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29 critiques presse
Marie Claire
par Juliette Hochberg
Parce que Simone Veil n’aimait pas l’expression "devoir de mémoire", ce film est un "devoir de transmission". À projeter devant toutes les paires de yeux.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Bouleversant et utile.
Public
par Sarah Lévy Laithier
Elsa Zylberstein livre une performance magistrale.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
La parole et les écrits de la grande dame irriguent l’odyssée de cet esprit libre, prompt à la rébellion.
20 Minutes
par Caroline Vié
Rebecca Marder devait se plier à plus de quatre heures quotidiennes de maquillage pour devenir Simone. Cette implication a porté ses fruits tant sa composition émeut, particulièrement dans sa relation avec sa mère jouée par Elodie Bouchez.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Samuel Loutaty
Ce biopic d'Olivier Dahan retrace de façon impressionniste la vie, riche et pleine de résilience, de Simone Veil.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Avec le sérieux qui s'imposait, ce film salue le courage de Simone Weil.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Olivier Dahan ne réalise pas une hagiographie mais le portrait d'une femme traversée par l'histoire et dont le destin est la résultante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
LCI
par Rania Hoballah
Loin du biopic classique, le film réalisé par Olivier Dahan (La Môme, Grace de Monaco) propose un portrait à la fois intime et grandiose d'une femme dont la vie a été marquée par des tragédies, mais surtout par des combats qui ont marqué la société.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Ça semble désordonné mais les scènes finissent par se répondre. Olivier Dahan ne craint pas son sujet. C’est une qualité. Il rappelle le passé de magistrate, le combat sur l’état des prisons.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
Le réalisateur signe un hommage vibrant à Simone Veil, incarnée avec passion par Rebecca Marder puis Elsa Zylberstein.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Plus qu'un biopic, un portrait intime et un grand film sur la mémoire.
Télé Loisirs
par C.C.
La talentueuse Elsa Zylberstein incarnant Simone Veil, cela ne peut donner qu'un film poignant.
Voici
par La Rédaction
Elsa Zylberstein incarne une Simone Veil adulte avec une grande conviction.
CNews
par La rédaction
«Simone, le voyage du siècle», un film nécessaire pour ne pas oublier, parfois desservi par une mise en scène outrancière et une musique omniprésente qui pousse le pathos à l’excès. Alors que le sujet suffit à lui-même.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Figaro
par Claire Bommelaer
Olivier Dahan s’est intéressé à la femme politique devenue une icône. Rebecca Marder et Elsa Zylberstein l’incarnent avec une grande justesse, de son l’enfance à la fin de sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
Beau, inspirant et nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Didier Péron
Ce récit français se révèle édifiant moins par l’évidence héroïque du parcours de Simone Veil que par la vertigineuse accumulation des torts qu’elle pointe, dénonce et entend redresser au gré des différents postes qu’elle occupe.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Sophie Grassin
Rebecca Marder (Simone jeune) tire admirablement son épingle du jeu. Elsa Zylberstein, affublée de prothèses pour la vieillir, convainc beaucoup moins.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après Édith Piaf et Grace de Monaco, Olivier Dahan achève une trilogie de portraits de femmes hissées à hauteur d’icônes. Sa réalisation tape-à-l’œil avec ses envolées lyriques et sa tonalité hagiographique ne détournent pas de l’intérêt pour Simone Veil.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par J. M.
Finalement, Simone, le voyage du siècle satisfait plus à l’esprit commémoratif qu’à l’exigence de la chair posée par la fiction cinématographique. La responsabilité n’en incombe sans doute pas entièrement au réalisateur : le romanesque sied mal aux êtres humains qui, ayant croisé le regard de la Gorgone, sont si peu nombreux à lui avoir survécu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Si le long métrage, très didactique, peut servir au travail de mémoire, l’aspect formel est désastreux, à l’image du grimage grossier d’Elsa Zylberstein.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Michel Cieutat
L’interprétation d’Elsa Zylberstein est digne de celle des meilleurs interprètes issus de l’Actors Studio, et celles de Rebecca Marder (Simone jeune) et d’Olivier Gourmet (son mari) sont tout aussi formidables. Mais Madame Veil méritait vraiment mieux.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Malgré l’indéniable utilité historique du propos, l’esbroufe de la mise en scène finit par perdre le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré la conviction méritoire des deux actrices principales, Rebecca Marder et Elsa Zylberstein, et l'investissement des autres, ce biopic besogneux n'échappe jamais aux travers de la reconstitution larmoyante, en contradiction avec la pudeur et l'exigence de Simone Veil.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Olivier Dahan commet un nouveau film sentencieux et pompier qui ressemble davantage à un clip qu’à du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Enseveli sous les maladresses embarrassantes et l’académisme, ce film n’honore jamais son sujet d’étude.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thomas Baurez
Après Grace de Monaco, voici donc ce Simone, le voyage du siècle qui déborde de partout et qui, à vouloir tout montrer (même l’horreur des camps en steady-cam !) ne montre rien, sinon le masque d’une femme au destin exceptionnel et contrarié.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
La vie de Simone Veil, grande femme politique disparue en 2017, racontée par Olivier Dahan, ne fait pas le biopic du siècle. Et Elsa Zylberstein y est plus proche de Canteloup que d’une composition d’actrice...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Marie Claire
Parce que Simone Veil n’aimait pas l’expression "devoir de mémoire", ce film est un "devoir de transmission". À projeter devant toutes les paires de yeux.
Ouest France
Bouleversant et utile.
Public
Elsa Zylberstein livre une performance magistrale.
Télé 7 Jours
La parole et les écrits de la grande dame irriguent l’odyssée de cet esprit libre, prompt à la rébellion.
20 Minutes
Rebecca Marder devait se plier à plus de quatre heures quotidiennes de maquillage pour devenir Simone. Cette implication a porté ses fruits tant sa composition émeut, particulièrement dans sa relation avec sa mère jouée par Elodie Bouchez.
BIBA
Ce biopic d'Olivier Dahan retrace de façon impressionniste la vie, riche et pleine de résilience, de Simone Veil.
Femme Actuelle
Avec le sérieux qui s'imposait, ce film salue le courage de Simone Weil.
Franceinfo Culture
Olivier Dahan ne réalise pas une hagiographie mais le portrait d'une femme traversée par l'histoire et dont le destin est la résultante.
LCI
Loin du biopic classique, le film réalisé par Olivier Dahan (La Môme, Grace de Monaco) propose un portrait à la fois intime et grandiose d'une femme dont la vie a été marquée par des tragédies, mais surtout par des combats qui ont marqué la société.
La Voix du Nord
Ça semble désordonné mais les scènes finissent par se répondre. Olivier Dahan ne craint pas son sujet. C’est une qualité. Il rappelle le passé de magistrate, le combat sur l’état des prisons.
Le Parisien
Le réalisateur signe un hommage vibrant à Simone Veil, incarnée avec passion par Rebecca Marder puis Elsa Zylberstein.
Le Point
Plus qu'un biopic, un portrait intime et un grand film sur la mémoire.
Télé Loisirs
La talentueuse Elsa Zylberstein incarnant Simone Veil, cela ne peut donner qu'un film poignant.
Voici
Elsa Zylberstein incarne une Simone Veil adulte avec une grande conviction.
CNews
«Simone, le voyage du siècle», un film nécessaire pour ne pas oublier, parfois desservi par une mise en scène outrancière et une musique omniprésente qui pousse le pathos à l’excès. Alors que le sujet suffit à lui-même.
Le Figaro
Olivier Dahan s’est intéressé à la femme politique devenue une icône. Rebecca Marder et Elsa Zylberstein l’incarnent avec une grande justesse, de son l’enfance à la fin de sa vie.
Le Journal du Dimanche
Beau, inspirant et nécessaire.
Libération
Ce récit français se révèle édifiant moins par l’évidence héroïque du parcours de Simone Veil que par la vertigineuse accumulation des torts qu’elle pointe, dénonce et entend redresser au gré des différents postes qu’elle occupe.
L'Obs
Rebecca Marder (Simone jeune) tire admirablement son épingle du jeu. Elsa Zylberstein, affublée de prothèses pour la vieillir, convainc beaucoup moins.
La Croix
Après Édith Piaf et Grace de Monaco, Olivier Dahan achève une trilogie de portraits de femmes hissées à hauteur d’icônes. Sa réalisation tape-à-l’œil avec ses envolées lyriques et sa tonalité hagiographique ne détournent pas de l’intérêt pour Simone Veil.
Le Monde
Finalement, Simone, le voyage du siècle satisfait plus à l’esprit commémoratif qu’à l’exigence de la chair posée par la fiction cinématographique. La responsabilité n’en incombe sans doute pas entièrement au réalisateur : le romanesque sied mal aux êtres humains qui, ayant croisé le regard de la Gorgone, sont si peu nombreux à lui avoir survécu.
Les Fiches du Cinéma
Si le long métrage, très didactique, peut servir au travail de mémoire, l’aspect formel est désastreux, à l’image du grimage grossier d’Elsa Zylberstein.
Positif
L’interprétation d’Elsa Zylberstein est digne de celle des meilleurs interprètes issus de l’Actors Studio, et celles de Rebecca Marder (Simone jeune) et d’Olivier Gourmet (son mari) sont tout aussi formidables. Mais Madame Veil méritait vraiment mieux.
aVoir-aLire.com
Malgré l’indéniable utilité historique du propos, l’esbroufe de la mise en scène finit par perdre le spectateur.
Les Echos
Malgré la conviction méritoire des deux actrices principales, Rebecca Marder et Elsa Zylberstein, et l'investissement des autres, ce biopic besogneux n'échappe jamais aux travers de la reconstitution larmoyante, en contradiction avec la pudeur et l'exigence de Simone Veil.
Les Inrockuptibles
Olivier Dahan commet un nouveau film sentencieux et pompier qui ressemble davantage à un clip qu’à du cinéma.
Marianne
Enseveli sous les maladresses embarrassantes et l’académisme, ce film n’honore jamais son sujet d’étude.
Première
Après Grace de Monaco, voici donc ce Simone, le voyage du siècle qui déborde de partout et qui, à vouloir tout montrer (même l’horreur des camps en steady-cam !) ne montre rien, sinon le masque d’une femme au destin exceptionnel et contrarié.
Télérama
La vie de Simone Veil, grande femme politique disparue en 2017, racontée par Olivier Dahan, ne fait pas le biopic du siècle. Et Elsa Zylberstein y est plus proche de Canteloup que d’une composition d’actrice...