Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
(...) Jean-Pierre Denis a réussi une grande mise en scène. A la minutie d'une époque ressucitée correspond celle de l'interprétation, délicate et fine - et d'autant plus effrayante.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cinopsis.com
par Sylvie Jacquy
Les blessures assassines est un film dont on ne sort pas indemne et qui nous fait découvrir deux jeunes actrices incroyables.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Sœurs, bonnes, bonnes sœurs. Proposition à décliner selon les pointillés, ceux entre lesquels se glisse le film de Jean-Pierre Denis. Tout en douceur, en doigté, même quand on crie, même quand on pleure, même quand on tue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaro Magazine
par Valérie Lejuene
Une puce aurait vécu au Mans, dans les années 30, elle n'aurait pas décrit de façon plus méticuleuse ni plus intime la vie des soeurs Papin que ce que nous présente Jean-Pierre Denis (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Après un démarrage un peu difficile, (le) film, à la tonalité volontairement neutre, a la pureté d'une tragédie et une intensité qui doit beaucoup à ses deux interprètes (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Sans jamais céder au sensationnalisme, Jean-Pierre Denis multiplie les notations psychologiques et éclaire toutes ces petites humiliations - les fameuses "blessures assassines" - qui, insidieusement, vont mener les soeurs Papin sur les rivages de la folie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Le plus beau résultat obtenu par Jean-Pierre Denis et ses interprètes, grâce à cette conception exigeante du cinéma est(...), de rendre possible d´aimer aussi, et grandement, ces deux personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Un film âpre, sensible, impressionnant. Magnifiquement interprété.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
Si Les blessures assassines reste un beau film, sobre et exigeant, une certaine timidité l'empêche de devenir un grand film. Sans doute par crainte de ne pas être compris, il cède parfois à des raccords malheureux car trop explicites (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean A. Gili
(...) Jean-Pierre Denis évite toutes les embûches ; il parvient à trouver en Sylvie estud et Julie-Marie Carpentier les comédiennes capables de représenter (...) la charge des fêlures existentielles qui peuvent tourmenter un esprit.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Jean-Jacques Bernard
(...) la construction du film en entonnoir nous prend (...). Une manière d'inventaire sans lyrisme ni psychologie (...) mais qui prend le risque de justifier tout par tout.
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Christophe Chauville
La mise en scène, linéaire, adopte délibérément un profil bas, celui d'une chronique judiciaire rigoureuse, tâchant de réunir toutes les pièces à conviction. Une approche d'artisan qui répond logiquement à la conception du cinéma selon Jean-Pierre Denis : modeste et humain.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
par Nathalie Piernaz
Plus qu'à un film, Les Blessures assassines fait songer à un luxueux téléfilm sauvé in extremis par ses deux actrices.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Pendant une bonne vingtaine de minutes, le film patine, puzzle maladroit de scènes (...). Et puis, au bout de ce tunnel, le scénario est remis sur les rails. Il gagne en consistance à mesure qu'il se resserre autour de la relation des deux sœurs (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par J-Ph.Tessé
Là où Chabrol avait su faire oeuvre de création, de relecture, Jean-Pierre Denis se contente d'une sage et frileuse illustration, sans doute motivée par la crainte de tomber dans le film à thèse.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
(...) Jean-Pierre Denis a réussi une grande mise en scène. A la minutie d'une époque ressucitée correspond celle de l'interprétation, délicate et fine - et d'autant plus effrayante.
Cinopsis.com
Les blessures assassines est un film dont on ne sort pas indemne et qui nous fait découvrir deux jeunes actrices incroyables.
L'Obs
Sœurs, bonnes, bonnes sœurs. Proposition à décliner selon les pointillés, ceux entre lesquels se glisse le film de Jean-Pierre Denis. Tout en douceur, en doigté, même quand on crie, même quand on pleure, même quand on tue.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro Magazine
Une puce aurait vécu au Mans, dans les années 30, elle n'aurait pas décrit de façon plus méticuleuse ni plus intime la vie des soeurs Papin que ce que nous présente Jean-Pierre Denis (...)
Le Figaroscope
Après un démarrage un peu difficile, (le) film, à la tonalité volontairement neutre, a la pureté d'une tragédie et une intensité qui doit beaucoup à ses deux interprètes (...).
Le Journal du Dimanche
Sans jamais céder au sensationnalisme, Jean-Pierre Denis multiplie les notations psychologiques et éclaire toutes ces petites humiliations - les fameuses "blessures assassines" - qui, insidieusement, vont mener les soeurs Papin sur les rivages de la folie.
Le Monde
Le plus beau résultat obtenu par Jean-Pierre Denis et ses interprètes, grâce à cette conception exigeante du cinéma est(...), de rendre possible d´aimer aussi, et grandement, ces deux personnages.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Un film âpre, sensible, impressionnant. Magnifiquement interprété.
Les Inrockuptibles
Si Les blessures assassines reste un beau film, sobre et exigeant, une certaine timidité l'empêche de devenir un grand film. Sans doute par crainte de ne pas être compris, il cède parfois à des raccords malheureux car trop explicites (...)
Positif
(...) Jean-Pierre Denis évite toutes les embûches ; il parvient à trouver en Sylvie estud et Julie-Marie Carpentier les comédiennes capables de représenter (...) la charge des fêlures existentielles qui peuvent tourmenter un esprit.
Première
(...) la construction du film en entonnoir nous prend (...). Une manière d'inventaire sans lyrisme ni psychologie (...) mais qui prend le risque de justifier tout par tout.
Repérages
La mise en scène, linéaire, adopte délibérément un profil bas, celui d'une chronique judiciaire rigoureuse, tâchant de réunir toutes les pièces à conviction. Une approche d'artisan qui répond logiquement à la conception du cinéma selon Jean-Pierre Denis : modeste et humain.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
Plus qu'à un film, Les Blessures assassines fait songer à un luxueux téléfilm sauvé in extremis par ses deux actrices.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Télérama
Pendant une bonne vingtaine de minutes, le film patine, puzzle maladroit de scènes (...). Et puis, au bout de ce tunnel, le scénario est remis sur les rails. Il gagne en consistance à mesure qu'il se resserre autour de la relation des deux sœurs (...)
Urbuz
Là où Chabrol avait su faire oeuvre de création, de relecture, Jean-Pierre Denis se contente d'une sage et frileuse illustration, sans doute motivée par la crainte de tomber dans le film à thèse.