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Brol le chat
9 abonnés
150 critiques
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0,5
Publiée le 11 juin 2022
Un ratage total. Sur le fond le propos n'est pas clair, les personnages mal écrits, soit caricaturaux soit peu crédibles, le scénario invraisemblable, les petites gens ridiculisés, avec toujours chez Dumont l'utilisation d'amateurs qu'il fait paraître à moitié débiles, mais cette fois pour les enfoncer. Sur la forme, tout est laid: les décors, les costumes, les effets spéciaux grossiers, les plans trop longs pour être plus doloristes, des séquences inutiles comme celle du jeune homme détruisant un vélib' sous les yeux de France et du journaliste traître mais amoureux. Quant aux scènes de guerre censées se passer soit au Sahel, soit au Proche-Orient, elles ont été tournées en Italie, avec trois francs, six sous, c'est dire si on y croit... Et les acteurs particulièrement mauvais, sauf Biolay car il est utilisé pour ce qu'il sait faire, les bougons macabres
"France" est un film de Bruno Dumont. Cette courte phrase devrait suffire à écarter les amateurs de comédies avec Christian Clavier. Pourtant, une fois encore, c'est un festival d'étonnement et d'aigreur dans les critiques d'Allociné. Incompréhensible. Bruno Dumont fait partie de ces très rares cinéastes qui ont un style, très personnel, inimitable, une façon bien à lui de nous donner à voir le monde. Sur cet opus, il pointe sa caméra sur notre rapport à l'information. Pas seulement sur l'insupportable personnage campé par Léa Seydoux mais avant-tout sur la folie collective d'une société qui applaudit cette superficialité, cette obscénité et qui en redemande. Heureusement qu'il reste quelques réalisateurs hors cadres comme Bruno Dumont pour nous rappeler nos travers.
J'ai trouvé ce film plutôt intéressant, retraçant la vie d'une jeune journaliste célèbre, la plus connue de France, France. Léa Seydoux interprétant ce rôle principal m'a absolument conquis, elle est touchante et parfaite dans son personnage. Le rythme est plutôt bon même si parfois il s'atténue lors de quelques séquences du film. SPOILER : l'événement fin sur l'accident est assez grotesque, voire absurde. Ce n'est vraiment pas de chance, pour le coup ils ont forcé…
Histoire d une dépression... cela aurait pu être le sous-titre. Pour le reste le scénario ou le contexte n apportent quoi d autres ? Je ne sais qu en dire ... tellement c est plat, inconsistant et au final ennuyeux. Si la thématique c est cette dépression Léa Seydoux fait le job, mais à côté de ça si il y a des messages ils me sont passés à côté tellement c est convenu... et sans intérêt dans les dialogues.
Ils sont rares les films où je me demande si je pars avant la fin tellement ils sont mauvais... Ce film en fait partie. Léa Seydoux joue certes bien, mais ce tournage de prise de vue sur font vert dès qu'on est en voiture est au niveau de la qualité de la réalisation : peu d'ambition, peu de moyen , peu d'idée. spoiler: L'amant de France doit impérativement changer de métier tellement il joue mal.... Où c'est le réal qui doit changer de métier car il ne sait pas diriger les acteurs.
Quel ennuie, même blanche gardin a du tourner son film en 1 journée tellement à chaque fois la même scène jouer avec les mêmes mots. A fuir le plus vite possible.
Beau portrait d'une icone de papier glacé qui finit par s'humaniser lorsqu'elle n'est plus la spectatrice insensible du malheur d'autrui, mais elle-même frappée dans sa chair. Dans le même temps, le réalisateur développe à partir de son héroïne une réflexion très pertinente sur l'ère de l'inauthenticité, de l'éphémère et du cynisme. Certes, le marigot médiatique est répugnant, mais ses spectateurs, qui ne rêvent que de prendre un selfie avec une vedette, ne valent guère mieux. Chacun fait de l'autre un objet et reste en permanence à la surface des choses, dans un monde d'images.
Je suis super déçue d’avoir été voir ce film. C’est mou, ça manque de texte, la scène sous la neige quand Léa Seydoux chante avec son partenaire : c’est insoutenable en ennui. J’admire le talent de Léa Seydoux de pleurer beaucoup dans le film. Bravo au talent d’actrice mais ça pleure trop en tant que tels dans le scénario. La journaliste qui pleure et qui chouine tout le long devient agaçante. Excellente interprétation de Blanche Gardin en tant qu’attachées de presse. La fin avec Benjamin Biolay et son fils : on ne s’y attends pas, ça c’est bien. Léa Seydoux joue bien mais le scénario est une catastrophe, trop de longueurs.
Je n'ai pas pour habitude de fracasser un film car il y a toujours du travail créatif et du temps consacré à la conception d'une histoire. Mais là, force est de constater que c'est un naufrage total et à tous niveaux. Le scénario est indigent, les dialogues dignes de "Hélène et les garçons". Les séquences s'étirent dans l'ennui. Les scènes de guerre respirent la mise en scène cheap avec 10 balles de fumigènes. La scène de l'accident verse dans le surfait absolu. Et les acteurs embarqués dans cette galère ne rehaussent pas le niveau. Léa Seydoux (pourtant bonne actrice) n'est pas crédible dans la peau d'une journaliste. Chaque scène qui lui est accordé, ressemble surtout à un défilé de haute couture pour marques très chics. Elle surjoue en permanence et en devient crispante. Blanche Gardin est l'ombre d'elle-même. Quant aux autres, c'est très mal joué. Cela faisait bien plus de 10 ans que je n'avais plus vu une daube pareille. Dommage car le sujet de la célébrité médiatique, d'un certain narcissisme journalistique (j'ai exercé cette profession), de l'entre-soi parisien qui larmoie à coups de galas de charité, méritait autre chose que ce truc mauvais au possible.
Si l'idée de départ (est-elle celle qu'on comprend??) semble intéressante, la construction du film et sa narration sont confuses. La réalisation est lente et plate, le jeu des acteurs peu intéressant, une Léa Seydoux tantôt captivante tantôt hébétée, des acteurs amateurs qui ajoutent une impression de non maîtrise du sujet. Le réalisateur devrait s'inspirer (à condition qu'il collectionne dans sa DVDthèque autre chose que du Godard et des Harry Potter...) de films comme Le fil du rasoir (1984) ou Mange, prie, aime (2010). Bon eh bien c'est raté.
Mal joué brouillon frisant le ridicule très souvent, il n'y a aucune finesse juste des propos qui pour certains sont intéressants mais traités à la truelle. Blanche Gardin fait du B.G Seydoux est inégale mais reste la meilleure dans ce pathétique trop long métrage soporifique et prétentieux!
Ce film est long comme un jour sans pain... Le thème aurait pu être plus intéressant si les personnages permettaient de s'identifier à eux. Or, ils sont antipathiques et vivent dans un univers factice qui n'est manifestement pas le mien...
ma plus mauvaise expérience cinématographique. il n y a quasiment rien de réussi dans ce film, mais c'est le script et la réalisation qui sont les plus ratés. ayant travaillé des années dans la vidéo, je ne comprends pas qu'on puisse montrer à Cannes un film avec des erreurs de tournage et de montage si flagrantes et si nombreuses. Sans parler de cette musique chouinante (Christophe ???? vraiment ??) qui revient plusieurs fois. Et de très nombreuses incohérences de scenario, ou des scènes gratuites comme le jeune qui surgit "par hasard" derrière les héros pour massacrer un vélo en fer blanc er s'enfuir. Dommage car le sujet en soi est intéressant
Bruno Dumont s'attaque aux médias, essaye de décrire et surtout de se moquer des journalistes, en suivant une journaliste célèbre interprétée par Léa Seydoux. Mais rien ne fonctionne, tout sonne caricatural et terriblement faux. on se demande tout le long si Dumont s'est vraiment renseigne sur le métier de journaliste avant de faire son film. Des le début du film, les questions réponses avec Macron en personne, ça fait très faux malheureusement. et l'accident de voiture, un tres grand moment de cinema, de mauvais cinéma. une grosse catastrophe.
Partie au bout de 5 minutes. Tant de vulgarité est effarant, inutile et stupide. Le sujet du film était pourtant très intéressant, le metteur en scène et les acteurs fascinants, et on les fait tomber dans une vulgarité exorbitante.