Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
L’humour, tout comme le suspense, ne manque pas dans ce film qui offre une relecture vitaminée d’un grand mythe de l’horreur [...].
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
En scrutant l’humain derrière le spectacle, en s’entichant de personnages qui essaient de « faire quelque chose pour eux, pour une fois », des personnages en quête de catharsis, Zack Snyder, après cinq ans passés dans les abîmes, semble parvenir à son propre apaisement.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Filmsactu
par Olivier Portnoi
C'est inégal mais fun, bourrin, euphorisant et salissant.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
On est bien loin de l'analyse sociétale d'un George A. Romero, mais le fonds de commerce de Snyder est le plaisir immédiat, la montée d'adrénaline, la virtuosité graphique, et une fois de plus, il se révèle exemplaire dans ce registre.
Le Parisien
par Michel Valentin
Rodé aux grosses productions, Snyder ne lésine pas sur les scènes de carnage dans ce blockbuster au rythme effréné, dans lequel le sang coule à flots et les zombies se révèlent particulièrement féroces.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Philippe Rouyer
Son film regorge ainsi de trouvailles visuelles comme le tigre blanc zombifié ou la hiérarchie pyramidale de la communauté des morts-vivants. Et, comme dans Watchmen, l’éblouissant générique de début est un court métrage à lui seul. On en redemande.
Sud Ouest
par Philippe Belhache
Une scène d’exposition un peu longue – mais révélatrice de la tendance de l’armée américaine à jouer avec les allumettes – et un générique outrancier pourraient laisser croire que Znyder a cédé à ses plus bas instincts. Mais c’est au moment où il relâche la pression que le film révèle sa vraie nature.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Ecran Large
par Simon Riaux
Plutôt que le renouvellement d'un cinéaste rincé, c'est une lente agonie stylistique qui nous attend dans les rues sablonneuses de Vegas. Il s'en faut d'une poignée de scènes divertissantes et plaisamment bourrines pour que Snyder échappe à la catastrophe totale.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Simon Cherner
Après Justice League, Zack Snyder retourne à ses premiers amours avec ce film d’action divertissant et sépulcral.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Mad Movies
par Laurent Duroche
Le cinéaste a donc choisi de profiter de la liberté offerte par Netflix pour transformer un actioner horrifico-bourrin en une oraison funèbre faussement colorée.
Première
par François Léger
Une série Z maquillée en blockbuster, bourrée de défauts mais authentiquement fun.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Nerveux et « clipesque », avec ses super ralentis, ce blockbuster vitaminé aux effets spéciaux ressemble un peu trop à un Ocean’s Elevenvenu d’outre-tombe pour totalement passionner.
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
A cet égard Army of the Dead fait un peu plus que tenir ses promesses en matière de spectacle destructeur (sans craindre de frôler parfois la série Z, il faut bien le dire): il réinvite la mort dans un champ du divertissement qu’on croyait désespérément formaté, la fait surgir comme un couperet aléatoire, voire un peu idiot, mais en tout cas humain.
Critikat.com
par Josué Morel
Blockbuster limité, Army of the Dead est toutefois moins un film de zombies qu’une séance chez le psy à ciel ouvert, et c'est là son intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Les alphas zombies, vilains pourtant prometteurs, n’ont aucune consistance, aucune profondeur, contrairement à ceux du si beau "Land of the Dead" de Romero. [...] Ils illustrent, en somme, le gâchis de ce film, qui n’a rien de désagréable mais qui n’apporte rien de neuf ou de stimulant à un corpus déjà riche.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marius Chapuis
[...] Snyder est du genre à se prendre très au sérieux et le film déroule bien vite une partition premier degré de film d’action sous influence James Cameron époque Aliens. Du Las Vegas transformé en ersatz de taule à la New York 1997, il ne donne rien à voir ou presque : une rue au cadre trop étroit, de vilains fonds verts et quantité de couloirs grisâtres.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Point
par Philippe Guedj
Un machin paresseux et prétentieux, moche et laborieux, mais aussi moralement très limite au nom du camp du bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
20 Minutes
L’humour, tout comme le suspense, ne manque pas dans ce film qui offre une relecture vitaminée d’un grand mythe de l’horreur [...].
CinemaTeaser
En scrutant l’humain derrière le spectacle, en s’entichant de personnages qui essaient de « faire quelque chose pour eux, pour une fois », des personnages en quête de catharsis, Zack Snyder, après cinq ans passés dans les abîmes, semble parvenir à son propre apaisement.
Filmsactu
C'est inégal mais fun, bourrin, euphorisant et salissant.
L'Ecran Fantastique
On est bien loin de l'analyse sociétale d'un George A. Romero, mais le fonds de commerce de Snyder est le plaisir immédiat, la montée d'adrénaline, la virtuosité graphique, et une fois de plus, il se révèle exemplaire dans ce registre.
Le Parisien
Rodé aux grosses productions, Snyder ne lésine pas sur les scènes de carnage dans ce blockbuster au rythme effréné, dans lequel le sang coule à flots et les zombies se révèlent particulièrement féroces.
Positif
Son film regorge ainsi de trouvailles visuelles comme le tigre blanc zombifié ou la hiérarchie pyramidale de la communauté des morts-vivants. Et, comme dans Watchmen, l’éblouissant générique de début est un court métrage à lui seul. On en redemande.
Sud Ouest
Une scène d’exposition un peu longue – mais révélatrice de la tendance de l’armée américaine à jouer avec les allumettes – et un générique outrancier pourraient laisser croire que Znyder a cédé à ses plus bas instincts. Mais c’est au moment où il relâche la pression que le film révèle sa vraie nature.
Ecran Large
Plutôt que le renouvellement d'un cinéaste rincé, c'est une lente agonie stylistique qui nous attend dans les rues sablonneuses de Vegas. Il s'en faut d'une poignée de scènes divertissantes et plaisamment bourrines pour que Snyder échappe à la catastrophe totale.
Le Figaro
Après Justice League, Zack Snyder retourne à ses premiers amours avec ce film d’action divertissant et sépulcral.
Mad Movies
Le cinéaste a donc choisi de profiter de la liberté offerte par Netflix pour transformer un actioner horrifico-bourrin en une oraison funèbre faussement colorée.
Première
Une série Z maquillée en blockbuster, bourrée de défauts mais authentiquement fun.
Télé 7 Jours
Nerveux et « clipesque », avec ses super ralentis, ce blockbuster vitaminé aux effets spéciaux ressemble un peu trop à un Ocean’s Elevenvenu d’outre-tombe pour totalement passionner.
Cahiers du Cinéma
A cet égard Army of the Dead fait un peu plus que tenir ses promesses en matière de spectacle destructeur (sans craindre de frôler parfois la série Z, il faut bien le dire): il réinvite la mort dans un champ du divertissement qu’on croyait désespérément formaté, la fait surgir comme un couperet aléatoire, voire un peu idiot, mais en tout cas humain.
Critikat.com
Blockbuster limité, Army of the Dead est toutefois moins un film de zombies qu’une séance chez le psy à ciel ouvert, et c'est là son intérêt.
Les Inrockuptibles
Les alphas zombies, vilains pourtant prometteurs, n’ont aucune consistance, aucune profondeur, contrairement à ceux du si beau "Land of the Dead" de Romero. [...] Ils illustrent, en somme, le gâchis de ce film, qui n’a rien de désagréable mais qui n’apporte rien de neuf ou de stimulant à un corpus déjà riche.
Libération
[...] Snyder est du genre à se prendre très au sérieux et le film déroule bien vite une partition premier degré de film d’action sous influence James Cameron époque Aliens. Du Las Vegas transformé en ersatz de taule à la New York 1997, il ne donne rien à voir ou presque : une rue au cadre trop étroit, de vilains fonds verts et quantité de couloirs grisâtres.
Le Point
Un machin paresseux et prétentieux, moche et laborieux, mais aussi moralement très limite au nom du camp du bien.