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Emmanuel Cockpit
61 abonnés
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4,5
Publiée le 11 octobre 2023
Des flics et des truands seulement différentiés par une carte de flic, des locaux glauques, des barbes à profusion, des guerres internes à la police, des mafieux corses et marseillais, vous êtes bien dans l’univers noir d’Olivier Marchal. C’est intense, sanglant, tendu et on se retient de respirer tellement c’est chargé en testostérone. On pourra reprocher quelques incohérences mais bien moins que n’importe quel 007. Lannick Gautry est très crédible dans le rôle du commandant de groupe, Patrick Catalifo convaincant dans celui du commissaire et Moussa Masskri excelle comme chef de la BRP. On retrouve avec plaisir l’incontournable Catherine Marchal. Un très bon cru.
Un bon thriller à l'ambiance film noir signé Olivier Marchal. Un film sombre, dans le milieu du trafic de stupéfiants, une rivalité entre la BRI et la BRB. Le scénario est complexe et bien ficelé. Bref c'est du Marchal
C'est quoi cette fin vraiment nul svp quoi il galèrent tout le long pour que sa finissent comme sa en + les dernier mort sont vraiment nul aucun contexte ni scène dramatique avec du dialogue que des tirs ou des coups de couteau et explosion spoiler:
Olivier Marchal a longtemps surfé sur un passé de policier...qui remonte maintenant à 20 ans. Ce Bronx présente un scénario parfois trop alambiqué, alourdi par des scènes où personnages inutiles...mais surtout des incohérences énormes ! Si certains acteurs sont très convaincants, d'autres sont vraiment hors-jeu. Cette production Netflix souffre de l'américanisation ambiante avec ses quota et clichés habituels. Dommage mais c'est moyen.
Un polar scénarisé et parfaitement orchestré par Olivier Marchal. Avec "Bronx" Il nous propose un film d'Action, ce n'est pas un documentaire sur la police mais une fiction. (comme certains ont tendance à l'oublier). Olivier Marchal nous conte une histoire violente, rythmée, sans temps mort, avec de multiples scènes chocs. Dans ce drame sanglant, les truands ont l'air de vrais truands, et les flics ont l'air de vrais flics. le film nous offre assurément un très bon casting, les participations de Jean Reno et Gérard Lanvin, avec des coups de cœur particuliers pour Lannick Gautry dans le rôle du commandant de l'antigang Richard Vronski, et Patrick Catalifo lui aussi remarquable dans celui du commissaire Georges Campana.
je ne comprends pas cette note donnée par les spectateurs. malgré le manque de réalisme au début, franchement c'était pas hyper important pour la suite et j'ai trouvé ce film très bien fait.
Un Olivier Marchal : une histoire flics - truands où les flics dépassent la ligne du mal. Avec Marchal, l'histoire est banal. Et c'est lent. Même si au niveau acteur rien à redire (Lannick Gautry en premier), mais c'est d'une banalité. Et ce final est pitoyable.
"Bronx" semblait promettre une sorte de film policier français assez ambitieux, et surtout composé d’un joli casting. Si le fait de voir ce projet débarquer sur Netflix pouvait nous laisser espérer à quelque chose de plus intéressant que ce que l’on voit d’habitude dans ce genre en France, le résultat s’avère franchement décevant. Au final, tout ce que l’on pouvait espérer de pire a été fait au sein de ce film. L'ensemble du projet n'est qu'une enquête policière extrêmement clichée et qui n’a vraiment rien d’intéressante à proposer. Il n’y a rien qui permet de dire que cette histoire est meilleure que toute celle du genre. Ce n’est qu’une histoire basique tournant autour des flics, de meurtres, de gangs, etc… Elle n’est pas foncièrement mauvaise en soi, mais elle n’apporte vraiment aucune plus-value. On se retrouve face à un ensemble assez vide et vite oubliable. Et je sais bien que c'est la base de ce genre de film, il ne va pas révolutionner le style, mais cette impression est renforcé par énormément d'éléments. On peut parler des personnages par exemple, car ils n’ont aucune véritable profondeur et on ne s’intéresse que peu à eux. Ils ne servent que de protagonistes basiques à l’histoire, on n’a aucun attachement à eux. Par conséquent, on traverse le film en regardant des choses qui nous importent peu, dans un ensemble qui est bien trop lent par moments. Et qui ne sert même pas vraiment à quelque chose, spoiler: puisque tout le monde finit par mourir sans aucune raison dans la dernière scène. On a l’impression d’avoir suivi cela pour rien. Les seuls éléments qui seront à sauver de ce projet seront certaines scènes d’action plutôt passables et une certaine envie de bien faire au niveau de la mise en scène. Mais pour le reste, c’est plat et classique. C’est typiquement le cliché ultime du film français, mais qui essaie pourtant de se maquiller en quelque chose d’un poil plus intéressant. Pour conclure, un tout très banal.
En 2020, Olivier Marchal nous présente "Bronx", polar marseillais où se confronte policier corrompu de la BRI et grand banditisme corse. Toujours avec la même patte de réalisation, le cinéaste nous démontre cette violence quotidienne dans ce monde ou le pouvoir et l'argent dominent. Réunissant un casting de qualité avec Jean Reno, Yannick Gautry, David Belle, Kaaris ou encore Gérard Lanvin. Sans oublier sa bande d'acteurs et amis présents dans tous ces métrages comme Catherine Marchal, Moussa Maaskri et Francis Renaud. Un long-métrage de 2H00, dans lequel Marchal déploie une fois de plus son univers, sa vision mélangée à son vécu.
Mon dieux que c'est mauvais ! Jean Reno qui récite mal son texte sans aucune émotion Les flics plus crades que les voyous, mais qui vivent en front de mer dans des baraques à 3 millions d'euros et roulent en Audi, Marchal fait cachetonner les copains, c'est toujours les mêmes gueules, toujours les mêmes décors, toujours les mêmes dialogues à base de grosses couilles. Sans parler de Lanvin qui se paye une p'tite balade pour aller voir ( et tuer ) sa femme pendant un transfert ... Bref ce téléfilm c'est le Bronx total au moins le titre est bien trouvé Et je ne parle pas des images gris bleutées façon filtre insta, fatiguant Et dire qu'ils tournent une série PAX en ce moment à Marseille, suite de ce chef d'œuvre .... comme quoi ça a dû plaire à beaucoup de monde
Dans les quartiers Nord de Marseille, une tuerie orchestrée par le clan Bastiani a lieu. Deux rivaux sont en charge de l’enquête, Vronski, un flic de la brigade antigang et Costa, un chef de groupe de la BRB aux pratiques douteuses. La situation dégénère lorsqu’un témoin-clé est assassiné durant sa garde à vue. En pleine guerre des gangs, Vronski et ses hommes, pour sauver leur peau, seront obligés de faire des choix lourds de conséquences…
Les films d’Olivier Marchal sont toujours extrêmement puissants et Bronx ne déroge pas à la règle.
Une immersion réussie dans une équipe de la BRI de Marseille, sur le fil du rasoir en permanence, persuadée qu’elle peut baiser la mafia corse.
Ils apprendront, à leurs dépends, qu’il y a toujours plus pourri.
Des scènes de shoots et des effets spéciaux au plus près du réel, des dialogues incisifs et percutants, une histoire menée à toute vitesse et un dénouement incroyable.
Il y a le savoir faire d’Olivier Marchal, ses recettes habituelles, et puis, rien. Scénario confus, histoire non structurée. Les acteurs font le job ( on remarquera que les flics dans ses films habitent toujours des super baraques, là c’est un catamaran qui doit coûter 1/2 million d’euros ) le mot fin arrive sur le générique et on est presque dans la situation ou l’on attendait que le film débute.
Olivier Marchal a une vision toute personnelle des services de police en général et des « supers flics » en particulier. La plupart de ses films (« 36 quai des Orfèvres », « MR73 », ou encore « Les Lyonnais ») nous présentent toujours des « défenseurs de la loi » « borderline » et clairement prêts à tout pour parvenir à leurs fins. Bien que son œuvre soit finalement cohérente, il faut bien reconnaître que l'ensemble devient un peu redondant... d'autant qu'avec « Bronx », les flics franchissent clairement la limite du politiquement correct, voire simplement du vraisemblable. Cette fois, les meurtres s’enchaînent gratuitement, au cœur d'un scénario minimaliste et trop peu fluide pour convaincre. Les policiers de la célèbre BRI de MARSEILLES s'en donnent à cœur joie et « font le ménage » sans se poser la moindre question étique. Alors certes, le film se suit sans ennui et les acteurs (plutôt bons, d'ailleurs) font le job avec une vraie conviction. Cependant, cette justice à multiples vitesses et cette urgence à mettre les vilains hors de combat, quelque soit le prix, est indigeste et sans grande crédibilité. Je ne « marche » donc plus... la machine de Marchal s'est finalement enraillée à force de devenir prévisible. Cette fois, j'aime pas !