AlloCiné
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Film agréable, relevé par la belle prestation de
Lea Seydoux, d'une sensibilité à fleur de peau. Elle
devient très proche et par ses yeux les non-dits prennent corps
Lea Seydoux, d'une sensibilité à fleur de peau. Elle
devient très proche et par ses yeux les non-dits prennent corps
Mal joué brouillon frisant le ridicule très souvent, il n'y a aucune finesse juste des propos qui pour certains sont intéressants mais traités à la truelle. Blanche Gardin fait du B.G Seydoux est inégale mais reste la meilleure dans ce pathétique trop long métrage soporifique et prétentieux!
Je suis super déçue d’avoir été voir ce film. C’est mou, ça manque de texte, la scène sous la neige quand Léa Seydoux chante avec son partenaire : c’est insoutenable en ennui.
J’admire le talent de Léa Seydoux de pleurer beaucoup dans le film.
Bravo au talent d’actrice mais ça pleure trop en tant que tels dans le scénario.
La journaliste qui pleure et qui chouine tout le long devient agaçante.
Excellente interprétation de Blanche Gardin en tant qu’attachées de presse.
La fin avec Benjamin Biolay et son fils : on ne s’y attends pas, ça c’est bien.
Léa Seydoux joue bien mais le scénario est une catastrophe, trop de longueurs.
J’admire le talent de Léa Seydoux de pleurer beaucoup dans le film.
Bravo au talent d’actrice mais ça pleure trop en tant que tels dans le scénario.
La journaliste qui pleure et qui chouine tout le long devient agaçante.
Excellente interprétation de Blanche Gardin en tant qu’attachées de presse.
La fin avec Benjamin Biolay et son fils : on ne s’y attends pas, ça c’est bien.
Léa Seydoux joue bien mais le scénario est une catastrophe, trop de longueurs.
Lucie D
A l'instar de nombreux films qui dénoncent notre société, France ne fait pas dans la dentelle.
Le film de B. Dumont repose tout entier sur ce personnage magnifique incarné par Léa Seydoux, France de Meurs, une journaliste star du PAF. Star de l'info en continu, elle incarne toutes les dérives de notre société moderne : la starification, la recherche du scoop à tout prix, la mise en scène de soi.
Pour autant, de trop nombreux aspects du scénario ne fonctionnent pas, et les personnages qui gravitent autour de France sont mal définis, mal écrits en somme.
Ce qui nous reste de ce film aux défauts bien trop lourds, c'est elle, c'est France. Léa Seydoux crève l'écran et la musique originale de Christophe, comme un testament, plonge le film dans une ambiance très particulière, comme allant vers la mort alors même qu'une femme tente d'en revenir...
Le film de B. Dumont repose tout entier sur ce personnage magnifique incarné par Léa Seydoux, France de Meurs, une journaliste star du PAF. Star de l'info en continu, elle incarne toutes les dérives de notre société moderne : la starification, la recherche du scoop à tout prix, la mise en scène de soi.
Pour autant, de trop nombreux aspects du scénario ne fonctionnent pas, et les personnages qui gravitent autour de France sont mal définis, mal écrits en somme.
Ce qui nous reste de ce film aux défauts bien trop lourds, c'est elle, c'est France. Léa Seydoux crève l'écran et la musique originale de Christophe, comme un testament, plonge le film dans une ambiance très particulière, comme allant vers la mort alors même qu'une femme tente d'en revenir...
Habituellement je ne commente pas les films sur allociné mais là en tant que (futur) journaliste je ne pouvais pas laisser pas ça.
Le film met en scène une journaliste dépressive excédé par la célébrité et les malheurs qu'ils lui arrivent.
Ce film est bourré de clichés (sur le journalisme, l'univers des médias, les personnes arabes, les immigrées) et fait honte à la profession.
Tout est tourné en dérision ou pris à la légère.
Énormément de plans qui tirent en longueur pendant des quinzaines de secondes sans dialogue a tel point que certaines scènes mettent mal à l'aise. Beaucoup de faux raccords (scènes dans la voiture) , d'incrustations mal maîtrisées....
Le rythme est très lent.
L'humour satirique et noir dont fait preuve le film est très mal utilisé.
Le jeu d'auteur de certains personnages est très mauvais...
J'ai réussi à tenir tant bien que mal les 2h du film mais c'était limite tant il était mauvais et ennuyeux.
L'ambiance du film reste plate, déprimante et ennuyeuse la grande majorité du temps.
Bref un navet qui mérite d'être oublié.
Le film met en scène une journaliste dépressive excédé par la célébrité et les malheurs qu'ils lui arrivent.
Ce film est bourré de clichés (sur le journalisme, l'univers des médias, les personnes arabes, les immigrées) et fait honte à la profession.
Tout est tourné en dérision ou pris à la légère.
Énormément de plans qui tirent en longueur pendant des quinzaines de secondes sans dialogue a tel point que certaines scènes mettent mal à l'aise. Beaucoup de faux raccords (scènes dans la voiture) , d'incrustations mal maîtrisées....
Le rythme est très lent.
L'humour satirique et noir dont fait preuve le film est très mal utilisé.
Le jeu d'auteur de certains personnages est très mauvais...
J'ai réussi à tenir tant bien que mal les 2h du film mais c'était limite tant il était mauvais et ennuyeux.
L'ambiance du film reste plate, déprimante et ennuyeuse la grande majorité du temps.
Bref un navet qui mérite d'être oublié.
Le système médiatique, l’info-spectacle, démontés, ridiculisés, réduits en pièces. Un joli portrait de femme. Et enfin une réflexion sur la persistance du Mal voire son omniprésence dans notre société française contemporaine. À noter que les critiques, la presse, les médias se sont déchaînés contre ce film dont la réussite artistique est pourtant indéniable illustrant parfaitement l’adage de Molière : « qui se sent morveux, se mouche ». Il faut féliciter l’auteur d’avoir écrit, mis en scène et réalisé cette histoire en utilisant au mieux les possibilités audiovisuelles de la très belle musique de feu Christophe mais aussi le talent de ses acteurs, notamment des deux comédiennes principales qui sont épatantes. On ne saurait trop recommander de voir cette œuvre en salles car les images, les paysages et les costumes valent vraiment le déplacement ainsi que les nombreuses scènes d’action de guerre au réalisme saisissant. Je n’ai pas mis la note maximale car la méchanceté que requiert le genre satirique ne permet pas d’accéder à ce graal ou à cette Olympe poétique où trône encore Jacques Tati. Des personnages qui gravitent autour de Monsieur Hulot est en effet montré le ridicule mais ils n’apparaissent jamais odieux. Mais peut-être la société gaullienne des trente glorieuses était-elle juste ridicule contrairement à la France de Macron où n’existe plus que le choix nauséabond entre un bloc bourgeois incarné à la fin du film par le couple des jeunes journalistes et un bloc réactionnaire que représenterait le jeune excité qui vandalise un vélib.
Tout va mal (la société su Spectacle) mais ça peut quand même être pire (le fascisme) et la révolution (la vélo-rution) n’est décidemment ni pour aujourd’hui ni pour demain. D’ailleurs aujourd’hui et demain c’est la même chose car nous baignons tous dans un éternel présent, ne pouvant nous inscrire dans la continuité d’aucun passé Historique qui laisserait espérer des lendemains qui chantent.
Tel pourrait être le triste message final d’un film dans l’ensemble drôle, iconoclaste et jubilatoire.
P.S. : En fait, il semblerait que la destruction du vélo en libre-service symbolise la révolte (postive) contre la société bourgeoise de notre temps mais là encore révolte n'est pas révolution hélas (et donc pas du tout... vélorution !)
Tout va mal (la société su Spectacle) mais ça peut quand même être pire (le fascisme) et la révolution (la vélo-rution) n’est décidemment ni pour aujourd’hui ni pour demain. D’ailleurs aujourd’hui et demain c’est la même chose car nous baignons tous dans un éternel présent, ne pouvant nous inscrire dans la continuité d’aucun passé Historique qui laisserait espérer des lendemains qui chantent.
Tel pourrait être le triste message final d’un film dans l’ensemble drôle, iconoclaste et jubilatoire.
P.S. : En fait, il semblerait que la destruction du vélo en libre-service symbolise la révolte (postive) contre la société bourgeoise de notre temps mais là encore révolte n'est pas révolution hélas (et donc pas du tout... vélorution !)
Le film ressemble à une mauvaise pièce de boulevard. Jeux des acteurs pleines de simagrées, manque de souffle et de scénario, je me suis ennuyé du début à la fil. La critique que voulait mener le réalisateur est grossière, sans finesse avec des dialogues pauvres et des paysages truqués.
Rien qu'à regarder la scène du camion, une fusée aurait pu faire l'affaire.
Même amusant
Rien qu'à regarder la scène du camion, une fusée aurait pu faire l'affaire.
Même amusant
Magnifique film. Qui va bien plus loin que la satire, sublimée par l"humanité. Léa Seydoux est exceptionnelle. Et toujours cette grand intelligence et profondeur du cinéma du Bruno Dumont.
un sujet intéressant mais traité ici de façon décousue et superficielle. Pourquoi le film s'étire t il en longueur ?
Certes, à certaines occasions nous retrouvons le grand Bruno Dumont. Le sens du cadre, le choix de somptueux décors, la photographie (à la limite de l'expressionnisme) mais aussi la performance exceptionnelle de Léa Seydoux qui semble gérer tous les registres des émotions humaines et l'étendue des rictus de son visage fardé ou ravagé. La scène chez la famille de l'accidenté ou celle dans la voiture où on voit son visage tordu de tristesse sont magnifiques. Cependant, Dumont échoue dans sa volonté de dénoncer les méfaits de la dictature des images, du journalisme, de l'époque de l'immédiateté et de la manipulation des esprits par ces images. En étirant au maximum ses scène, et en les répétant à l'envi, on s'ennuie vite et le cinéaste est tombé dans le propre piège qu'il dénonce. Certains passages sont ridicules ou surjoués. De plus, la musique de Christophe, si inspiré dans Jeannette, est, à l'exception d'un morceau, répétitive. Un des films les moins réussis de Dumont, peu à l'aise dans la dénonciation politique et plus fort dans la comédie pure et absurde ou dans les films mystiques.
Un film caricatural sur le monde de la télé, on s'attend à toutes les scènes. Je mets 1 pour la prestation de Léa Seydoux qui sauve le peu que l'on puisse sauver
C’est indécent de mettre autant de moyen dans un objet si mauvais. Et de payer pour voir ça.. Seydoux devrait se faire coacher depuis lgt, c’est gênant de ne pas savoir interpréter un rôle à ce point. Il pleut des clichés, grand malaise d’incompréhension. Laissez la place aux autres qui ont des choses à dire, bref c’est l’enfer ce film.
ma plus mauvaise expérience cinématographique. il n y a quasiment rien de réussi dans ce film, mais c'est le script et la réalisation qui sont les plus ratés. ayant travaillé des années dans la vidéo, je ne comprends pas qu'on puisse montrer à Cannes un film avec des erreurs de tournage et de montage si flagrantes et si nombreuses.
Sans parler de cette musique chouinante (Christophe ???? vraiment ??) qui revient plusieurs fois.
Et de très nombreuses incohérences de scenario, ou des scènes gratuites comme le jeune qui surgit "par hasard" derrière les héros pour massacrer un vélo en fer blanc er s'enfuir.
Dommage car le sujet en soi est intéressant
Sans parler de cette musique chouinante (Christophe ???? vraiment ??) qui revient plusieurs fois.
Et de très nombreuses incohérences de scenario, ou des scènes gratuites comme le jeune qui surgit "par hasard" derrière les héros pour massacrer un vélo en fer blanc er s'enfuir.
Dommage car le sujet en soi est intéressant
Comme navet, c'est réussi !!! Tout sonne faux, les acteurs jouent mal, voire pas du tout, les décors et les costumes sont du plus mauvais goût. C'est un affront pour les vrais journalistes de terrain qui risquent leur vie quotidiennement.
Malgré quelques longueurs, et des scènes dont on se pose la question du bénéfice de leur présence, France est un film qui passionne et tient en haleine.
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