Derniers Avis : Bronx - Page 15

Il est loin le temps de Gangsters, 36 Quai des orfèvres et de la saison 1 de Braquo, la magie n'opère plus.

On dirait un telefilm de TF1 ou un épisode spécial de plus belle la vie.

Quelle faiblesse dans le scénario la mafia corse qui fait la guerre avec la mafia marseillaise et au milieu il y a les flics qui gravitent les bons et les mauvais, heureusement que bac Nord arrive très prochainement pour nous proposer quelque chose d'original.

Le casting le plus improbable depuis bien longtemps, Kaaris un rappeur, Dani une ancienne chanteuse devenue depuis peu une compagne de beuverie d'Olivier Marchal, une ancienne candidate de télé réalité, elle est la car elle a prêté la maison des anges pour le tournage, un cascadeur à la filmographie exemplaire Banlieue13 Banlieue 13 la suite, Banlieue 13 le remake Brick Mansion, un ancien chanteur de la compagnie créole Eriq Ebouaney qui a également la particularité de ressembler au grand père de Kaaris on dirait un casting de secret story

Un "acteur" Stanislas Merhar le Ryan Gosling de wish au charisme d'une sardine qui bute toute sa famille avant de se faire sauter la tête, on est content de le voir disparaître tellement il ne sert a rien, dommage que Catherine Marchal n'en fasse pas de même tellement elle ne dégage rien.

Après on empile des noms au casting pour vendre de la soupe frelaté à la Gaumont et aux éventuels acheteurs étrangers, Reno, Lanvin, Cardinale on dirait qu'ils sortent tous du formol.

Lannick Gautry essaye de se démener comme un diable pour sauver le telefilm du naufrage mais rien ni fait même la présence de second couteaux qui jouent les méchants de service (Francis Renaud avec son œil de verre, Moussa Maaskri, Alain Figlarz, Virgile Branly, Pierre Marie Mosconi)

Quand je vois la performance d'Alain Figlarz dans 36 quai des orfèvres et braquo saison 2 et ça ?

Un petit gros avec une coupe de cheveux ridicule qui promène sa vieille maman grabataire joué par Dani censé être la marraine du mileu marseillais c'est pas bien d'essayer de pomper la madame Arifa d'Abdel Raouf Dafri encore faut il proposer quelqu'un de crédible pour soutenir la comparaison.

Au lieu de faire peur Alain Figlarz fait rire avec sa coiffure, on dirait que Marchal a dû remplacer au pied levé le coiffeur de la production faute de budget.

Un sentiment de malaise de voir des acteurs être sous utilisés, blasés empâtés, rouillés au bout du rouleau.

La seule satisfaction de ce telefilm c'est la présence a l'écran de Patrick Catalifo.

Une petite explosion sous la voiture à la fin du film qui ressemble plus à un vieux petard mouillé, tellement la voiture a du mal a se retourner, rien a voir avec celle du derniere épisode de braquo saison 2.

Tout ça sent la pale copie, les raccourcis, les clichés, Marchal est devenu fainéant.

La scène de la fusillade sur la plage on dirait que c'est Julien Leclercq qui s'est occupé de l'éclairage comme sur la terre et le sang, tout le monde ne s'appelle pas Michael Mann.

Un désastre cinématographique, le soleil, le vieux port, les sardines, les bateaux, on se croirait dans Thalassa

Marchal devrait se mettre à l'eau de source et laisser le gros rouge de côté pour se remettre les idées en place afin de proposer des films de qualités même quand ça passe sur une plate-forme comme Netflix, les spectateurs sont exigeants.

Ce film est vraiment pas terrible, l'histoire est bien ficelé ; le scénario est très bon et ambitieux. Mais c'est beaucoup trop écrit, ce qui fait que le jeu des acteurs n'est pas du tout naturel. Sans compter que la réalisation est un peu brouillon, en effet il est difficile de se repérer de ne pas se perdre dans tout les plans rapides et dans tout les personnages non présentés comme si on les connaissait parfaitement.

Un bon polar solide , efficace. Les acteurs sont tous excellents , Marseille est superbement filmée. le scénario est très bien construit , comme un puzzle, même si certaines situations son bien improbables. Surtout le final surprenant mais pas très clair. Mais ce rapport de force truands -policiers est vraiment bien montré, et Olivier Marchal a un vrai talent. il apporte un plus.

ça se laisse regarder.. pour ma part je trouve le choix du casting très judicieux beaucoup d'acteurs plus connus à la tv et
pour un film qui ne sort pas en salle c'est bien ciblé ! mais n'oublions pas les " second" rôles des "chefs"(dans chaque camp) interprétés par les "dinosaures" du cinéma...Beau clin d'oeil.
je suis un peu déçue et m'attendais à mieux pour un film d'Ollivier MARCHAL que j'apprécie tant en acteur qu'en réalisateur

tellement déçu ! Olivier Marchal nous raconte sans fin la meme histoire de flics ripoux, avec des femmes qui sont des potiches que les hommes "baisent" .La seule qui a un role moins indigent, c'est encore une fois sa femme Catherine Marchal qu'il emploie toujours dans le même rôle de flic. Il y a des incohérences énormes, On y croit vachement (attention spoiler!) qu'un flic ripou tient un carnet dans lequel il marque toutes ses transactions avec les voyous, lequel carnet est dans son casier chez les flics; et que n'importe qui peut s'emparer du carnet en deux secondes !!! Même chose pour cette histoire de mitraillette et gilet par balle qu'un gangster a caché sur la scene de crime ! Donc 9 personnes sont mortes mais aucun flic n'a passé au crible de la scene de crime.... Quant à la fin elle est simplement ridicule. Bref, passez votre chemin

Olivier Marchal fait du Olivier Marchal : fascination pour les truands, les flics borderline et les flingues. Marchal a été flic, il le fait assez savoir mais on aimerait, sans pour autant lui demander de devenir bouddhiste, qu'en ces temps post-Charlie-Hebdo et Bataclan , il se pose un peu la question de la représentation de la violence à l'écran et de sa perception par le public . A défaut, qu'il cherche d'autres scénarii que ses sempiternelles guerres de gangs et/ou de polices mille fois vues.

Olivier Marchal nous fait une bouillabaisse marseillaise. Vous prendrez un peu de 36, puis de du gang des lyonnais soupoudré de Carbone et là on s'attend à se dire que ça va pas être sympa, et non, Raté!!! Le plat a un goût de rance car tout est attendu, rien n'est crédible. Olivier s'ennuie, il a écrit un scénario en 25 minutes et comme Gaumont son producteur historique ne savait pas comment financer cette bonne daubasse, car pas con ils savent très bien que le film aurait fait un flop dans les salles de cinéma. Ils se sont dis il y a les pigeons de NETFLIX, vu qu'ils n'ont strictement aucun goût (cf La révolution, vampire, une balle dans la tête...) c'est sûr qu'ils vont kiffer! Et là bingo! Peut-être son plus mauvais film? Bon à égalité avec Carbone. Moi qui est tant aimé Gangster, 36 quai des orfèvres ou même MR73 comment peut il nous faire ça!

J'aimerais vraiment comprendre pourquoi la plupart des gens connaissent le cinéma de Olivier Marchal, le suivent, et en arrivent à soudain le dénigrer alors qu'il respecte ici sa ligne directrice. A savoir un polar pur et dur, violent, radical, crépusculaire, noir de chez noir. Alors si vraiment on préfère Julie Lescaut ou Joséphine Ange Gardien, ou bien Ratatouille, on laisse OM - sans jeu de mots au vu du contexte phocéen du film - de côté, d'accord? je concède que, lorsqu'on connait son cinéma, on sait d'avance comment ça va finir. Et c'est aussi vrai que ça finit toujours AVEC LE MEME MODE OPERATOIRE !!!! Une dernière chose, dans le schéma guerre des polices BRB BRI, on avait déjà eu le sublime mais maudit COLT 45, il y a six ans, lui aussi très très sombre et brutal. Et aussi bien sûr LA GUERRE DES POLICES, en 1980. Mais bien entendu vu tout autrement.

Et bien j’ai passé un très bon moment , surprise par la distribution ! Excellent Lannick Gautry, Patrick Catalifo, Moussa Maaski . Un plaisir de retrouver Catherine Marchal et Jeanne Bournaud ! Stanislas Merhar que l’on ne voit pas assez au cinéma . Un film noir comme Olivier Marchal nous a habitué, au moins il connaît son sujet , n’en déplaise à certains.

Dans la lignée de ce qu'il sait faire, le réalisateur nous offre ici un film efficace et divertissant.

Olivier Marchal revient avec ses thèmes chers à lui: policiers et gangsters qui se ressemblent, vengeance et corruption.
Malgré une très bonne distribution, que ce soit des habitués ou des novices, des vrais gueules du cinéma français qu'on ne voit pas assez, le film est sans âme, manquant d'inspiration.
Un cadre pas assez exploité, un scénario prévisible et un manque cruel de rythme, font que cette première collaboration entre Netflix et Olivier Marchal ne fera que passer et sera vite oublié. Dommage.

Du très bon polar bien noir et sûrement plus proche de la réalité qu'on ne le pense. Merci M. Marchal ! Pour adultes... Le film ne fait pas dans la dentelle...!

J'adore ce genre de film, mais Olivier Marchal devrait évoluer un peu.
Ils sont tous habillés en noir, ils tirent tous la tronche, ils ont des vies sans joie, les flics sont plus ou moins pourris et les pourris sont méchants méchants méchants.
J'ai craint le navet, mais finalement j'ai apprécié ce nouveau Marchal, sans plus.
Idéal pour dimanche après-midi de confinement.
Par contre une critique à cette maudite mode de ne pas articuler.
Parfois je perds des dialogues tellement ils n'ouvrent pas la bouche en parlant.
C'est pourtant la base dans les écoles de récitation.
Depuis quelques années dans la plus part de films français les acteurs bafouillent.
Enervant

Seul Marchal a ke dont pour recréer cette ambiance Flic.
La vrai. Un excellent film ou rien n est prévisible.
Merci

Quelle déception ! J'attendais pourtant le retour de Marchal aux affaires. Après un Carbone intéressant au scénario original, retour vers du plus classique pour OM : flics vs voyous. Mais un retour raté !

On est très loin d'un "36", "Braquo" (s1) ou même "Gangsters". Décryptage...

Que de stéréotypes ! Des flics aux pratiques parfois douteuses, borderline, voire franchement en dehors des clous. On a l'habitude avec le style Marchal. Seulement, cette fois c'est mal amené. Aucune dualité dans les personnages. Certains ne servent à rien. On effleure à peine la surface des personnages. On pouvait attendre des personnages profonds, parfois ambigus, qui "franchissent la ligne" avec un objectif initial légitime, etc. Rien de tout cela ici. De la voyoucratie gratuite. Des stéréotypes de "bad cops". A titre d'exemple le plus flagrant, le personnage de spoiler: Will
qui n'amène rien au récit ! Les autres sont dans la même veine. Côté truands, c'est pareil. Un monde du grand banditisme "bling bling" pas très discret ni très subtil. Des Corses qui ressemblent plus à des gens du voyage, etc. On y croit pas une seconde !

Le jeu de la majorité du casting n'est pas à niveau ! Reno n'est pas dans le rôle. Catherine Marchal non plus. Figlarz et Maaskri ont déjà été bien meilleurs. Opsomer, on la sent mal à l'aise tout le long. On se demande encore ce que Kaaris fout là... Lanvin et Cardinale sont venus dire bonjour et lâcher trois répliques. Gautry et surtout Catalifo tentent de sauver le naufrage, avec plus ou moins de réussite selon les scènes. Trop de monde, trop peu de travail sur les personnages et leurs histoires. Si en plus le jeu ne suit pas...

Incohérences à gogo ! Même si les policiers de la BRI et BRB alternent entre des missions en civil et interpellations en tenue d'intervention, ou panachage civil / gilet-lourd, les tenues vues ici ne sont pas cohérentes ! On a compris dès le début du film dans la scène du spoiler: transfert
. La dégaine des policiers présents n'est pas crédible ! Débraillés, équipement mal ajusté, pas cagoulés, armés au sein du bloc cellulaire de la prison, etc. Les policiers ne font pas la causette aux détenus durant ce type de trajet, d'autant qu'ils ne savent pas qui sont les policiers et qu'ils ont souvent la vue et l’ouïe masquées. spoiler: Le changement d'itinéraire pour passer par l'hosto est de facto impossible. Tout comme le fait de se retrouver seul avec un policier dans ledit hôpital, et de tuer sa femme sous les yeux de ce dernier.
Même si c'est pour rendre service... Vous l'aurez compris, ça part mal dès le départ. Après cinq minutes de films, on est déjà plus dedans par manque de crédibilité. J'ai également éclaté de rire lors de spoiler: la "trouvaille" par le personnage principal d'une arme et d'un gilet dans une poubelle du bar, après le passage de l'identité judiciaire (!!!), sur un site où 9 personnes sont retrouvées abattues.
L'armement est également incohérent. Les policiers devraient être dotés de pistolets Sig ou Glock. Les G36 ont depuis longtemps remplacé les quelques Colt M4 de la BRI. Retrouver un très récent FN SCAR-SC aux mains spoiler: d'un membre du commando du bar
est également improbable (cette arme vient à peine de sortir, à destination de quelques administrations).
Idem pour les véhicules. Une policière de l'IGPN qui se balade en RS3, ça fait sourire. Des policiers de la lutte contre les stups (d'une officine inconnue au bataillon...) au volant de gros SUV Chevrolet US aux feux rouges et bleus, ce n'est pas très Made In France non plus.
On sent qu'on a fait avec ce qu'on a trouvé, et qu'on s'est également un peu fait plaisir lors du tournage. Aux dépends de la crédibilité !

Les policiers qui déambulent sur les scènes de crimes sans gants ni tenue Labo, on oublie aussi... Bonjour la pollution ! Pareil pour les flics ripoux et gangsters du grand-banditisme qui tout du long manipulent armes, voitures, téléphones, etc., sans gants et sans s'inquiéter des indices matériels ou de la téléphonie.

Les locaux des commissariats de police sont certes parfois délabrés. Mais ce stéréotype de vestiaires dans une cave de bâtiment industriel insalubre ne passe pas plus le filtre de la crédibilité. C'était déjà un reproche qu'on pouvait faire au pourtant très bon Braquo (la saison 1 était bonne...). A trop vouloir en faire, on se tire une balle dans le pied.

On en vient à se demander si c'est réellement Marchal, pourtant ex-policier, qui a écrit le scénario et réalisé le film...

La colorimétrie sombre/orange est là pour participer à l'ambiance noire du film. Mais un bon film tiendrait la route sans ce genre d'artifice très à la mode YouTube/Insta.

Ajoutez quelques scènes de violence qui n'apportent rien... Certaines scènes n'apportent rien au récit, mais ratent également leur objectif si le but est à nouveau de dépeindre une ambiance "noire". C'est gratuit et souvent mal amené. spoiler: Le final est à ce titre décevant. Le "bon" flic des stups (dont on ne sait rien...) qui finit par faire tuer tous les protagonistes ? Ok, ça s'arrête enfin !


Près de deux heures de perdues... A fuir ! En espérant tout de même un sursaut de la part de Marchal lors de ses prochains projets de films policiers.