Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Judd Apatow délaisse le cool potache pour le portrait rugueux et tendre d’une vie en suspens.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce récit intime et douloureux, de perte, de chagrin et de deuil, se transfigure en comédie de fantômes, hantée par les spectres du 11-Septembre, par son père Scott Davidson et les milliers de victimes des attentats, auxquelles on songe, dans cet étrange rire de cendres qui nous secoue.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Judd Apatow signe la comédie la plus désarmante et épatante de l’année (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Ouest France
par Gaël Gohen
Un récit initiatique qui rappelle que Judd Apatow reste le patron de la comédie US.
20 Minutes
par Caroline Vié
Judd Apatow s’est imposé comme un maître de l’humour américain depuis le début des années 2000. « The King of Staten Island » semble plus mûr que ses œuvres précédentes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
L’auteur de «40 ans, toujours puceau» qui excelle dans la comédie américaine, signe son grand retour avec cette histoire fortement inspirée de la vie de son acteur principal, Pete Davidson, révélé dans «Saturday Night Live».
La critique complète est disponible sur le site CNews
Critikat.com
par Damien Bonelli
Cinq ans après le ratage de Crazy Amy, qui confirmait la baisse de régime accusée par son cinéma depuis son entrée dans l’âge adulte, Judd Apatow renoue avec l'inspiration juvénile de ses débuts.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Delbecq
On aime les dialogues crus, les situations à la fois drôles et tristes et surtout l'énergie à revendre de Pete Davidson, irrésistible avec sa bouche à la Mick Jagger.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une comédie douce-amère trempée dans la réalité de la vie de Pete Davidson, comique de stand-up qui rejoue avec brio son vrai rôle face à la caméra tendre et amusée de Judd Apatow.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Comme dans ses plus belles réussites, de « Freaks and Geeks » à « En cloque, mode d’emploi », Apatow nous donne le sentiment de côtoyer intimement ses personnages d’inadaptés, à peine plus névrosés que nous, mais bien plus drôles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Chronique aigre-douce de la vie d’un adulescent (touchant Pete Davidson) mal dans sa peau et dans sa tête, la dernière comédie de Judd Apatow aborde avec sensibilité le travail de deuil et le passage à l’âge adulte.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Catherine Balle
Judd Apatow, le réalisateur de « 40 ans, toujours puceau » ou « En Cloque, mode d'emploi », signe ici un long-métrage au ton doux-amer, singulier et très bien écrit.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François Rieux
Après plus de 20 ans de carrière, le roi de la comédie américaine se réinvente grâce au talent d'un nouveau petit génie comique : l'inconnu au bataillon Pete Davidson.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Judd Apatow revient au grand écran en s’inspirant de la vie de son interprète principal, l’agaçant puis génial Pete Davidson. Une comédie douce-amère touchante et sincère.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
[...] le roi de la comédie US signe une comédie douce-amère, un film d’apprentissage et le portrait touchant d’un beautiful loser. [...] Si tous les fondamentaux de son cinéma demeurent, il y a ici quelque chose de plus rugueux, à vif [...].
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
[...] la visée de "The King of Staten Island" est le contraire de «raconter». Il préfère s’hébéter, s’étirer, palabrer - et c’est, à tous les sens, un beau film de l’attardement. Un film d’adulte contrarié, un film d’Apatow en somme, mais puisé à son inspiration la plus noire, la meilleure, celle de "Funny People".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une nouvelle fiction qui se distingue nerveusement de l’ordinaire dans la production américaine contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thierry Cheze
Comme à son habitude, Apatow prend son temps pour faire récit. Y a-t-il des longueurs ? Certainement. Aurait-il pu resserrer son propos ? Indubitablement. Mais The King of Staten Island ne tourne jamais à vide.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
[Une] comédie douce-amère, parfaitement écrite et servie par des interprètes exceptionnels.
Télérama
par Marie Sauvion
Une de ces comédies douces-amères où Judd Apatow excelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A. V.
Des longueurs, de l'émotion et de l'humour : la patte Apatow.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le récit touchant et attachant d’un jeune-homme un peu perdu qui pousse autant au rire qu’à la mélancolie grâce à un comédien, Pete Davidson, qui ne faillit jamais au grotesque.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Joints, humeur, camaraderie, la combinaison est éprouvée, mais elle se pare ici d’une tonalité plus douloureuse.
Franceinfo Culture
par Marine Langlois
Judd Apatow faisant rarement des films de moins de deux heures, ce sixième long métrage a quelques longueurs. Mais l’ensemble reste une belle réussite.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film aura, au passage, insensiblement muté en mélodrame freudien, échangeant sa forme fragmentaire et primesautière contre un récit plus programmé et structuré, avançant désormais à fortes rasades de bons sentiments vers larédemption du jeune héros. Rien n’empêche d’en être touché, à défaut de rester troublé par la singularité du personnage.
Positif
par Adrien Gombeaud
Judd Apatow poursuit son petit ouvrage, avec son humour potache, son sens du dialogue, sa tendresse sincère pour les plus faibles... et son authentique mais inexplicable aversion pour la concision.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Entre rire et émotion, ce portrait signé Judd Apatow prend son temps, mais sait créer un véritable attachement pour son personnage principal, loser magnifique.
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
Répétitif et mollasson, le film ennuie et peine à imposer son rythme. On voudrait se laisser porter, mais il y a quelque chose qui coince entre le programme narratif et les moyens mis à disposition : on est toujours un peu à côté, on rit peu et l’émotion suggérée n’est pas toujours au rendez-vous.
CinemaTeaser
Judd Apatow délaisse le cool potache pour le portrait rugueux et tendre d’une vie en suspens.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce récit intime et douloureux, de perte, de chagrin et de deuil, se transfigure en comédie de fantômes, hantée par les spectres du 11-Septembre, par son père Scott Davidson et les milliers de victimes des attentats, auxquelles on songe, dans cet étrange rire de cendres qui nous secoue.
Le Dauphiné Libéré
Judd Apatow signe la comédie la plus désarmante et épatante de l’année (...).
Ouest France
Un récit initiatique qui rappelle que Judd Apatow reste le patron de la comédie US.
20 Minutes
Judd Apatow s’est imposé comme un maître de l’humour américain depuis le début des années 2000. « The King of Staten Island » semble plus mûr que ses œuvres précédentes.
CNews
L’auteur de «40 ans, toujours puceau» qui excelle dans la comédie américaine, signe son grand retour avec cette histoire fortement inspirée de la vie de son acteur principal, Pete Davidson, révélé dans «Saturday Night Live».
Critikat.com
Cinq ans après le ratage de Crazy Amy, qui confirmait la baisse de régime accusée par son cinéma depuis son entrée dans l’âge adulte, Judd Apatow renoue avec l'inspiration juvénile de ses débuts.
Elle
On aime les dialogues crus, les situations à la fois drôles et tristes et surtout l'énergie à revendre de Pete Davidson, irrésistible avec sa bouche à la Mick Jagger.
L'Humanité
Une comédie douce-amère trempée dans la réalité de la vie de Pete Davidson, comique de stand-up qui rejoue avec brio son vrai rôle face à la caméra tendre et amusée de Judd Apatow.
L'Obs
Comme dans ses plus belles réussites, de « Freaks and Geeks » à « En cloque, mode d’emploi », Apatow nous donne le sentiment de côtoyer intimement ses personnages d’inadaptés, à peine plus névrosés que nous, mais bien plus drôles.
La Croix
Chronique aigre-douce de la vie d’un adulescent (touchant Pete Davidson) mal dans sa peau et dans sa tête, la dernière comédie de Judd Apatow aborde avec sensibilité le travail de deuil et le passage à l’âge adulte.
Le Parisien
Judd Apatow, le réalisateur de « 40 ans, toujours puceau » ou « En Cloque, mode d'emploi », signe ici un long-métrage au ton doux-amer, singulier et très bien écrit.
Le Point
Après plus de 20 ans de carrière, le roi de la comédie américaine se réinvente grâce au talent d'un nouveau petit génie comique : l'inconnu au bataillon Pete Davidson.
Les Fiches du Cinéma
Judd Apatow revient au grand écran en s’inspirant de la vie de son interprète principal, l’agaçant puis génial Pete Davidson. Une comédie douce-amère touchante et sincère.
Les Inrockuptibles
[...] le roi de la comédie US signe une comédie douce-amère, un film d’apprentissage et le portrait touchant d’un beautiful loser. [...] Si tous les fondamentaux de son cinéma demeurent, il y a ici quelque chose de plus rugueux, à vif [...].
Libération
[...] la visée de "The King of Staten Island" est le contraire de «raconter». Il préfère s’hébéter, s’étirer, palabrer - et c’est, à tous les sens, un beau film de l’attardement. Un film d’adulte contrarié, un film d’Apatow en somme, mais puisé à son inspiration la plus noire, la meilleure, celle de "Funny People".
Marianne
Une nouvelle fiction qui se distingue nerveusement de l’ordinaire dans la production américaine contemporaine.
Première
Comme à son habitude, Apatow prend son temps pour faire récit. Y a-t-il des longueurs ? Certainement. Aurait-il pu resserrer son propos ? Indubitablement. Mais The King of Staten Island ne tourne jamais à vide.
Télé 7 Jours
[Une] comédie douce-amère, parfaitement écrite et servie par des interprètes exceptionnels.
Télérama
Une de ces comédies douces-amères où Judd Apatow excelle.
Voici
Des longueurs, de l'émotion et de l'humour : la patte Apatow.
aVoir-aLire.com
Le récit touchant et attachant d’un jeune-homme un peu perdu qui pousse autant au rire qu’à la mélancolie grâce à un comédien, Pete Davidson, qui ne faillit jamais au grotesque.
Cahiers du Cinéma
Joints, humeur, camaraderie, la combinaison est éprouvée, mais elle se pare ici d’une tonalité plus douloureuse.
Franceinfo Culture
Judd Apatow faisant rarement des films de moins de deux heures, ce sixième long métrage a quelques longueurs. Mais l’ensemble reste une belle réussite.
Le Monde
Le film aura, au passage, insensiblement muté en mélodrame freudien, échangeant sa forme fragmentaire et primesautière contre un récit plus programmé et structuré, avançant désormais à fortes rasades de bons sentiments vers larédemption du jeune héros. Rien n’empêche d’en être touché, à défaut de rester troublé par la singularité du personnage.
Positif
Judd Apatow poursuit son petit ouvrage, avec son humour potache, son sens du dialogue, sa tendresse sincère pour les plus faibles... et son authentique mais inexplicable aversion pour la concision.
Télé Loisirs
Entre rire et émotion, ce portrait signé Judd Apatow prend son temps, mais sait créer un véritable attachement pour son personnage principal, loser magnifique.
La Septième Obsession
Répétitif et mollasson, le film ennuie et peine à imposer son rythme. On voudrait se laisser porter, mais il y a quelque chose qui coince entre le programme narratif et les moyens mis à disposition : on est toujours un peu à côté, on rit peu et l’émotion suggérée n’est pas toujours au rendez-vous.
Le Figaro
Le film s'enlise et patine assez vite.