Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
par Genica Baczynski
Le film est un essai douloureux et renversant, un éloge de la perte assumée comme inéluctable condition au renouveau des luttes et de leurs récits.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Clarisse Fabre
Nos défaites fait le constat, troublant, d’un héritage politique qui n’a pas été transmis, ni par l’école ni par la famille. C’est aussi un film de langage, bouleversant, captant le vocabulaire et le visage adolescents en pleine mue – l’expression « du coup » est utilisée à tout bout de champ, telle une béquille raccrochant des bouts de phrase.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Le cinéma devient témoin de la naissance d'une pensée politique actuelle. C'est pourquoi "Nos défaites" est finalement optimiste. Si le film acte l'échec du cinéma comme détonateur d'un engagement politique, il le célèbre dans sa capacité à mettre une pensée au travail.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par François Ekchajzer
Une œuvre singulière, qui souligne avec une franchise salutaire l’appauvrissement vertigineux de notre culture politique… Jusqu’à la séquence finale, touche d’espoir salvatrice d’un film à contre-courant de la démagogie ambiante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
L’idée géniale du cinéaste a été de proposer à des lycéens de s’exprimer face caméra sur leur vision de la société et de la politique, mais aussi de leur faire rejouer, sur un mode de reconstitution historique, des séquences majeures du cinéma militant de l’époque post-68.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Sympathique mais inquiétant.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Grâce à un dispositif astucieux, avec les jeunes d’un lycée, le nouveau film de Jean- Gabriel Périot rend compte des métamorphoses de l’esprit de révolte.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
En ressort au moins le portrait en demi-teinte de cette jeunesse française actuelle, dont une étincelle peut faire éclater à tout moment la révolte.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
On voit d’un côté le charme de la spontanéité, de l’hésitation de ces intervenants, et de l’autre, la passivité, l’absence de prise de position et une ignorance sidérante : Le syndicat ? De la politique.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
(…) Comment le corps des adolescents reçoit-il une parole venue du passé, au-delà de la compréhension des mots ? Au meilleur du film, ces questions sont posées et sont plus passionnantes que l’interro surprise qu’il nous demande de surveiller.
Critikat.com
par Josué Morel
C'est l'un des problèmes du film : s’il pointe une manifeste déliquescence de la connaissance du politique, il ne va pas sans organiser, par des choix de montage, un certain défaitisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Sylvestre Picard
Si les lycéens font preuve d’une percutante intelligence dans leurs réponses, le procédé (à l’image des films reproduits par Périot et ses élèves) semble surgi d’un autre âge : celui de la révérence à une lutte passée (celle de Mai 68, évidemment), à ses images et son vocabulaire. Peu de charme, donc.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Il y a presque une indécence à nommer documentaire ce film qui ressemble à un vague essai cinématographique, conçu sans moyens, et mettant en scène des adolescents moins comédiens qu’apprentis philosophes. On s’ennuie beaucoup dans cet exercice de style maladroit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Le film est un essai douloureux et renversant, un éloge de la perte assumée comme inéluctable condition au renouveau des luttes et de leurs récits.
Le Monde
Nos défaites fait le constat, troublant, d’un héritage politique qui n’a pas été transmis, ni par l’école ni par la famille. C’est aussi un film de langage, bouleversant, captant le vocabulaire et le visage adolescents en pleine mue – l’expression « du coup » est utilisée à tout bout de champ, telle une béquille raccrochant des bouts de phrase.
Les Inrockuptibles
Le cinéma devient témoin de la naissance d'une pensée politique actuelle. C'est pourquoi "Nos défaites" est finalement optimiste. Si le film acte l'échec du cinéma comme détonateur d'un engagement politique, il le célèbre dans sa capacité à mettre une pensée au travail.
Télérama
Une œuvre singulière, qui souligne avec une franchise salutaire l’appauvrissement vertigineux de notre culture politique… Jusqu’à la séquence finale, touche d’espoir salvatrice d’un film à contre-courant de la démagogie ambiante.
La Septième Obsession
L’idée géniale du cinéaste a été de proposer à des lycéens de s’exprimer face caméra sur leur vision de la société et de la politique, mais aussi de leur faire rejouer, sur un mode de reconstitution historique, des séquences majeures du cinéma militant de l’époque post-68.
Le Journal du Dimanche
Sympathique mais inquiétant.
Les Fiches du Cinéma
Grâce à un dispositif astucieux, avec les jeunes d’un lycée, le nouveau film de Jean- Gabriel Périot rend compte des métamorphoses de l’esprit de révolte.
Libération
En ressort au moins le portrait en demi-teinte de cette jeunesse française actuelle, dont une étincelle peut faire éclater à tout moment la révolte.
Positif
On voit d’un côté le charme de la spontanéité, de l’hésitation de ces intervenants, et de l’autre, la passivité, l’absence de prise de position et une ignorance sidérante : Le syndicat ? De la politique.
Cahiers du Cinéma
(…) Comment le corps des adolescents reçoit-il une parole venue du passé, au-delà de la compréhension des mots ? Au meilleur du film, ces questions sont posées et sont plus passionnantes que l’interro surprise qu’il nous demande de surveiller.
Critikat.com
C'est l'un des problèmes du film : s’il pointe une manifeste déliquescence de la connaissance du politique, il ne va pas sans organiser, par des choix de montage, un certain défaitisme.
Première
Si les lycéens font preuve d’une percutante intelligence dans leurs réponses, le procédé (à l’image des films reproduits par Périot et ses élèves) semble surgi d’un autre âge : celui de la révérence à une lutte passée (celle de Mai 68, évidemment), à ses images et son vocabulaire. Peu de charme, donc.
aVoir-aLire.com
Il y a presque une indécence à nommer documentaire ce film qui ressemble à un vague essai cinématographique, conçu sans moyens, et mettant en scène des adolescents moins comédiens qu’apprentis philosophes. On s’ennuie beaucoup dans cet exercice de style maladroit.