Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Dur et puissant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Mickey and the Bear d'Annabelle Attanasio permet de découvrir une actrice aussi belle que brillante, Camila Morrone.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Un portrait bouleversant d’une enfant qui a grandi trop vite.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Sans aucune frime, Mickey and the Bear assoit sa personnalité et observe avec rigueur le quotidien de son héroïne.
Closer
par La Rédaction
Comme DiCaprio, on est tombés raide dingue de cette comédienne lumineuse et déjà très juste à 22 ans.
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Loin des effets de manche et du grand spectacle, "Mickey and the Bear" cadre serré, dans l’intimité et la vérité d’un lien père-fille flirtant dangereusement avec la figure du couple. Sans conteste une pépite du cinéma indépendant américain.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Drame ordinaire mais assez bien vu sur une adolescente tentant de maintenir à flot son père atteint du syndrome de stress post-traumatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Florian Fessenmeyer
Un premier film à la beauté brute, porté par une excellente jeune actrice en devenir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Jessica Saval
Premier long-métrage signé Annabelle Attanasio, Mickey and the Bear est un drame familial certes classique… mais aussi particulièrement fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film, lui, ne verse jamais dans le misérabilisme, porté par sa lumineuse héroïne (formidable Camila Morrone).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par Daniel Blois
Cette production indépendante révèle deux beaux talents, à suivre de très près.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Annabelle Attanasio réussit un tour de force pour son premier long-métrage.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Antoine du Jeu
La relation père-fille qu’Annabelle Attanasio tisse par petites touches s’avère assez troublante (…). Il manque cependant au film une forme de sauvagerie ou d’inquiétude plus affirmée capable de l’émanciper d’un récit bien ficelé.
L'Obs
par François Forestier
Camila Morrone, qui en est à ses débuts (22 ans), est émouvante dans le rôle de Mickey, mais c’est James Badge Dale (« les Infiltrés »), le père, qui électrifie le film. On reparlera d’Annabelle Attanasio.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans ce premier film réussi malgré sa trame convenue, une jeune femme s’occupe de son père malade et irresponsable sur fond d’Amérique rurale en pleine décrépitude.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Un film indépendant américain sans grande originalité, avec Camila Morrone.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La réalisatrice, sans céder au pathos, pose un regard empathique sur ses personnages, interprétés par d’épatants comédiens, au premier rang desquels la prometteuse Camila Morrone, et signe un récit aussi touchant que sympathique.
Paris Match
par Yannick Vely
Le scénario est classique mais il est certain que l'on reverra Camila Morrone au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Découvert à l’ACID lors du Cannes 2019, Mickey and the Bear paraît au départ cocher toutes les cases de la tragédie familiale vue par le cinéma indépendant américain. Sauf que, comme Debra Granik avec Winter’s Bone, Annabelle Attanasio réussit à transcender les archétypes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Anne Dessuant
Pour son premier long métrage, la jeune Annabelle Attanasio se plie aux règles d’un genre assez balisé : la chronique sociale avec père et fille formant un couple abîmé. Sans éviter tous les clichés, elle arrive à lui insuffler sa touche personnelle, à coups d’ellipses bienvenues et de dialogues justes et sobres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Ce récit des doutes d’une adolescente tiraillée entre affection pour son père fragile et désir d’ailleurs peine à trouver de l’ampleur : le terrain est trop balisé et les clichés creusés jusqu’au bout.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film n’échappe pas aux poncifs du cinéma indépendant, où le récit d’adolescence se résume à la question d’avoir à échapper à son milieu étouffant.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Un récit d'apprentissage trop académique sauvé par l'intensité des acteurs et la sensibilité de la caméra.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Outre les paysages arides du Montana, dans les rares moments où le cadre s’élargit, l’intérêt réside essentiellement dans le charisme de Camila Morrone, très prometteuse actrice, bien plus captivante que le film lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
Dur et puissant.
20 Minutes
Mickey and the Bear d'Annabelle Attanasio permet de découvrir une actrice aussi belle que brillante, Camila Morrone.
CNews
Un portrait bouleversant d’une enfant qui a grandi trop vite.
CinemaTeaser
Sans aucune frime, Mickey and the Bear assoit sa personnalité et observe avec rigueur le quotidien de son héroïne.
Closer
Comme DiCaprio, on est tombés raide dingue de cette comédienne lumineuse et déjà très juste à 22 ans.
Culturopoing.com
Loin des effets de manche et du grand spectacle, "Mickey and the Bear" cadre serré, dans l’intimité et la vérité d’un lien père-fille flirtant dangereusement avec la figure du couple. Sans conteste une pépite du cinéma indépendant américain.
L'Humanité
Drame ordinaire mais assez bien vu sur une adolescente tentant de maintenir à flot son père atteint du syndrome de stress post-traumatique.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film à la beauté brute, porté par une excellente jeune actrice en devenir.
Rolling Stone
Premier long-métrage signé Annabelle Attanasio, Mickey and the Bear est un drame familial certes classique… mais aussi particulièrement fascinant.
Sud Ouest
Le film, lui, ne verse jamais dans le misérabilisme, porté par sa lumineuse héroïne (formidable Camila Morrone).
Voici
Cette production indépendante révèle deux beaux talents, à suivre de très près.
aVoir-aLire.com
Annabelle Attanasio réussit un tour de force pour son premier long-métrage.
Cahiers du Cinéma
La relation père-fille qu’Annabelle Attanasio tisse par petites touches s’avère assez troublante (…). Il manque cependant au film une forme de sauvagerie ou d’inquiétude plus affirmée capable de l’émanciper d’un récit bien ficelé.
L'Obs
Camila Morrone, qui en est à ses débuts (22 ans), est émouvante dans le rôle de Mickey, mais c’est James Badge Dale (« les Infiltrés »), le père, qui électrifie le film. On reparlera d’Annabelle Attanasio.
La Croix
Dans ce premier film réussi malgré sa trame convenue, une jeune femme s’occupe de son père malade et irresponsable sur fond d’Amérique rurale en pleine décrépitude.
Le Figaro
Un film indépendant américain sans grande originalité, avec Camila Morrone.
Le Journal du Dimanche
La réalisatrice, sans céder au pathos, pose un regard empathique sur ses personnages, interprétés par d’épatants comédiens, au premier rang desquels la prometteuse Camila Morrone, et signe un récit aussi touchant que sympathique.
Paris Match
Le scénario est classique mais il est certain que l'on reverra Camila Morrone au cinéma.
Première
Découvert à l’ACID lors du Cannes 2019, Mickey and the Bear paraît au départ cocher toutes les cases de la tragédie familiale vue par le cinéma indépendant américain. Sauf que, comme Debra Granik avec Winter’s Bone, Annabelle Attanasio réussit à transcender les archétypes.
Télérama
Pour son premier long métrage, la jeune Annabelle Attanasio se plie aux règles d’un genre assez balisé : la chronique sociale avec père et fille formant un couple abîmé. Sans éviter tous les clichés, elle arrive à lui insuffler sa touche personnelle, à coups d’ellipses bienvenues et de dialogues justes et sobres.
Critikat.com
Ce récit des doutes d’une adolescente tiraillée entre affection pour son père fragile et désir d’ailleurs peine à trouver de l’ampleur : le terrain est trop balisé et les clichés creusés jusqu’au bout.
Le Monde
Le film n’échappe pas aux poncifs du cinéma indépendant, où le récit d’adolescence se résume à la question d’avoir à échapper à son milieu étouffant.
Les Inrockuptibles
Un récit d'apprentissage trop académique sauvé par l'intensité des acteurs et la sensibilité de la caméra.
Libération
Outre les paysages arides du Montana, dans les rares moments où le cadre s’élargit, l’intérêt réside essentiellement dans le charisme de Camila Morrone, très prometteuse actrice, bien plus captivante que le film lui-même.