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    The King Of Staten Island
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    79 critiques spectateurs

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    Jorik V
    Jorik V

    1 267 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 août 2020
    Judd Apatow a incarné la relève de la comédie américaine il y a quinze ans avec des films tels que « 40 ans toujours puceau » ou « En cloque, mode d’emploi » qu’il a réalisé ou d’autres qu’il a produit comme « Délire express » ou « 7 ans de réflexion ». Toutes des œuvres qui ont eu un peu plus de mal à percer en France mais qui méritent l’attention par leur ton tantôt grivois et parfois lourd, tantôt mélancolique et doux-amer. Depuis quelques années, Apatow ne rencontre plus autant de succès et le voilà qui revient avec un film à priori plus personnel alors qu’il est davantage autobiographique pour son acteur principal, Pete Davidson, que pour le metteur en scène lui-même. Avec « The King of Staten Island » il réalise là peut-être son meilleur film, le plus apaisé et peut-être celui de la maturité artistique. Un cinéma qui tire plus vers l’indépendant et qui lui va à ravir pour un film qu’on sait que l’on va apprécier dès les premières séquences.



    Comme à son habitude, le cinéaste prend son temps et a du mal à couper au montage. Une comédie qui dure plus de deux heures et quinze minutes c’est peu commun. Et il est vrai qu’on pourrait tiquer et trouver le long-métrage bien trop long. Mais hormis quelques scènes dispensables (mais pas désagréables), cela permet de vraiment se plonger dans l’histoire de ce vieil adolescent (ou jeune adulte c’est selon) et son refus de grandir. Un récit d’apprentissage touchant dont l’apparente lenteur et langueur nous emporte et qui fait que l’on s’attache vraiment à ce personnage et tous ceux qui l’entourent. On est davantage face à une chronique de passage à l’âge adulte qu’une véritable comédie, c’est vraiment le portrait de Davidson ou de son alter ego de cinéma qu’il nous est donné de voir. Cet acteur inconnu ici, issu du stand-up, a un sacré charisme et s’avère la grosse révélation du film. Tantôt agaçant, attachant, drôle ou encore épuisant, il est de tous les plans et récolte tous nos suffrages. Grâce à lui, même si on rit peu dans « The King of Staten Island », on a toujours le sourire vissé aux lèvres. Et tous les acteurs, seconds et troisième rôles compris, sont savoureux. Ils forment un casting général en tous points parfait. Les personnages sont croustillants mais jamais exagérés ce qui donne lieu à pas mal de séquences mémorables aux dialogues affûtés. Et tout sonne juste et vrai dans ce film, des répliques aux situations en passant par les personnages, tous profondément attachants et joués par une bande d’acteurs peu connus mais impeccables et épatants de naturel.



    Il y a toutefois pas mal de petites pointes d’émotion parsemées tout le long du film. Et le dernier quart d’heure en contient de sacrées. Et lorsqu’apparaît le générique de fin et que l’on découvre que cette histoire est en partie autobiographique pour son personnage et acteur principal, tout le film prend un sens encore plus fort. Un personnage principal à qui cette œuvre doit beaucoup, pour ainsi dire tout, vu comment gravitent tout le scénario autour de lui. A noter que le contexte de Staten Island est rare et donne un charme particulier au très justement intitulé « The King of Staten Island ». Une œuvre souvent bavarde, parfois inutilement, mais c’est dans ce flot de dialogues ininterrompu qu’on perce à jour les personnages et leurs fêlures. Cela leur donne une psychologie et une consistance bien plus fouillée que la moyenne des comédies américaines. Il n’y a rien d’extraordinaire dans ce film mais c’est parfois l’ordinaire qui se révèle attachant et la somme de petits riens qui constitue ce long-métrage accouche d’un beau film, ni plus ni moins. Un film original durant lequel on ne s’ennuie jamais et dans lequel on voudrait s’immiscer tellement on aime ceux qui le peuplent. Et ce genre de ressenti n’arrive pas si souvent et c’est une bien jolie surprise.



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    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    630 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 août 2020
    Imbibé de touches autobiographiques de son acteur principal Pete Davidson, "The King of Staten Island" est sans doute l'oeuvre la plus mature de Judd Apatow qui nous a plutôt habitué au genre des comédies potaches ("Crazy Amy", "40 ans : mode d'emploi", "40 ans toujours puceau"...). Mais il ne perd pas la maitrise de l'humour pour autant ; au lieu de faire des comédies avec un élément dramatique, il esquisse un drame avec un élément comique. Et cet élément n'est autre que son personnage principal, Scott, un adulescent rebelle et marginal, tatoué des pieds à la tête, atteint de la maladie de Crohn et ne connaissant pas grand chose sur lui-même et sur la vie en générale. A lui seul, il rythme cette chronique aigre-douce qui s'étire et prend le temps d'explorer l'entourage de ses mésaventures. Le rire n'est ici pas gratuit et est souvent au service d'une vérité plus douloureuse, à vif ! La corde sensible n'est jamais vraiment dévoilée mais les thématiques du deuil, du passage à l'âge adulte ou encore l'ombre du 11 septembre 2001 sont au coeur de ce récit initiatique. Il y a vraiment des très beaux moments, des envolées pleines de répartie et d'émotions où les relations touchent au coeur et parlent vrai. Mais on ressent aussi des longueurs certaines qui auraient pu être détournées, ce qui donne une forme irrégulière et un peu fourre-tout au film, un peu à l'image de son personnage. L'interprétation de Marisa Tomei en mère dépassée m'a touché mais ce n'est rien à côté de celle de Bill Burr, le beau-père ami/ennemi, qui ne paye pas de mine à première vue mais qui se révèle très bien approfondi et complexe au final. Pete Davidson, au départ très agaçant, séduit par son syndrome de Peter Pan, son allure inadaptée aux responsabilités et son génie comique. "The King of Staten Island" est une petite bulle légère et fragile, aux multiples couleurs qui vrillent dans tous les sens mais qui est aussi éphémère, à l'instar d'une belle histoire d'un soir.
    moket
    moket

    523 abonnés 4 321 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2021
    J'ai eu peur, au début, de n'avoir affaire qu'à un autre film "indé" américain suivant des jeunes loosers qui zonent et qui blablatent. Heureusement, le film est bien plus que cela : très juste sur le deuil, la tristesse, les angoisses, l'accomplissement... Un film tendre et drôle où gravitent des personnages attachants autour d'un loser magnifique.
    bsalvert
    bsalvert

    404 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 janvier 2021
    Un jeune homme qui se cherche alors que son entourage a déjà trouvé sa voie. D'échec en catastrophe, il trouve le fil de sa descente et essaye de remonter. Pas palpitant.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 950 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 janvier 2022
    Une chronique familiale à la fois drôle et touchante, mais aussi avec des longueurs, comme souvent avec Judd Apatow, porté par un casting séduisant, avec notamment un Pete Davidson très attachant, qui a inspiré cette histoire.
    Santu2b
    Santu2b

    248 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2020
    Pour ce nouveau film en tant que réalisateur, Judd Apatow s'inspire beaucoup de son acteur principal, Pete Davidson, fils d'un pompier décédé durant le World Trade Center. Cette comédie est une nouvelle fois centrée sur l’immaturité. Le cinéaste met en scène un jeune homme de vingt-cinq ans fainéant, passant son temps à fumer de l'herbe avec ses potes, avec pour seul projet celui de devenir tatoueur. "The King of Staten Island" est également un long-métrage centré sur cette ville, où l'ennui et l'enclavement se vivent au quotidien. Sans intenses éclats de rires, le film reste quelque chose d'assez réussi, porté par un acteur convaincant ainsi qu'une multitude de seconds rôles savoureux (Steve Buscemi). Un pari gagnant entre la comédie et la tentation plus intimiste.
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 374 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2021
    Pas franchement en phase avec les critiques dithyrambiques sur ce film. Les personnages et leurs parcours sont intéressants mais j’ai trouvé qu’à vouloir mêler drame et comédie, cela restait un peu trop superficiel et sur un ton très teen-movie. Ma déception est sans doute beaucoup liée à mon attente vis à vis du film qui objectivement est plutôt bon mais pas au niveau de ce que les critiques m’avaient suggéré.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 354 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 septembre 2020
    Surtout connu pour pour “40 ans, toujours puceau” et “40 ans : mode d’emploi”, le réalisateur Judd Apatow revient avec une comédie nostalgique qui suit un jeune adulte tourmenté par la disparition brutale de son père pompier quand il avait sept ans. Désormais âgé de 24 ans, il doit subir la nouvelle relation de sa mère avec un autre pompier et emmener chaque jour les enfants de ce dernier à l’école. Il faut dire qu’il n’a que ça à faire. Son rêve d’ouvrir un restaurant salon de tatouage est voué à l’échec à cause de ses talents médiocres dans le dessin. Un peu trop bavard sur la durée, “The king of Staten Island” dégage malgré tout une certaine sensibilité autour du deuil et du passage à l’âge adulte.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Ufuk K
    Ufuk K

    515 abonnés 1 471 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juillet 2020
    " The King of Staten Island " est une tragi-comédie qui s’avère original mais qui finit par lasser le spectateur . En effet j'ai trouvé la durée du film (2h14) abusive pour traiter d'un tel sujet par conséquent l'histoire s'étire en longueur, d'autre part j'ai été souvent exaspéré devant le sort du personnage principal qui est souvent anti-pathique selon moi. C'est dommage car l'acteur principal Pete Davidson a une belle énergie bien accompagné de Marisa Tomei avec des moments drôles et émouvant avec l’évocation de certains sujets douloureux qui peut parler à nous tous.
    Audrey L
    Audrey L

    631 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 octobre 2021
    Judd Apatow sort de sa zone de confort (à savoir les comédies à l'humour qui tache), et rien que pour cet effort - que peu de réalisateurs osent aujourd'hui - The King of Staten Island mérite déjà le coup d’œil. Pete Davidson est très investi dans son rôle de Scott, ex-enfant traumatisé par la mort de son père devenu depuis un junkie raté, victime de troubles psycho, mais pas méchant pour deux sous. On l'adore, surtout dans les scènes où le grand gaillard se retrouve à jouer la baby-sitter, docilement et y prenant même plaisir. Les grands atouts de cette comédie dramatique résident bien dans son caractère d'OVNI dans la filmo d'Apatow et dans l'interprétation sublime de Pete Davidson. Au-delà de ces deux (très beaux et copieux) points, on tiquera un peu sur le côté facile du scénario (que de portes ouvertes enfoncées...), sur les bons sentiments qui affluent, sur une mise en scène parfois maladroite avec les scènes de pur drame : on sent que c'est nouveau pour Apatow (il ajoute souvent des notes d'humour là où il aurait fallu pousser un peu plus le tragique, ou bien tombe dans l'opposé total en fonçant dans le mélo le plus parfait...). Difficile pour lui de trouver le juste milieu entre son réflexe de dégainer le gag cocasse (qui casse le drame) ou de vouloir souligner visiblement qu'il s'agit d'un moment émotion. Mais cette maladresse ne nous rappellera pas moins que le bonhomme est justement en train d'essayer, et se donne vraiment du mal (ce qu'on apprécie). On regrettera alors seulement la longueur de 2h15 qui est un brin excessive, la fin qui ne répond à aucune question (un goût amer, si l'on s'intéressait à l'avenir de Scott), et un scénario dont on aurait pu attendre plus. Mais The King of Staten Island est très loin de décevoir, il surprend souvent, nous fait tantôt sourire face aux pitreries de Scott, tantôt réfléchir à la place des familles dans les métiers à risque ou aux quartiers pauvres de Staten Island, et tantôt fondre dans les séquences avec les enfants. Drôle, triste et tendre, Pete Davidson nous a Scott-ché.
    Fabien S.
    Fabien S.

    543 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2023
    Une très bonne comédie de Judd Apatow avec Pete Davidson,Marisa Tomei , Steve Buscemi et Maude Apatow, la fille du réalisateur.
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2020
    Que l’on soit adepte ou non des diverses fables de l’adolescence de Judd Apatow, le cinéaste ne démérite pourtant pas toutes les distinctions qu’il convoque. Entre la sublime direction de comédiens et les sujets qu’il aborde, il continue de faire rêver ses personnages adultes au cœur chaud, mais qui doivent faire encore quelques pas vers la maturité et le conformisme, thème récurrent dans sa filmographie. De « 40 ans, toujours puceau » à « Crazy Amy », malgré son enthousiasme, le maître de la comédie US s’essouffle un peu. Mais il entrevoit de rebondir au lieu de se laisser aspirer par un manque de succès. Il prend enfin le risque de virer de bord et comme pour son cinéma, il finit par établir une jonction avec la maturité.

    On nous plonge dans une banlieue de New-York, qui n’a plus rien de fantasmagorique, car le fameux rêve Américain ne semble plus avoir de sens ou de pertinence. Au contraire, cette ville évoque une vieille cicatrice, assez subtilement dès lors que l’on connaît l’origine de l’écriture. Au milieu des débris de Staten Island, l’humoriste Pete Davidson prête ainsi son deuil et son corps tatoué à ce projet, clairement à contrecourant d’un réalisateur qui cherche à se renouveler. Mais il n’est pas question de la personnalité publique, il est question de Scott Carlin, un gamin errant dans les rues entre drogue, sexe et mélancolie. La scène d’ouverture est d’ailleurs représentative de sa lutte pendant toute son évolution, malmené à coup de hasard de sacrifices et de responsabilités. En fermant les yeux sur ceux-ci, il se dédouane évidemment d’un manque, qu’il traine constamment dans sa démarche, sa spontanéité et sa naïveté. Et ce sont pourtant des éléments qui séduiront chez cet homme, mentalement jeune et fébrile.

    En revanche, ce qui patine toujours dans la narration d’Apatow c’est son rythme. Bien que l’on ressente son élan, le cinéaste peine à faire avancer son personnage. En soi, son parcours n’illustre qu’un fragment de vie qui ne se construit que par des juxtapositions de dérapages. Il manque parfois de consistance dans les transitions et des longueurs se créent inévitablement. Mais tout l’âme de l’œuvre ne tourne pas autour de ces détails scénaristiques, car il ne s’agit plus que de filmer un personnage, authentiquement incarner par l’âme d’un orphelin. On le caractérise toujours à travers l’amour, mais ce sera du côté familial que le réconfort viendra. D’abord avec sa sœur Claire (Maude Apatow), qui réussit son émancipation. Puis avec sa mère, Margie, qui nous donne l’occasion de confirmer une Marisa Tomei toujours impériale. Il existera également un semblant de cohésion dans le groupe d’ami, mais ce faux-clan ne fait que servir le trône de Scott, l’aiguille à la main et les émotions sur la peau. De cette manière il exprime ses rêves et ses ambitions primaires. Mais la vie est constamment en mouvement, d’où la catalyse de l’action par des pompiers généreux, mais relativement peu incarner pour exister dans le même récit de Scott.

    Pourtant, avec la pointe d’humour qui découle de d’un script efficace et de personnages attachants. Le film annonce un double retour, celui de deux nouveaux adultes, où comédien et réalisateur se partagent les pouvoirs au sommet d’un île, qui ouvre des horizons et davantage de possibilités derrière l’ombre de leur passé respectif. Que ce soit dans le mode de vie ou dans une carrière qui piétine, il y a de grands échos autour d’un projet à bâtir et le récit prend soin d’expliquer en quoi la pose de la première pierre peut significativement changer toute un monde, entre le rire et les larmes. Ainsi, « The King of Staten Island » prend tout son sens dans un dernier plan symbolique. Le héros finit par voir les choses en grand et par changer de perspective afin de mieux avancer, tout en épousant la richesse de son environnement.
    Shephard69
    Shephard69

    331 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 décembre 2021
    Un film de prime abord assez difficile d'accès à cause du caractère profondément immature et totalement insupportable de son personnage principal mais un ensemble qui gagne énormément en sympathie une fois passé cet écueil. Adapté de la véritable histoire de l'acteur, un long-métrage qui s'intéresse aux séquelles du deuil chez les proches et notamment les enfants d'un homme héroïsé par sa fonction, ici un pompier mort lors d'une intervention, mais qui offre en réalité une vision plus contrastée. Au final, une réalisation de Judd Apatow qui se révèle très touchante malgré une mise en scène brouillonne, des séquences qui possèdent une drôle de sonorité. Une bonne surprise.
    Loïck G.
    Loïck G.

    334 abonnés 1 668 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 octobre 2020
    Un film plus que sympa qui entre le quotidien des pompiers du monde entier et la maladie de Crohn réussit à nous entraîner dans le quotidien d’un ado presque adulte, en âge, mais gamin jusqu’au bout de ses réflexions. Scott le reconnait lui-même qu’il n’est pas très mature, et à part faire des tatouages sur des copains cobayes, il ne voit pas ce qu’il pourrait faire. Il dit que la mort de son père dans un incendie l’a traumatisé à tout jamais et il se voit bien vivre auprès de sa mère, le reste de ses jours. Mais quand celle-ci tombe amoureuse, après 17 ans de veuvage, Scott est atterré, l’homme en question n’étant autre qu’un pompier qu’il a déjà connu et pas du tout apprécié. Le cinéaste sait très bien raconter ce genre d’histoires, et leur donner un fond de vérité quand la raison échappe au scénario. Ecrit au petit oignon, avec une direction d’acteurs et des acteurs au taquet. Excellent moment de cinéma . AVIS BONUS De nombreuses scènes coupées, certaines dans la lignée du film, une fin alternative, et des moments de rigolade...
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    2985
    2985

    248 abonnés 1 034 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 septembre 2020
    Comédie autobiographique plutôt réussie, même si au final le scénario est très léger et qu'il ne se passe pas grand chose, l'humour est plutôt bien dosé tout en alternant les émotions, tantôt léger, parfois plus dramatique sans jamais tombé dans le pataud. De plus c'est bien interpréter. Apatow signe un vod plutôt attachant même si le tous n'es pas parfait.
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