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(...) le film nous amuse un quart d'heure (ce qui serait peut-être suffisant pour parler de la gloire) mais fatigue le reste du temps. Car ce qui manque au film, c'est une ironie, un second degré autrement plus jouissif.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
On peut y voir un avertissement aux jeunes filles (...) ou déjà un appel à la réflexion sur le pouvoir hypnotique de la beauté (...). Et même si (...) le film reste une trop gentille bluette, qui tourne au gris, ceci n'est déjà pas si mal.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Cette parabole moderne de la course à la gloire slalome assez bien entre les clichés. Elle est filmée avec un vrai rythme et, surtout, portée par une comédienne d'autant plus épatante que c'est son premier rôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) on est proche ici d'un inutile Prêt-à-porter. Les mannequins sont considérés comme des femmes-objets... Merci du scoop ! On a connu Denys Arcand moins candide (Le Déclin de l'empire américain).
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
(...) le film nous amuse un quart d'heure (ce qui serait peut-être suffisant pour parler de la gloire) mais fatigue le reste du temps. Car ce qui manque au film, c'est une ironie, un second degré autrement plus jouissif.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
On peut y voir un avertissement aux jeunes filles (...) ou déjà un appel à la réflexion sur le pouvoir hypnotique de la beauté (...). Et même si (...) le film reste une trop gentille bluette, qui tourne au gris, ceci n'est déjà pas si mal.
L'Obs
Entre rire et larmes de rage, le coeur balance, et se soulève tant la satire est féroce. Si féroce qu'il lui manque un peu d'humanité.
Le Parisien
Cette parabole moderne de la course à la gloire slalome assez bien entre les clichés. Elle est filmée avec un vrai rythme et, surtout, portée par une comédienne d'autant plus épatante que c'est son premier rôle.
Première
(...) on est proche ici d'un inutile Prêt-à-porter. Les mannequins sont considérés comme des femmes-objets... Merci du scoop ! On a connu Denys Arcand moins candide (Le Déclin de l'empire américain).
Repérages
D'un sujet très casse-gueule, le cinéaste québécois est parvenu à tirer la critique d'un système surfait livré à la haute finance et au pouvoir.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) film qui, à quelques trouvailles près, reste aussi pesant et prévisible que tout ce qu'il dénonce.
Aden
Stardom enfonce les portes ouvertes, comme ceux qu'il dénonce vendent du vent.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr