Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Filmer France comme un signe du vivant qui reprend ses droits à la barbe du spectacle, pleurant et respirant sous lui, c’est pour Dumont l’inclure à la cohorte de ses grands personnages mystiques. Non seulement Jeanne, mais aussi les héroïnes de Hors Satan ou d’Hadewijch, prises dans un conflit entre espace concret et immatériel qu’elles ne pouvaient espérer résoudre qu’en invoquant le ciel, en allant le chercher du regard.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
La mise en scène souffle le chaud et le froid, ceci parfois dans le même plan, alliant épure et kitsch, trivialité et sacré, avec un sens du romanesque inoubliable. Un très grand film.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Murielle Joudet
Bruno Dumont offre à Léa Seydoux son plus beau rôle, celui d'une femme détruite par le système médiatique où elle s'est enfermée.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
La complexité du regard de Dumont sait mieux que quiconque trouver la beauté, la lumière et la pureté là où a priori elles manquent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Sur fond de culte de la célébrité et d’info en continu, le nouveau film de Bruno Dumont brosse le portrait féroce et à triple fonds d’une époque aussi hyperconnectée que paumée, avec une Léa Seydoux démente.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yann Tobin
Il y a tout Dumont dans France, celui d’hier et d’aujourd’hui. Pour le cinéaste, ce film grimaçant et sinistre sur nos propres abîmes se révèle une somme et l’aboutissement de toutes ses recherches.
20 Minutes
par Caroline Vié
Bruno Dumont offre des rôles magnifiques à Léa Seydoux, Blanche Gardin et Benjamin Biolay dans « France ». Ce portrait au vitriol d’une journaliste de la télévision est aussi cruel que drôle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Bombarda
Satire cruelle sur les médias et le vedettariat journalistique, France est également le portrait psychologique acéré d’une femme privilégiée. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
À rebours de ce qu’on attendait de lui, Bruno Dumont signe un mélo camp sur la dépression nerveuse d’une star de la télé. Tordu et flamboyant, complètement con et brillant à la fois.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le cinéaste Bruno Dumont quitte ses terres du Nord pour mettre les pieds dans le PAF. Son dixième long-métrage, présenté en compétition en juillet dernier au Festival de Cannes, est une satire féroce.
Ecran Large
par Simon Riaux
Décoction au vitriol jetée au visage des saints médiatiques, France est également (surtout) une remise en question cruelle de nos propres fantasmes de gloire et de nos superstitions de papier glacé. Inconfortable, parfois un peu bourrin, mais salvateur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par La Rédaction
Une tragi-comédie grandiose sur l'info-spectacle et le portrait moral d'une femme qui chute. Léa Seydoux superbe.
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
On saura gré au réalisateur de se hisser à la hauteur des enjeux, aussi périlleux soient-ils. Et d’accorder à son personnage la douceur d’un glissement, dont on ne se rend compte qu’il a eu lieu qu’après-coup, d’un cynisme crasse vers une plus grande compréhension du monde, aussi douloureuse soit-elle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Avec son film « France », Bruno Dumont signe une satire grinçante et virtuose de notre monde contemporain à travers le portrait d’une journaliste vedette d’une chaîne d’info en continu incarnée par Léa Seydoux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une satire à la fois drôle et glaçante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Léa Seydoux, défigurée par un chagrin qui ne sera jamais consolé, est d’une présence terrible.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Roman-photo grinçant et hilarant sur une Marie-Antoinette du paf entourée de sa cour de larbins, « France » dresse le portrait cynique d’un monde définitivement clivé et déconnecté où le réel et la fiction se confondent en un flot ininterrompus d’images dévitalisées.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
On a un peu le même mouvement d’admiration et de rejet devant ce film fou, puissant et terrifiant, impressionnant et épuisant. France, c’est beau… Non ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Sarah Lévy
Léa Seydoux est formidable en Marie-Antoinette du paf à qui l'on ose rien refuser et dont la disgrâce sera aussi terrible que l'ascension.
Transfuge
par Serge Kaganski
Non dénué d’humour mais sombre et glaçant, France est aussi le film le plus ouvert et le moins « bizarre » de Bruno Dumont, porté par une Léa Seydoux magistrale qui passe du cynisme le plus carnassier à la mélancolie la plus tenace.
Télérama
par Louis Guichard
Un portrait au vitriol de notre société de l’image, dont l’égérie, étonnamment, finit par émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La rédaction
On saisit rapidement les intentions louables du réalisateur atypique de « Ma Loute », même s'il ne fait pas dans la dentelle, et privilégie parfois la caricature grotesque, quitte à sonner un peu faux.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Critikat.com
par Hugo Mattias
C’est sans doute là que se trouve la plus belle articulation d’un récit par ailleurs très imparfait : la comédie vire au tragique dès lors que l’objet de la satire s’aperçoit en cours de route de sa propre inconsistance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le cinéaste ne craint pas de forcer le trait jusqu'à l'outrance, voire le grotesque, avec une héroïne boursouflée, habillée et coiffée comme dans les années 1980, incarnée par l'excellente Léa Seydoux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un film troublant, dans laquelle sont sans cesse brouillés les repères entre la farce et le drame, le vulgaire et le mystique, le Bien et le Mal.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le traitement de l’information sous sa forme actuelle dans les grands médias pose évidemment problème et interroge la société française, mais aussi l’international. L’exposé qu’en fait France est réducteur, et colle à la superficialité et au sensationnalisme des médias qu’il dénonce.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Au lieu d’être le récit d’une révolution intérieure, un discours virulent sur les médias, FRANCE décrit un éveil à peine perceptible. C’est dans cette manière de travailler à côté que le film déroute et passionne. FRANCE est peut- être le film le plus schématique de Bruno Dumont.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré ses promesses initiales, « France », comme de nombreux films de Bruno Dumont par le passé, se caractérise avant tout par sa confusion idéologique et un nihilisme qui tourne à vide.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Cette satire misanthrope, où Léa Seydoux excelle, laisse toutefois un peu perplexe à trop hésiter entre farce et tragédie pompeuse.
Closer
par La Rédaction
Le réalisateur s'acharne sur son personnage, certes détestable, sans vraiment donner de sens à son jeu de massacre, truffé de mises en abyme qui compliquent encore le propos.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Sans une once d’humour, Bruno Dumont foire la satire, se complaît dans la laideur qu’il prétend refléter et filme sa madone télévisée, mi-Elise Lucet, mi-Léa Salamé, en bien piteuse pietà.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Au centre de ce ratage gênant, Léa Seydoux serre les dents pour donner un brin d’épaisseur à son héroïne désincarnée, en vain.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Figaro
par Etienne Sorin
Avec France, qui prétend épingler nos turpitudes contemporaines, la caricature de l'allégorie est gênante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Emmanuel Marolle
Un film qui embarrasse plus qu’il ne choque.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Avec de grosses ficelles, Bruno Dumont sombre dans le populisme anti-média adepte du tous pourris et de la collusion généralisée. C'est particulièrement énervant.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le projet de dénoncer le monde des médias, du show-business et du journalisme sensationnel est heureux, à force de vouloir chercher la provocation, le film devient démagogique et maladroit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Filmer France comme un signe du vivant qui reprend ses droits à la barbe du spectacle, pleurant et respirant sous lui, c’est pour Dumont l’inclure à la cohorte de ses grands personnages mystiques. Non seulement Jeanne, mais aussi les héroïnes de Hors Satan ou d’Hadewijch, prises dans un conflit entre espace concret et immatériel qu’elles ne pouvaient espérer résoudre qu’en invoquant le ciel, en allant le chercher du regard.
Culturopoing.com
La mise en scène souffle le chaud et le froid, ceci parfois dans le même plan, alliant épure et kitsch, trivialité et sacré, avec un sens du romanesque inoubliable. Un très grand film.
Le Monde
Bruno Dumont offre à Léa Seydoux son plus beau rôle, celui d'une femme détruite par le système médiatique où elle s'est enfermée.
Les Inrockuptibles
La complexité du regard de Dumont sait mieux que quiconque trouver la beauté, la lumière et la pureté là où a priori elles manquent.
Libération
Sur fond de culte de la célébrité et d’info en continu, le nouveau film de Bruno Dumont brosse le portrait féroce et à triple fonds d’une époque aussi hyperconnectée que paumée, avec une Léa Seydoux démente.
Positif
Il y a tout Dumont dans France, celui d’hier et d’aujourd’hui. Pour le cinéaste, ce film grimaçant et sinistre sur nos propres abîmes se révèle une somme et l’aboutissement de toutes ses recherches.
20 Minutes
Bruno Dumont offre des rôles magnifiques à Léa Seydoux, Blanche Gardin et Benjamin Biolay dans « France ». Ce portrait au vitriol d’une journaliste de la télévision est aussi cruel que drôle.
Bande à part
Satire cruelle sur les médias et le vedettariat journalistique, France est également le portrait psychologique acéré d’une femme privilégiée. Une réussite.
CinemaTeaser
À rebours de ce qu’on attendait de lui, Bruno Dumont signe un mélo camp sur la dépression nerveuse d’une star de la télé. Tordu et flamboyant, complètement con et brillant à la fois.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le cinéaste Bruno Dumont quitte ses terres du Nord pour mettre les pieds dans le PAF. Son dixième long-métrage, présenté en compétition en juillet dernier au Festival de Cannes, est une satire féroce.
Ecran Large
Décoction au vitriol jetée au visage des saints médiatiques, France est également (surtout) une remise en question cruelle de nos propres fantasmes de gloire et de nos superstitions de papier glacé. Inconfortable, parfois un peu bourrin, mais salvateur.
Elle
Une tragi-comédie grandiose sur l'info-spectacle et le portrait moral d'une femme qui chute. Léa Seydoux superbe.
L'Humanité
On saura gré au réalisateur de se hisser à la hauteur des enjeux, aussi périlleux soient-ils. Et d’accorder à son personnage la douceur d’un glissement, dont on ne se rend compte qu’il a eu lieu qu’après-coup, d’un cynisme crasse vers une plus grande compréhension du monde, aussi douloureuse soit-elle.
La Croix
Avec son film « France », Bruno Dumont signe une satire grinçante et virtuose de notre monde contemporain à travers le portrait d’une journaliste vedette d’une chaîne d’info en continu incarnée par Léa Seydoux.
La Voix du Nord
Une satire à la fois drôle et glaçante.
Le Dauphiné Libéré
Léa Seydoux, défigurée par un chagrin qui ne sera jamais consolé, est d’une présence terrible.
Paris Match
Roman-photo grinçant et hilarant sur une Marie-Antoinette du paf entourée de sa cour de larbins, « France » dresse le portrait cynique d’un monde définitivement clivé et déconnecté où le réel et la fiction se confondent en un flot ininterrompus d’images dévitalisées.
Première
On a un peu le même mouvement d’admiration et de rejet devant ce film fou, puissant et terrifiant, impressionnant et épuisant. France, c’est beau… Non ?
Public
Léa Seydoux est formidable en Marie-Antoinette du paf à qui l'on ose rien refuser et dont la disgrâce sera aussi terrible que l'ascension.
Transfuge
Non dénué d’humour mais sombre et glaçant, France est aussi le film le plus ouvert et le moins « bizarre » de Bruno Dumont, porté par une Léa Seydoux magistrale qui passe du cynisme le plus carnassier à la mélancolie la plus tenace.
Télérama
Un portrait au vitriol de notre société de l’image, dont l’égérie, étonnamment, finit par émouvoir.
CNews
On saisit rapidement les intentions louables du réalisateur atypique de « Ma Loute », même s'il ne fait pas dans la dentelle, et privilégie parfois la caricature grotesque, quitte à sonner un peu faux.
Critikat.com
C’est sans doute là que se trouve la plus belle articulation d’un récit par ailleurs très imparfait : la comédie vire au tragique dès lors que l’objet de la satire s’aperçoit en cours de route de sa propre inconsistance.
Le Journal du Dimanche
Le cinéaste ne craint pas de forcer le trait jusqu'à l'outrance, voire le grotesque, avec une héroïne boursouflée, habillée et coiffée comme dans les années 1980, incarnée par l'excellente Léa Seydoux.
Les Fiches du Cinéma
Un film troublant, dans laquelle sont sans cesse brouillés les repères entre la farce et le drame, le vulgaire et le mystique, le Bien et le Mal.
Franceinfo Culture
Le traitement de l’information sous sa forme actuelle dans les grands médias pose évidemment problème et interroge la société française, mais aussi l’international. L’exposé qu’en fait France est réducteur, et colle à la superficialité et au sensationnalisme des médias qu’il dénonce.
La Septième Obsession
Au lieu d’être le récit d’une révolution intérieure, un discours virulent sur les médias, FRANCE décrit un éveil à peine perceptible. C’est dans cette manière de travailler à côté que le film déroute et passionne. FRANCE est peut- être le film le plus schématique de Bruno Dumont.
Les Echos
Malgré ses promesses initiales, « France », comme de nombreux films de Bruno Dumont par le passé, se caractérise avant tout par sa confusion idéologique et un nihilisme qui tourne à vide.
Télé 7 Jours
Cette satire misanthrope, où Léa Seydoux excelle, laisse toutefois un peu perplexe à trop hésiter entre farce et tragédie pompeuse.
Closer
Le réalisateur s'acharne sur son personnage, certes détestable, sans vraiment donner de sens à son jeu de massacre, truffé de mises en abyme qui compliquent encore le propos.
L'Obs
Sans une once d’humour, Bruno Dumont foire la satire, se complaît dans la laideur qu’il prétend refléter et filme sa madone télévisée, mi-Elise Lucet, mi-Léa Salamé, en bien piteuse pietà.
LCI
Au centre de ce ratage gênant, Léa Seydoux serre les dents pour donner un brin d’épaisseur à son héroïne désincarnée, en vain.
Le Figaro
Avec France, qui prétend épingler nos turpitudes contemporaines, la caricature de l'allégorie est gênante.
Le Parisien
Un film qui embarrasse plus qu’il ne choque.
Ouest France
Avec de grosses ficelles, Bruno Dumont sombre dans le populisme anti-média adepte du tous pourris et de la collusion généralisée. C'est particulièrement énervant.
aVoir-aLire.com
Si le projet de dénoncer le monde des médias, du show-business et du journalisme sensationnel est heureux, à force de vouloir chercher la provocation, le film devient démagogique et maladroit.