtes d'affiche, qui a le mérite de donner une vision un peu différente des vampires que celles des Dracula et Cie. De plus, cette oeuvre, qui passe pour avoir beaucoup inspiré Roman Polanski pour "Le Bal des vampires", recèle d'excellentes scènes comme le bal masqué (difficile donc de ne pas penser au film de Polanski !!!) ou celle où les vampires se font détruire, ce qui contrebalance totalement quelques caractéristiques trop conventionnelles comme le fait qu'un jeune couple ne trouve pas mieux que de passer leur voyage de noces dans des bleds aussi paumés. En conséquence, un film de vampires loin d'être dénué de qualités.
AMCHI
Un Hammer très décevant si comme dans la plupart des films de cette maison de production on a droit à des décors de qualité et à une certaine ambiance par contre la mise en scène est très fade ne suscitant à aucun instant notre intérêt d'ailleurs le scénario n'est pas fameux. De plus les acteurs sont peu charismatiques comme la blonde dont on se fout totalement de son sort.
Ici la créature de la nuit brise la magie du couple et les destins d'une politesse, et séduit oies blanches comme sauvages harpies, d'un simple oubli: Très certainement complexe oeuvre culte Hammer très loin des récentes imitations, à l'intérieur duquel on ne veut que notre âme; ou approchant ...quitte à déplaire toutefois aux gueux et aux vulgaires roturiers. Pas mesquin et presque érotique, un sombre B-movie un peu long mais plaisant et à voir.
Dans la lignée de la mythique Hammer, ce film plutôt soigné inverse tranquillement les passages obligés du genre (les vampires évoluant, ici; le + souvent surtout baignés d'une lumière crue) malgré des effets spéciaux background il est vrai quelque peu 'cheap': Intéressant.
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