Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Tournée en format carré, l’image renforce la solitude des personnages, qui traversent vingt-quatre heures, en laissant le spectateur déchiffrer le hors-cadre. Le choix de tonalités chaudes incite à l’empathie. Si c’était un morceau de musique, ce serait un nocturne romantique, empreint d’un spleen délicat.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par Pierre Lunn
Une expérience immersive saisissante.
Télérama
par Cécile Mury
Un film intimiste d’une très grande subtilité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film de la Nouvelle Vague du cinéma roumain, dont le propos évoque avec pudeur et tendresse un couple qui se cherche, tout en ne voulant pas renoncer à ce qu’il a construit. Un récit tout aussi beau que juste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Rien de nouveau, exceptés de bons acteurs et un peu d’ennui.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Pour son premier film, Marius Olteanu brasse beaucoup de sujets mais démontre une certaine audace formelle, jouant avec les cadres pour mieux traduire les ressentis, et dirige avec finesse son impeccable duo de comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
En dépit des multiples thèmes abordés (crise conjugale, prostitution...) et d’un premier segment séduisant, l’effacement progressif du mystère qui planait sur le début du film, et le rythme, qui va decrescendo, finissent par faire place à l’ennui.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Les séquences en temps réel, étirées à l’extrême qui frappent par leur justesse d'écriture (...) atteignent [la] vérité. (...) Qu'il le veuille ou non, Après la nuit n'est pas un film à effets, et tant mieux. Tout est nébuleux, laissé sans réponse, à l'image de cet amour dont on ignore s'il pourra un jour renaître.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Sur une thématique classique, ce premier long grinçant offre une variation passionnante portée par un remarquable travail formel, tant sur l’image que sur le son.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Bien qu’il s’agisse d’un récit à un fort potentiel mélodramatique, le film ne provoque aucune émotion et finit par nous perdre en route.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une dramaturgie inutilement alambiquée, un jeu d’acteurs constamment surligné, une intrigue qu’on peine à suivre nuisent à l’intérêt qu’on nous demande de porter à cette crise de couple.
Positif
par Fabien Baumann
L’acharnement de Marius Olteanu à trouver, dans le mode d’emploi de sa caméra numérique, le réglage des couleurs sombres le plus moche éclipse de même l’évidence de son talent.
L'Obs
Tournée en format carré, l’image renforce la solitude des personnages, qui traversent vingt-quatre heures, en laissant le spectateur déchiffrer le hors-cadre. Le choix de tonalités chaudes incite à l’empathie. Si c’était un morceau de musique, ce serait un nocturne romantique, empreint d’un spleen délicat.
Ouest France
Une expérience immersive saisissante.
Télérama
Un film intimiste d’une très grande subtilité.
aVoir-aLire.com
Un film de la Nouvelle Vague du cinéma roumain, dont le propos évoque avec pudeur et tendresse un couple qui se cherche, tout en ne voulant pas renoncer à ce qu’il a construit. Un récit tout aussi beau que juste.
Le Figaro
Rien de nouveau, exceptés de bons acteurs et un peu d’ennui.
Le Journal du Dimanche
Pour son premier film, Marius Olteanu brasse beaucoup de sujets mais démontre une certaine audace formelle, jouant avec les cadres pour mieux traduire les ressentis, et dirige avec finesse son impeccable duo de comédiens.
Les Fiches du Cinéma
En dépit des multiples thèmes abordés (crise conjugale, prostitution...) et d’un premier segment séduisant, l’effacement progressif du mystère qui planait sur le début du film, et le rythme, qui va decrescendo, finissent par faire place à l’ennui.
Les Inrockuptibles
Les séquences en temps réel, étirées à l’extrême qui frappent par leur justesse d'écriture (...) atteignent [la] vérité. (...) Qu'il le veuille ou non, Après la nuit n'est pas un film à effets, et tant mieux. Tout est nébuleux, laissé sans réponse, à l'image de cet amour dont on ignore s'il pourra un jour renaître.
Première
Sur une thématique classique, ce premier long grinçant offre une variation passionnante portée par un remarquable travail formel, tant sur l’image que sur le son.
Cahiers du Cinéma
Bien qu’il s’agisse d’un récit à un fort potentiel mélodramatique, le film ne provoque aucune émotion et finit par nous perdre en route.
Le Monde
Une dramaturgie inutilement alambiquée, un jeu d’acteurs constamment surligné, une intrigue qu’on peine à suivre nuisent à l’intérêt qu’on nous demande de porter à cette crise de couple.
Positif
L’acharnement de Marius Olteanu à trouver, dans le mode d’emploi de sa caméra numérique, le réglage des couleurs sombres le plus moche éclipse de même l’évidence de son talent.