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Victor A.
63 abonnés
388 critiques
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3,0
Publiée le 2 décembre 2020
Entre des dialogues déjà vus et quelques phrases bien senties, une réal assez cliché mais qui fait vraiment le boulot, Bronx n'a rien d'incroyable mais on ne s'ennuie pas forcément.
Du grand cinéma parfaitement maitrisé, une belle histoire pleine de sensibilité et de rebondissements, une intrigue au départ banale mais tellement pleine de surprise. Heureusement qu'on a Marchal, un très grand monsieur et un immense cinéaste.
Netflix continue de polluer le paysage cinématographique français et cela ne sent pas très bon. Après le décevant Balle perdue (2020), voilà Olivier Marchal qui délaisse les salles obscures (crise du Covid19 oblige) pour la plateforme US et ne se renouvelle absolument pas.
Ces dernières années, on commençait à flairer l’arnaque avec Olivier Marchal, puisque tous ses films semblent n’être que des décalques de ses précédentes réalisations, tant elles se ressemblent toutes les unes aux autres. Un univers grossièrement caricatural, des caïds parmi les flics, de la testostérone en veux-tu, en voilà, avec son lot de répliques bien cou!llus (on est chez les flics après tout, pas chez des f!ottes !). spoiler: Des racailles, des ripoux, des guns et de l’action, le tout, saupoudré par une bonne dose de virilité exacerbée ! Bref tous les poncifs du genre à la sauce Marchal, réunit dans un polar alambiqué et bêtement capillotracté.
Une intrigue tirée par les cheveux et connement complexe à suivre (tant le nombre de protagonistes se compte sur les doigts de plusieurs mains), ajoutez à cela, une mise en scène qui pose question, que dire des SFX mo!sis et de l’improbable nuit Américaine (tournée en plein soleil) lors de l’assaut sur la plage ?
Même au niveau de la distribution, Olivier Marchal ne cherche jamais à se renouveler. On sait pertinemment que l’on y retrouvera encore et toujours les mêmes têtes, à commencer par Catherine Marchal (son épouse à la ville, qu’il nous ressert à toutes les sauces, dans tous ses films), idem pour Francis Renaud & Gérard Lanvin. Malgré la présence de quelques nouvelles têtes (pas crédible pour autant), avec Lannick Gautry et un Kaaris inexpressif au possible.
Du cinéma viriliste, le tout plombé par une mise en scène amorphe (vous pensiez voir un film d’action ?). Il est loin le temps de 36 Quai des Orfèvres (2004), quel triste constat !
Olivier Marchal fait du Olivier Marchal : fascination pour les truands, les flics borderline et les flingues. Marchal a été flic, il le fait assez savoir mais on aimerait, sans pour autant lui demander de devenir bouddhiste, qu'en ces temps post-Charlie-Hebdo et Bataclan , il se pose un peu la question de la représentation de la violence à l'écran et de sa perception par le public . A défaut, qu'il cherche d'autres scénarii que ses sempiternelles guerres de gangs et/ou de polices mille fois vues.
De film en film, Olivier Marchal tourne en rond et c'est de pire en pire. Tous les clichés du genre sont réunis pour nous offrir ici un résultat indigeste et grotesque tant par les incohérences farfelues du scénario que par le florilège de caricatures ou les dialogues de bourrins écrits à la hache. Les leviers sont usés, les thèmes recyclés, le casting est similaire à celui de la quasi totalité de ses films... Même les vestiaires des flics semblent être ceux de Braquo. Mention spéciale aux faux effets de nuit sur la plage qui m'ont tiré un énorme éclat de rire. Bref, c'est un film sans nuance ni intérêt, parsemé de violence gratuite qui s'oublie aussi vite qu'il se regarde.
Olivier Marchal revient avec ses thèmes chers à lui: policiers et gangsters qui se ressemblent, vengeance et corruption. Malgré une très bonne distribution, que ce soit des habitués ou des novices, des vrais gueules du cinéma français qu'on ne voit pas assez, le film est sans âme, manquant d'inspiration. Un cadre pas assez exploité, un scénario prévisible et un manque cruel de rythme, font que cette première collaboration entre Netflix et Olivier Marchal ne fera que passer et sera vite oublié. Dommage.
Olivier Marchal nous fait une bouillabaisse marseillaise. Vous prendrez un peu de 36, puis de du gang des lyonnais soupoudré de Carbone et là on s'attend à se dire que ça va pas être sympa, et non, Raté!!! Le plat a un goût de rance car tout est attendu, rien n'est crédible. Olivier s'ennuie, il a écrit un scénario en 25 minutes et comme Gaumont son producteur historique ne savait pas comment financer cette bonne daubasse, car pas con ils savent très bien que le film aurait fait un flop dans les salles de cinéma. Ils se sont dis il y a les pigeons de NETFLIX, vu qu'ils n'ont strictement aucun goût (cf La révolution, vampire, une balle dans la tête...) c'est sûr qu'ils vont kiffer! Et là bingo! Peut-être son plus mauvais film? Bon à égalité avec Carbone. Moi qui est tant aimé Gangster, 36 quai des orfèvres ou même MR73 comment peut il nous faire ça!
Ce pauvre Marchal cherche du taf à Hollywood alors il tourne une série B américaine sans queue ni tête. Alors donc les keufs français sont mal-aimés et logés dans des locaux lépreux (air connu)... Mais... mais ils roulent en Cadillac ou en pick-up Chevrolet ou Nissan ! Les commissaires "super-flics" restent en poste bien après l'âge de la retraite (72 ans, le père Reno, tout gonflé, engoncé dans un corset ?). A son âge, en général, on s'est reconverti dans la sécuité privée. Catallifo récite sagement (mais mal) son texte, Karris enchaîne les insultes pour essayer d'avoir l'air méchant mais avec sa petite voix, ça fait plutôt rire, Stanislas Mehrar, malheureusement, a toujours tout d'un Magimel raté, Lannick Gaudry tire la tronche comme le veut le rôle, il s'en tire plutôt pas mal, mais tellement vu déjà chez d'autres. Francis Renaud fait du Francis Renaud pour la 100ème fois, sauf qu'il a innové spoiler: avec un œil mor t. Audacieux ! Même l'excellent Moussa Maaskri n'a pas l'air tout à fait à l'aise (son faux accent marseillais peut-être... bref). Et une mention spéciale pour Alain Figlarz certain d'être le plus impressionnant des méchants malgré spoiler: sa coiffure grotesque . Et le scénario, euh... comment dire ? Ben on s'en fout ! Evidemment, c'est l'ambiance qui compte, c'est un film d'homme, "sévèrement burné" avec un "boum boum peuh dans ta face" sans le moindre recul sans une once d'humour. C'est mauvais, convenu, jamais crédible (mais on s'en passerait si au moins c'était prenant . Perte de temps...
C'est un film malin. Surfant sur la hype Marseillaise avec un casting astucieux et un scénario accrocheur(sans être original). Rien de ouf mais ça se regarde... en temps de confinement.
Nul vraiment nul il donne même pas envie de le finir le film chouf étais plus intéressant franchement Netflix la prochaine fois donné le budget a quelqu'un d'autre qui connais un minimum le banditisme 🤦🏻🥱