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Rorechar
7 abonnés
821 critiques
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3,5
Publiée le 4 juin 2023
Un bon thriller à l'ambiance film noir signé Olivier Marchal. Un film sombre, dans le milieu du trafic de stupéfiants, une rivalité entre la BRI et la BRB. Le scénario est complexe et bien ficelé. Bref c'est du Marchal
Olivier Marchal nous sort une bonne grosse daube fastoche et plate, ne servira qu'alimenter l'inculture dans les quartiers. Ce film (sic) au scénario aussi plat que mon écran Oled est bourré d"incohérences et de fautes. A croire qu'il n'y a eu aucune relecture. ( Comment peut on imaginer une scène de crime de 9 morts ou L'IDJ n'aurait pas trouvé une arme dans une poubelle ?.. c'est juste pas crédible ). Les clichés sont bien là, et on espère que le réalisateur ne c'est pas basé sur son expérience de flic pour imaginer ces personnages. le tout est surfait saupoudré par une musique des plus basique et une colorimétrie Orange and Teal juste très a la mode chez les youtubeurs
Une succession de clichés qui peine a convaincre alors qu'une partie du scénario est tiré de faits réel. Le film ne sais pas ou aller, dans le réalisme ou le film d'action hollywoodien.
Si vous voulez perdre 2h de votre vie , c'est le bon film , on est clairement dans le néant absolu cinématographique . C'est typiquement le genre de film qu'on a oublié 5min après avoir éteint sa TV , non pas par manque de mémoire mais parce qu'on veut très vite passé à autre chose .
Le scénario est catastrophique , les acteurs sont plus ou moins ok sauf le principal qui est dans le cliché absolu . Seul point "positif" , les fusillades qui sont bien réalisés . Tout le reste est à jeter , je ne parle même pas de la fin qui est limite humoristique tellement elle est ridicule . On ne pas non plus mentionner le Marseille façon apocalyptique où on a l'impression que la ville est protégé par 5 flics maximum ni le commissariat qui servirait de décors pour Walking dead .
Bref si vous aimez la débilité sans nom , foncez !
Pour son sixième film, Olivier Marchal, l’ex-flic reconverti acteur, scénariste puis réalisateur ne change pas de genre ni de style, cherchant plutôt même à creuser plus profond encore le même sillon. « Bronx » nous transporte à Marseille avec pour point de départ de son film, ce qui ressemble fort à une répétition décalée de la tuerie du Bar du téléphone de sinistre mémoire (1978). Avec son style toujours empreint de virilité exacerbée (c’est un euphémisme!), il montre comment police et milieu mafieux peuvent être entremêlées y compris jusqu’aux plus hautes instances. Le tout sur fond de guerre des services. Même brossés au couteau, les portraits que le réalisateur propose sont toujours intéressants même si on ose encore espérer qu’ils soient un peu caricaturaux. Ça défouraille donc sec entre deux blagues salaces et règlements de compte verbaux. Tout est vermoulu sur la Canebière et les actualités quotidiennes semblent malheureusement donner en partie raison à Olivier Marchal notamment sur l’omniprésence du banditisme. Pour le niveau de corruption, la barque a été lourdement chargée. Trop peut-être en ces temps où l’institution est en souffrance. A chacun de voir. Entouré d’une bande d’acteurs qu’il connaît bienk Olivier Marchal les dirige au mieux avec une prime pour Lannick Gautry qui éclabousse l’écran pour son premier grand rôle. On reverra à coup sûr celui-là ailleurs. A ses côtés, Stanislas Merhar, David Catalifo, Catherine Marchal, Jean Reno, Francis Renaud, Mossa Maaskri, Gérard Lanvin et même Kaaris assurent dans des partitions qu’ils maîtrisent sur le bout des doigts. On regrettera cependant qu’à certains instants le crépitement des armes ne rende pas toujours l’intrigue complétement lisible. Mais l’essentiel est sans doute ailleurs pour Olivier Marchal qui participe résolution à maintenir en vie un genre qui n’est plus si usité au cinéma comme au temps de sa période de gloire des années 1970 et 1980.
Olivier Marchal signe un nouveau polar en milieu marseillais, où une fusillade sanglante déclenche une série de règlements de compte entre bandes criminelles et policiers ripoux. Prévu pour le cinéma mais finalement sorti en streaming (coronavirus oblige !), "Bronx" est un polar viriliste, rempli de personnages burnés. Entre ceux-ci, son atmosphère visuel stylisée très noire et poisseuse, et un sacré bal de pourris en guise de personnages, le film propose un ambiance sombre et violente intéressante. Mais il souffre de plusieurs tares. Un scénario qui enchaîne les règlements entre crapules (flics ou criminels) sans vrai fil rouge ni protagoniste attachant. Et des maladresses de mise en scène, telle une illisible fusillade nocturne. Ou un final grotesque : spoiler: des exécutions à foison pour signifier qu'il y a toujours plus pourri que soi, mais amenées comme un cheveu sur la soupe et ne laissant pratiquement aucun personnage principal ou secondaire en vie ! Bref, le film n'est pas déplaisant, mais ne figurera pas dans le haut du panier de la filmographie de Marchal.
Du Marchal 100%, efficace, expéditif, ripoux, gangsters. Très bonnes prestations, du rythme, on ne s'ennuie pas. Dommage que le scénario (thème redondant dans les réalisations de OM) linéaire et purement typé polar, ne surprend pas. "Classique". 3/5 !
Plongée à l'intérieur d'une équipe d'intervention qui pour arriver aux résultats ne suit pas toutes les règles. Un film d'action avec de multiples rebondissements et français de surcroit.
Toujours égal à lui-même, Olivier Marchal nous fait une honnête série B qui a le mérite du rythme et d’un bon casting. Alors on se laisse mener dans cette histoire ficelée avec des vrais cordages de « pointu ». C’est gros, c’est lourd, c’est sanglant, c’est pourri de partout, c’est les cartels mexicains sur la Corniche. Mais peut-être qu’Olivier Marchal est juste un peu en avance sur son temps. C’est du nanar mais ça se laisse voir.
Un peu compliqué à suivre; tout le monde a la même tête avec cette mode de la barbe de 4 jours. Bcp de réglements de compte sanglants. On sait que Marseille, c'est le Chicago français, même si les yankees ont réussi à le pacifier alors qu'on en est incapables. Bref, un film sans aucune originalité, qui ressemble à La French mais qui en reste loin.
C'est noir, sans mauvais jeu de mots. Le scénario est bon, avec un enchevêtrement de flics pourris tenus par les malfrats, de bandes rivales, de clans qui ont pignon sur rue, de trafics en tout genre. Point surprenant, le local de la BRI est dans un état pitoyable. On se demande si cette brigade travaille vraiment dans un lieu aussi délabré dans la vraie vie. Lannick Gautry se défend bien. Les apparitions de Richard Lanvin et Jean Reno sont trop discrètes à mon goût. À condition d'aimer l'hémoglobine et les gens torturés dans leur tête, on passe un bon moment devant Bronx, dont le sens du titre m'échappe.
Ce polar sombre d’Olivier Marshal tourne autour de la police marseillaise ( entre BRI et BRB ) et de la guerre des gangs. Ce film réalisé de façon immersive est plutôt efficace et très rythmé autant dans l’écriture que dans les images. Du coup le spectateur n’a pas le temps de s’ennuyer, le bémol ici c’est la complexité dans le nombre de personnages et les organisations auxquels ils sont associés. On peut parfois se perdre et cela aurait mérité plus de clarté pour faciliter la lecture du film. De plus dans l’ensemble les acteurs sont excellents même si j’ai un doute sur la participation d’un ou deux acteurs ( n’est pas acteur qui veut). Sinon dans l’ensemble leurs prestations servent le scénario et permettent au film de monter d’un cran. En somme Olivier Marshal nous propose un thriller certes violent mais d’une grande efficacité et d’un d’une qualité immersive indéniable.
La pâte O Marchal se voit presque immédiatement, certes des ficelles sont tirées jusqu'au bout, mais le film tient en haleine, si on oubli bien sur les vices de procédures, la scène dans la prison (complétement impossible ) et autres faits que même le plus taré des flics ne ferait pas.....