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Loin des effets de manche et du grand spectacle, "Mickey and the Bear" cadre serré, dans l’intimité et la vérité d’un lien père-fille flirtant dangereusement avec la figure du couple. Sans conteste une pépite du cinéma indépendant américain.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La relation père-fille qu’Annabelle Attanasio tisse par petites touches s’avère assez troublante (…). Il manque cependant au film une forme de sauvagerie ou d’inquiétude plus affirmée capable de l’émanciper d’un récit bien ficelé.
Camila Morrone, qui en est à ses débuts (22 ans), est émouvante dans le rôle de Mickey, mais c’est James Badge Dale (« les Infiltrés »), le père, qui électrifie le film. On reparlera d’Annabelle Attanasio.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Dans ce premier film réussi malgré sa trame convenue, une jeune femme s’occupe de son père malade et irresponsable sur fond d’Amérique rurale en pleine décrépitude.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La réalisatrice, sans céder au pathos, pose un regard empathique sur ses personnages, interprétés par d’épatants comédiens, au premier rang desquels la prometteuse Camila Morrone, et signe un récit aussi touchant que sympathique.
Découvert à l’ACID lors du Cannes 2019, Mickey and the Bear paraît au départ cocher toutes les cases de la tragédie familiale vue par le cinéma indépendant américain. Sauf que, comme Debra Granik avec Winter’s Bone, Annabelle Attanasio réussit à transcender les archétypes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Pour son premier long métrage, la jeune Annabelle Attanasio se plie aux règles d’un genre assez balisé : la chronique sociale avec père et fille formant un couple abîmé. Sans éviter tous les clichés, elle arrive à lui insuffler sa touche personnelle, à coups d’ellipses bienvenues et de dialogues justes et sobres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ce récit des doutes d’une adolescente tiraillée entre affection pour son père fragile et désir d’ailleurs peine à trouver de l’ampleur : le terrain est trop balisé et les clichés creusés jusqu’au bout.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Outre les paysages arides du Montana, dans les rares moments où le cadre s’élargit, l’intérêt réside essentiellement dans le charisme de Camila Morrone, très prometteuse actrice, bien plus captivante que le film lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
Dur et puissant.
20 Minutes
Mickey and the Bear d'Annabelle Attanasio permet de découvrir une actrice aussi belle que brillante, Camila Morrone.
CNews
Un portrait bouleversant d’une enfant qui a grandi trop vite.
CinemaTeaser
Sans aucune frime, Mickey and the Bear assoit sa personnalité et observe avec rigueur le quotidien de son héroïne.
Closer
Comme DiCaprio, on est tombés raide dingue de cette comédienne lumineuse et déjà très juste à 22 ans.
Culturopoing.com
Loin des effets de manche et du grand spectacle, "Mickey and the Bear" cadre serré, dans l’intimité et la vérité d’un lien père-fille flirtant dangereusement avec la figure du couple. Sans conteste une pépite du cinéma indépendant américain.
L'Humanité
Drame ordinaire mais assez bien vu sur une adolescente tentant de maintenir à flot son père atteint du syndrome de stress post-traumatique.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film à la beauté brute, porté par une excellente jeune actrice en devenir.
Rolling Stone
Premier long-métrage signé Annabelle Attanasio, Mickey and the Bear est un drame familial certes classique… mais aussi particulièrement fascinant.
Sud Ouest
Le film, lui, ne verse jamais dans le misérabilisme, porté par sa lumineuse héroïne (formidable Camila Morrone).
Voici
Cette production indépendante révèle deux beaux talents, à suivre de très près.
aVoir-aLire.com
Annabelle Attanasio réussit un tour de force pour son premier long-métrage.
Cahiers du Cinéma
La relation père-fille qu’Annabelle Attanasio tisse par petites touches s’avère assez troublante (…). Il manque cependant au film une forme de sauvagerie ou d’inquiétude plus affirmée capable de l’émanciper d’un récit bien ficelé.
L'Obs
Camila Morrone, qui en est à ses débuts (22 ans), est émouvante dans le rôle de Mickey, mais c’est James Badge Dale (« les Infiltrés »), le père, qui électrifie le film. On reparlera d’Annabelle Attanasio.
La Croix
Dans ce premier film réussi malgré sa trame convenue, une jeune femme s’occupe de son père malade et irresponsable sur fond d’Amérique rurale en pleine décrépitude.
Le Figaro
Un film indépendant américain sans grande originalité, avec Camila Morrone.
Le Journal du Dimanche
La réalisatrice, sans céder au pathos, pose un regard empathique sur ses personnages, interprétés par d’épatants comédiens, au premier rang desquels la prometteuse Camila Morrone, et signe un récit aussi touchant que sympathique.
Paris Match
Le scénario est classique mais il est certain que l'on reverra Camila Morrone au cinéma.
Première
Découvert à l’ACID lors du Cannes 2019, Mickey and the Bear paraît au départ cocher toutes les cases de la tragédie familiale vue par le cinéma indépendant américain. Sauf que, comme Debra Granik avec Winter’s Bone, Annabelle Attanasio réussit à transcender les archétypes.
Télérama
Pour son premier long métrage, la jeune Annabelle Attanasio se plie aux règles d’un genre assez balisé : la chronique sociale avec père et fille formant un couple abîmé. Sans éviter tous les clichés, elle arrive à lui insuffler sa touche personnelle, à coups d’ellipses bienvenues et de dialogues justes et sobres.
Critikat.com
Ce récit des doutes d’une adolescente tiraillée entre affection pour son père fragile et désir d’ailleurs peine à trouver de l’ampleur : le terrain est trop balisé et les clichés creusés jusqu’au bout.
Le Monde
Le film n’échappe pas aux poncifs du cinéma indépendant, où le récit d’adolescence se résume à la question d’avoir à échapper à son milieu étouffant.
Les Inrockuptibles
Un récit d'apprentissage trop académique sauvé par l'intensité des acteurs et la sensibilité de la caméra.
Libération
Outre les paysages arides du Montana, dans les rares moments où le cadre s’élargit, l’intérêt réside essentiellement dans le charisme de Camila Morrone, très prometteuse actrice, bien plus captivante que le film lui-même.